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Vous êtes retraité, malade, absent de votre domicile… Pourquoi expulser un squatteur ne sera pas si facile malgré la nouvelle loi ?…

Les procédures d’expulsion ont été raccourcies mais le préfet peut toujours refuser votre demande.

Et même se déjuger.

Explications.

La demeure du couple de retraités marseillais est encombrée de détritus apportés par les squatteurs.

La demeure du couple de retraités marseillais est encombrée de détritus apportés par les squatteurs.

Pour la deuxième fois en trois ans, un couple de retraités marseillais a récemment vu sa maison squattée. Dans les deux cas, l’affaire était antérieure à la nouvelle loi. Les propriétaires n’ont donc pas pu profiter de la procédure accélérée d’expulsion. Désormais, un logement – une résidence principale ou secondaire – peut être vidé de ses squatteurs par les forces de police en seulement 72 heures (contre 2 à 3 ans en moyenne auparavant).

Mais la deuxième affaire à Marseille cache une réalité aberrante: les forces de police n’ont pas appliqué une expulsion ordonnée par… le préfet. «L’officier de police était frileux face à la trentaine de Roms qui se sont montrés agressifs. Personne ne semblait l’avoir briefé, il avait mal préparé son dossier et a multiplié les coups de fil à sa hiérarchie pour savoir quoi faire», raconte au Figaro Me Caroline Plaisant, l’huissier de justice qui était sur place.

Au final, il a été décidé que l’expulsion n’aurait pas lieu, «face à la vulnérabilité de ce public et aux risques de troubles à l’ordre public s’ils étaient expulsés», a répondu la préfecture des Bouches du Rhône, contactée par Le Figaro. L’expulsion «n’est pas prévue avant la fin de la trêve hivernale (qui prend fin le 1er juin prochain après une prolongation de deux mois) et interviendra en tenant compte de la crise sanitaire et du calendrier académique des enfants scolarisés présents sur le site».

Les préfets peuvent refuser une expulsion

La préfecture se serait donc déjugée. Un cas inédit qui n’a pas de quoi rassurer les propriétaires. Car à la base, les victimes de squat n’ont aucune assurance d’obtenir le feu vert du préfet. La nouvelle loi impose aux préfets de répondre aux propriétaires et les autorise de refuser une demande d’expulsion, à condition que le préfet motive son refus.

Il peut, par exemple, invoquer l’intérêt général et plus précisément le maintien de l’ordre public. «Le trouble à l’ordre public peut justifier de ne pas appliquer immédiatement le droit de propriété mais seulement dans des cas d’exception comme l’atteinte à la liberté de culte, d’expression, d’aller et venir… Il s’agit de l’appréciation au cas par cas des intérêts en présence», affirme Me Caroline Caussé, l’avocat qui défend les retraités marseillais.

Autre motif: la présence d’enfants en bas âge. «Nous prenons souvent en compte le profil des squatteurs avant de les expulser ou pas, confie au Figaro un commissaire de police parisien. L’expulsion sera immédiate pour des personnes qui cherchent, par exemple, à se cacher de la police. En revanche, s’il s’agit d’une femme seule avec des enfants en bas âge, l’expulsion sera plus délicate».

Plus généralement, c’est le droit au logement qui permet aux squatteurs de ne pas être délogés. Pour ne pas froisser les associations, le gouvernement a décidé qu’une expulsion devait être accompagnée d’une solution de relogement. Mais la plupart du temps, les dossiers traînent en longueur. «L’État fait financer par des particuliers une politique publique (loi du droit au logement opposable)», dénonce Caroline Caussé.

Et si le préfet ne répond pas? La loi prévoit que «le défaut de réponse équivaut à un refus» (article R153-1 du Code des procédures civiles d’exécution). Or, le délai imparti pour la réponse du préfet est désormais de 48 heures. «Si le préfet refuse d’accéder à la demande du propriétaire, ce dernier a deux mois pour contester la décision. On peut supposer que le silence vaut refus avec ce nouveau délai et que cela ouvre également une procédure de contestation de deux mois», explique Me Romain Rossi-Landi, avocat en droit immobilier, spécialiste des squats.

