Louise, 5 ans, refusée au club du camping à cause de son handicap…!

Ses parents confient ce sentiment d’injustice dans « une société qui n’a pas envie de faire d’effort ».

Louise 5 ans a été refusée au mini-club du camping, où elle passe les vacances avec ses parents.

« Ça démarrait bien, pourtant », commencent les parents de la petite Louise sur Facebook. « Je m’étais dit qu’il n’y aurait pas de problème ». Le camping compte un mini-club pour les 3-11 ans, « les activités, c’est jouer avec des ballons », a confié Rémy à BFMTV. Bref ils sont partis confiants.

Sauf que non. La petite fille a été refusée du mini-club. Le motif avancé a été celui de la propreté pour la refuser.

De quoi mettre à nouveau ses parents sur le flanc. « À vrai dire, c’est très souvent «pas possible». Toujours pour de très bonnes raisons, qui ne sont jamais le handicap (…) : la propreté, l’absence de mots, le manque de formation des encadrants, l’effectif trop important d’enfants, le manque de moyens. », écrivent ses parents sur Facebook.

Depuis la naissance de leur fille, Rémy et Caroline, ses parents ont pris l’habitude de livrer des tranches de vie sur les réseaux sociaux. Leur petite Louise a même un site internet à son nom et Rémy et Caroline ont créé une association, pour « changer le regard de la société sur les porteuses de handicap physique ou intellectuel. » Sa maman a même écrit un livre.

Cet épisode au camping laisse un nouveau goût amer.

« On dit «okay c’est pas grave», on encaisse la gentillesse désolée de la dame – pire peut-être à affronter que le rejet froid- et sa façon de compenser en offrant un cadeau à Louise – le lot de consolation pour ne pas être comme les autres, on remballe ce énième pincement au cœur, on se dit qu’on s’amusera en famille, entre soi et tant pis, on essaie d’enfouir profond le désir de faire un gros bras d’honneur à une société qui n’a pas envie de faire l’effort, on essaie encore plus fort de se dire que ça vaut le coup d’essayer de la changer, cette société, afin que Louise n’ait plus à subir cela quand elle sera grande. » Mais c’est difficile ne cachent pas ses parents, qui en vacances, auraient juste apprécié d’avoir un peu de répit. « Décidément, ça pique, la vie, quand on est hors cadre . »

Sur les réseaux, leur message leur a valu des centaines de témoignages compatissants et leur billet a été partagé plus de 2500 fois.

Source L’AISNE.

Une journée de chine utile avec APF France handicap à Clermont-Ferrand…

L’association APF France handicap 63 organisait une brocante qui a permis de récolter quelques fonds avant la pause du mois d’août.

Une journée de chine utile avec APF France handicap à Clermont-Ferrand

L’association des paralysés de France (APF) s’occupe des droits aux personnes handicapées depuis 1933, mais ne reçoit aucune subvention de l’Etat. La délégation départementale du Puy-de-Dôme a donc créé, il y a plus de 25 ans, une boutique solidaire permettant de rassembler un peu d’argent, en plus des dons.

Ces fonds servent à organiser des voyages, mais aussi des sorties au cinéma ou au ski. « On utilise aussi ces revenus pour aller boire des verres en terrasse, car certaines personnes ne peuvent pas le faire seules », explique Liliane Garand, assistante directoriale de l’APF de Clermont-Ferrand.

Une brocante pour des trouvailles variées

La plupart des objets en vente sont des dons de particuliers. Vêtements, jouets et bibelots de décoration s’entassent sur les étals, au prix d’un euro pièce, en attendant preneur.

Christelle est venue avec sa mère et sa fille. Elle fouille dans une pile de fripes à la recherche de la perle rare. « On adore chiner », souffle-t-elle avec malice.

Marie est bénévole au secrétariat de l’APF, et est elle aussi accompagnée de sa mère. « C’est du bouche à oreille, ça me fait plaisir de participer au développement de l’association, tout en profitant de la brocante », indique la jeune femme.

Auparavant, l’APF possédait une boutique ouverte trois fois par semaine. N’étant plus aux normes de sécurité européennes, elle a cependant dû fermer. Les ventes se déroulent désormais sur le parking de l’association. « On reçoit beaucoup de gens du quartier, remarque Marcel, un des agents associatifs. Les autres se tiennent souvent au courant sur notre page Facebook. »

La semaine dernière, les acheteurs qui ont permis de rassembler plus de 200 euros en une journée, avant la fermeture de la boutique au mois d’août.

Pour sa réouverture en septembre, l’APF prévoit déjà une brocante spéciale rentrée.

Source LA MONTAGNE.

Primes COVID-19 : jusqu’à 1.500 euros versés par les départements lorrains aux aides à domicile…

Les aides à domiciles et auxiliaires de vie lorrains se sentent enfin reconnus.

Trois Conseils Départementaux ont décidé de leur octroyer une prime exceptionnelle, à l’instar du personnel soignant en juin, pour avoir évité de nouvelles hospitalisations en pleine crise du coronavirus.