Bref, la procédure d’expulsion a beau avoir été accélérée, elle ne garantit pas au propriétaire de récupérer aussi rapidement son logement. En cas de refus, c’est même retour à la case départ de la traditionnelle procédure longue et coûteuse. Une vraie galère pour des propriétaires qui, souvent, ont des crédits à rembourser, des frais, des charges et des taxes à payer pour un logement qu’ils n’occupent plus. Sans compter les euros à débourser pour réparer les dégâts commis par les squatteurs. «Certains propriétaires sont à bout et ont l’impression d’être abandonnés. La nouvelle loi ne changera rien. C’est de la poudre aux yeux!», lâche Me Plaisant.

Source LE FIGARO.

Vaccination : un parcours du combattant pour les personnes en situation de handicap…

Si des initiatives se mettent en place aux quatre coins de la France, elles restent inégales et pour ceux dans l’incapacité de se déplacer, la vaccination est, pour l’instant souvent impossible…. Continue reading

« Le modèle actuel des Ehpad a montré ses failles et doit évoluer rapidement »….

L’Assemblée nationale organisait le 13 janvier un débat sur « la situation dans les Ehpad à l’issue des deux périodes de confinement ».

Une nouvelle occasion de pointer les failles dans la gestion de la crise sanitaire.

"Le modèle actuel des Ehpad a montré ses failles et doit évoluer rapidement"

 

Mais aussi, plus globalement, de s’interroger sur le modèle actuel des Ehpad et de demander un renforcement du taux d’encadrement. Tout en défendant les dispositifs mis en oeuvre pendant les différentes phases de la crise, la ministre déléguée Brigitte Bourguignon a convenu que des changements de fond sont nécessaires. Et a apporté quelques précisions concernant les mesures à venir en faveur des personnels.

Couvre-feu à 18 heures : la liste des 10 départements qui pourraient y passer dès dimanche…!

Le couvre-feu a été allongé dans 15 départements début janvier, mais 10 territoires supplémentaires pourraient désormais connaître le même sort.

La liste.

Couvre-feu à 18 heures : la liste des 10 départements qui pourraient y passer dès dimanche...!

 

18 heures ou 20 heures ? Quinze départements ont vu leur couvre-feu être allongé de deux heures le samedi 2 janvier et ils pourraient bientôt être rejoints par une dizaine de territoires, a annoncé le gouvernement en milieu de semaine. La carte de France du couvre-feu reste pour l’heure inchangée et la mesure va s’appliquer pour « au moins quinze jours », soit jusqu’au 22 janvier.

Couvre-feu avancé : quels sont les départements déjà concernés ?

Alors que tout le monde s’attendait à la présentation d’une nouvelle carte jeudi 7 janvier, le Premier ministre Jean Castex a préféré attendre, précisant : « Les préfets vont conduire très rapidement les concertations nécessaires avec les élus de ces territoires pour bien analyser la situation et en fonction de leurs retours des décisions seront prises d’ici demain soir [vendredi 8 janvier, NDLR] pour entrer en vigueur à compter de dimanche ». Actuellement, les 15 départements concernés par le couvre-feu sont les suivants : les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Ardennes, le Doubs, le Jura, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, la Moselle, la Nièvre, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, les Vosges et le Territoire de Belfort.

Pour tous les autres, la règle n’a pas changé : le couvre-feu débute à 20 heures et se termine à 6 heures du matin, tous les jours de la semaine. Pour justifier l’extension du couvre-feu, les autorités se basent sur plusieurs critères : un taux d’incidence supérieur à 200, le taux d’occupation des lits en réanimation ou le taux d’incidence chez les plus de 65 ans.

Quels sont dont les territoires actuellement en sursis qui pourraient basculer dès le dimanche 10 janvier ?

Le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Côte-d‘ Or, l’Yonne, le Cher, l’Allier, la Haute-Savoie, les Alpes-de-Haute-Provence, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône.

Source PLANET.

Abus sexuels présumés sur des enfants autistes à Voiron : les familles demandent la réouverture de l’enquête…

Il y a 5 ans, 10 familles d’enfants autistes ont porté plainte contre 3 éducateurs d’un institut spécialisé de Voiron pour abus sexuels.

La justice a classé l’affaire mais les parents ont demandé la réouverture de l’enquête lors d’une audience mardi 8 décembre.

Les faits se seraient produits à l'institut médico-éducatif de Voiron, en Isère.

 

Le couperet était tombé en avril dernier. La justice avait classé sans suite cette affaire de soupçons d’abus sexuels sur enfants handicapés, évoquant un manque d’éléments matériels et la fragilité de la parole des enfants.

Pourtant, les dix familles qui avaient porté plainte contre trois éducateurs de l’institut médico-éducatif des Nivéoles, à Voiron, restaient intimement convaincues que leurs enfants avaient bien été victimes d’abus sexuels. Avec leurs mots, ces derniers avaient dénoncé des viols ou des agressions sexuelles commises par certains éducateurs entre 2012 et 2015 dans l’établissement où ils étaient pris en charge. « Pour les familles c’est une douleur immense, souligne leur avocat Bertrand Sayn. Ils ont constaté les agressions sur leurs enfants et la justice n’a pas été capable d’identifier les auteurs. On ne désespère pas que cela soit fait et c’est pour cela qu’on demande la réouverture de cette enquête« .

Une enquête « pas assez fouillée »

Le 8 décembre, soit sept mois après l’annonce du non-lieu, les parents ont obtenu une audience à la cour d’appel de Grenoble. Leur avocat a notamment dénoncé un prétendu manque de rigueur de l’enquête : « Le parquet n’a pas été suffisamment à l’affût de ses enquêteurs. Les investigations nécessaires n’ont pas été réalisées dans le cadre de l’instruction, ajoute Bertrand Sayn. Toutes les familles sont persuadées qu’au moins l’un des trois éducateurs est directement concerné au regard des paroles de l’enfant qui l’ont nommément visé et au regard des antécédents de l’intéressé. On a un faisceau d’indices important ». En effet, au moment de l’instruction, l’un des trois salariés du centre des Nivéoles avait été mis en examen pour détention d’images pédo-pornographiques.

Durant l’audience, le parquet général s’est prononcé lui aussi en faveur du supplément d’information demandée par les parties civiles. « Au cours des débats, tous les points ont été abordés de manière contradictoire, estime Céline Astolfe, avocate de la Fondation pour l’enfance. Nous avons bon espoir que le dossier soit renvoyé au juge d’instruction  pour poursuivre l’information et faire tout ce qui n’a pas été fait depuis le début de cette affaire ».

« La parole des enfants handicapés est une parole qui compte »

Au-delà de la réouverture de l’enquête, les avocats souhaitent aussi que cette audience permette de mieux prendre en compte la parole des enfants handicapés. « Le handicap, c’est une difficulté pour les enquêteurs, reconnaît Bertrand Sayn. Il faut qu’ils soient armés pour y faire face. La parole des enfants handicapés est une parole qui compte et c’est ça qu’il faut retenir de cette affaire« .

De son côté, l’avocate de la défense n’a pas souhaité s’exprimer. La décision sur la réouverture de l’affaire a été mise en délibéré au 28 janvier.

Source FR3.

La bonne manière de mesurer le handicap … Vidéo…

L’avocat Jacques-Antoine Preziosi, du cabinet marseillais Preziosi-Ceccaldi-Albenois, aborde la difficulté et les différentes nécessités pour bien mesurer le handicap d’une personne.

 

La bonne manière de mesurer le handicap ...

 

Le handicap n’est pas toujours bien compris. Pourtant, il est aujourd’hui défini par deux textes très précis : un premier de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dénommé la « CIF », pour « Classification Internationale du Fonctionnement » du handicap et de la santé, qui a ensuite été repris dans un deuxième texte avec la loi française Handicap, en date du 11 février 2005. « Ces deux textes ont la même approche de la définition du handicap. Ils expliquent qu’il s’agit d’une atteinte au fonctionnement d’un individu dans son environnement », explique Jacques-Antoine Preziosi, avocat au sein du cabinet Preziosi-Ceccaldi-Albenois, basé à Marseille et spécialisé en droit des victimes.

« Le fonctionnement comporte deux parties. Les activités, tout d’abord, qui concernent les actes de la vie quotidienne : se lever, se laver, se déplacer, faire ses courses, son ménage… Et il y a un second volet, à savoir la participation, c’est-à-dire la dimension sociétale du handicap, qui concerne la vie professionnelle, affective, associative, ou encore les loisirs. Pour bien mesurer le handicap, il y a une absolue nécessité de rapprocher ces deux volets », affirme Jacques-Antoine Preziosi.

Le spécialiste insiste également sur la dimension « environnementale » du handicap. « On prend toujours l’exemple d’une fille de 20 ans, paraplégique, à Marseille ou à Paris, et qui ne va pas vivre le même handicap qu’une jeune fille à Kaboul, car l’environnement est complètement différent, que ce soit sur le plan social, économique, politique, culturel… Cette dimension est essentielle et doit être mesurée à l’aune du fait que le handicap peut être produit ou réduit par la cité. »

Une mesure objective, pédagogique et didactique

De ce fait, peut se poser la question de comment et par qui cette dimension du handicap doit-elle être mesurée ? À cette question, Jacques-Antoine Preziosi explique que « ce doit être mesuré par des médecins, certes, qui vont décrire l’atteinte au corps, l’atteinte aussi au psychisme, mais aussi par des « spécialistes de la compensation ». Ce sont des médecins rééducateurs exerçant dans des centres de rééducation. Aujourd’hui, des ergothérapeutes, experts auprès des cours d’appel, sont très souvent désignés par les tribunaux. Ils vont se rendre au domicile de la personne en situation de handicap, et vont observer et mesurer le handicap dans son environnement, c’est-à-dire sur le ou les lieux de vie de la personne concernée. Par ailleurs, ces experts de l’étude de l’environnement vont mettre ces gens en situation, mais également « en difficulté ». Cela va permettre d’avoir une approche du handicap et une mesure objective, pédagogique et didactique pour pouvoir donner un éclairage complet », souligne Jacques-Antoine Preziosi qui, dans une prochaine vidéo, évoquera les rapports « de force » entre victime et assureur.

Source LA PROVENCE.

Didier Raoult poursuivi pour « charlatanisme » par l’Ordre des médecins … Vers une radiation ?….

Le professeur marseillais Didier Raoult, qui avait si fait parler de lui au printemps, doit aujourd’hui rendre des comptes devant ses pairs.

Didier Raoult poursuivi pour "charlatanisme" par l’Ordre des médecins ... Vers une radiation ?....

Après ses propos fracassants du printemps autour du coronavirus, le professeur Didier Raoult fait maintenant l’objet de poursuites devant l’Ordre des médecins, selon le journal Le Parisien.

Celui-ci lui reproche de nombreuses entorses au code de déontologie : violation de la confraternité, information erronée du public, exposition à un risque injustifié et même… charlatanisme, indique encore le quotidien.

En effet, de nombreux signalements ainsi qu’une plainte ont été adressés à l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône envers le directeur de l’IHU de Marseille.

Vers une radiation ?

Un collectif composé de cinq médecins hospitaliers estime notamment que le discours du Pr Raoult « s’oppose aux données et résultats scientifiques ». Pour eux, le célèbre infectiologue est allé « jusqu’à prôner et prescrire des thérapeutiques et associations médicamenteuses non éprouvées, au minimum inefficaces, au pire dangereuses ».

Didier Raoult faisait notamment la promotion de l’hydroxychloroquine dans la lutte contre le virus, ce qu’aucun médecin ne validait.

Le professeur marseillais devrait comparaître devant la chambre disciplinaire de l’ordre régional des médecins dans les mois qui viennent.7

Source EST REPUBLICAIN.

Vaucluse. Un homme de 27 ans condamné pour une agression sexuelle sur une handicapée de 14 ans…!

Un homme de 27 ans a été condamné, vendredi 6 novembre, par le tribunal correctionnel d’Avignon (Vaucluse), à six mois de prison avec sursis pour avoir agressé sexuellement une jeune fille handicapée de 14 ans.

Les faits se sont déroulés en janvier et en juin dernier, à Sorgues.

Placé dans un centre de rétention administrative, le prévenu était absent le jour de son procès (photo d'illustration). OUEST-FRANCE

Le tribunal correctionnel d’Avignon (Vaucluse) jugeait, vendredi 6 novembre, un homme de 27 ans de nationalité algérienne. Il était poursuivi pour une agression sexuelle commise sur une jeune fille handicapée de 14 ans, rapporte La Provence.

Les faits se sont déroulés entre janvier et en juin dernier, à Sorgues. Le prévenu aurait échangé plus de 1 300 SMS avec sa victime. La mère de l’adolescente, placée sous curatelle, s’en était aperçue et avait prévenu sa curatrice.

Expulsé vers les Pays-Bas

Une plainte avait été déposée à la gendarmerie. L’homme aurait aussi embrassé de force l’adolescente. Alors que cette dernière avait déménagé, le mis en cause s’était à nouveau rendu devant chez elle. « Culturellement, il n’a pas compris qu’on ne pouvait pas avoir de relation avec cette jeune fille », a avancé l’avocate de la défense en guise d’explication, selon des propos rapportés par nos confrères.

Le prévenu était absent lors de son procès. Arrivé en France depuis les Pays-Bas et en situation irrégulière, il était vendredi dans un centre de rétention administrative, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Le jeune homme a depuis été transféré aux Pays-Bas, comme le prévoient les accords de Schengen.

Il a été condamné à six mois de prison avec sursis et ne pourra plus se rendre à Sorgues pendant deux ans. Son nom figure désormais au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais).

Source   Ouest-France  

Couvre-feu à Lyon : Une personne handicapée agressée par trois jeunes SDF…

Trois jeunes SDF (« VOYOUS » Handicap Info !) ont été interpellés pour lui avoir volé son sac à dos sous la menace d’un couteau dans une station de métro de Lyon.

Couvre-feu à Lyon : Une personne handicapée agressée par trois jeunes SDF

rois jeunes SDF, âgés de 16 à 19 ans, ont été arrêtés jeudi 22 octobre en plein couvre-feu à Lyon pour s’en est pris à une personne handicapée. Les suspects ont été interpellés à 23h45 place Gabriel-Péri dans le quartier de la Guillotière (7e) alors qu’ils venaient de dérober le sac à dos de leur victime sous la menace d’un couteau, rapporte ce lundi la Sûreté du Rhône.

La victime a été agressée dans la station de métro située sur cette même place. Les gendarmes ont découvert que les deux plus jeunes possédaient une bombe lacrymogène. Le couteau, en revanche, n’a pas été retrouvé.

Entendus par les enquêteurs, seul l’un des trois mis en cause a reconnu le vol du sac. Le plus âgé a été laissé libre, les deux autres ont été présentés au parquet samedi. Une information judiciaire a été ouverte.

Source 20 MINUTES.

Marseille. Une personne handicapée battue dans un établissement spécialisé…

Un pensionnaire d’une maison d’accueil spécialisée de Marseille (Bouches-du-Rhône) a été battu, dans la nuit du 9 au 10 octobre dernier.

L’homme de 55 ans souffre d’un handicap mental, c’est pourquoi il réside dans cet établissement.

Le directeur et la famille ont porté plainte. Une enquête a été ouverte pour retrouver le ou les responsables.

Les enquêteurs étudient plusieurs pistes pour retrouver le ou les responsables des violences sur ce résident (photo d'illustration).

Un homme de 55 ans a reçu des coups sur la tête et sur les jambes, dans la nuit du 9 au 10 octobre dernier. Il réside dans la maison d’accueil spécialisée Les Palmiers, à Marseille (Bouches-du-Rhône), qui accueille des personnes souffrant d’un handicap mental, explique La Provence. Deux croix rouges dessinées sur son corps, dont une sur le thorax, ont également été découvertes.

Le directeur de l’établissement ainsi que la famille de la victime ont porté plainte. Tous les gardiens intérimaires qui travaillaient cette nuit-là ont par ailleurs été renvoyés. La mère de la victime indique au quotidien régional avoir écrit au procureur et à Brigitte Macron.

Aucune piste sérieuse pour le moment

Les enquêteurs ont de leur côté saisi des bandes-vidéo, pour retrouver le ou les auteurs de ces violences. Des prélèvements ont en outre été effectués sur place. Les salariés présents dans l’établissement au moment des faits ont été interrogés.

Les enquêteurs explorent plusieurs pistes, aussi bien parmi les employés du site que chez les pensionnaires. Ils sont seize résidents aux Palmiers. Il pourrait également s’agir d’automutilations, une hypothèse que rejette la famille. La Provence précise qu’aucune piste n’a pour le moment abouti.

Source OUEST FRANCE.