Cette aide à domicile porte masque, sur-blouse et charlotte pour intervenir au domicile d'une personne âgée.

Trois des quatre départements lorrains ont voté l’octroi de primes exceptionnelles pour les aides à domicile et auxiliaires de vie qui ont été en première ligne pendant la crise sanitaire du coronavirus. Des primes qui vont jusqu’à 1.500 euros, versées au prorata des heures travaillées et de la période qui s’étend de mi- mars à mi-mai 2020.

Aurélie Zemour est ravie ! Cette aide à domicile s’est battue pour obtenir la reconnaissance de son travail pendant la pandémie. Le 13 juillet 2020, elle a touché une prime exceptionnelle de 1.200 euros, une somme qui tombe à pic pour des vacances bien méritées. Pendant toute la pandémie, elle a continué d’assurer le lever, la toilette et le ménage chez des personnes âgées ou handicapées, malgré le manque de masques, et de protection.

« C’est la première étape de la reconnaissance de notre profession, la prochaine c’est la revalorisation de nos salaires. »

– Aurélie Zemour, aide à domicile en Meurthe et Moselle.

Cette prime exceptionnelle est très attendue par les personnels des SAAD (Services d’Aide et d’Accompagnement à domicile). Mais il aura fallu se battre pour l’obtenir. Alors que les personnels soignants travaillant dans les hôpitaux et les Ehpad reçoivent dès la mi-juin 2020, l’assurance de toucher une prime de l’Etat de 1.000 à 1.500 euros, les aides à domiciles, eux, ne sont pas concernés. Ils sont pourtant au chevet des personnes âgées et handicapées, dont certains malades du Covid ou de retour de réanimation.

La Meurthe-et-Moselle, premier département à voter la prime

Le 16 juin 2020, toute la profession dénonce alors à haute voix l’injustice dont sont victimes les 300.000 professionnels du secteur. Un coup de gueule qui a fini par payer…mais ce n’est pas l’Etat qui va verser cette prime exceptionnelle, ce sont les départements, en charge de l’autonomie.

La Meurthe-et-Moselle est le premier département à accepter de mettre la main à la poche. Un budget exceptionnel de 2,5 millions d’euros a été débloqué tout spécialement dès la fin du mois de juin 2020, sur fonds propres. Ainsi toutes les aides à domicile ayant travaillé à temps plein de mi-mars à mi-avril, devraient toucher 1.500 euros de prime COVID-19. Elle est calculée au prorata des heures travaillées. La Meurthe-et-Moselle avait déjà été l’un des premiers départements à voler au secours des aides à domicile au début de la pandémie en leur fournissant des protections et des masques.

« C’était tout à fait inconcevable de ne pas récompenser ces salariés qui ont accompagné les personnes les plus fragiles pendant la crise. »

– Marie-Annick Helfer, en charge de l’autonomie au Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle

Les aides à domiciles sont en effet le pilier de la politique d’autonomie des départements. Ils permettent à des milliers de personnes âgées ou handicapées de rester chez elles. C’est le souhait de 87 % des Français !

C’est ce qui a motivé les autres départements à faire de même. La Meuse, qui compte 2400 bénéficiaires de l’APA ( Aide Personnalisée d’Autonomie)  a voté un budget de 400.000 euros, les primes seront versées en août 2020. De son côté le département des Vosges a débloqué 800.000 euros pour les aides à domicile.  La prime sera versée en septembre. Dans les deux cas, elle peut aller jusqu’à 1.500 euros pour un travail à temps plein pendant la période la plus critique de la pandémie.

Petit bémol, les patrons devront verser la prime avant fin août pour pouvoir la défiscaliser, alors que la plupart n’aura pas encore touché l’aide du département. « Une avance sur trésorie pas facile à gérer, même si nous sommes ravis de l’effort financier, nous confie Véronique Scida, gérante de Louvéa à Nancy.

Une prime très inégale

Si la Lorraine est plutôt reconnaissante envers les aides à domiciles et auxiliaires de vie, ce n’est pas le cas pour l’ensemble du territoire. Selon les premières sources, seule une trentaine de départements acceptent de débloquer des fonds.  Certains comme les Hauts-de-Seine ou la Saône et Loire refusent de payer, arguant que c’est le rôle de l’Etat. Certains personnels n’y auront donc pas droit.

Le fait que l’Etat ait passé le relais aux départements pour la prime exceptionnelle COVID-19 est globalement très mal perçu, par les départements, mais aussi par les fédérations d’associations d’aides à domiciles comme la Fédésap.

« Nous aurions souhaité  une prime d’Etat transparente et égale pour tous, or là, c’est très inégalitaire selon les territoires : 30, 200, 500 ou 1.500 euros..ou rien !   »

– Elodie Breton, déléguée départementale Fédésap.

Les associations sont d’autant plus amères qu’elles ont du mal à recruter, car le métier est difficile et très mal payé. La majorité des aides à domiciles touchent à peine plus que le SMIC, soit 1.000 à 1.200 euros par mois.
De plus, elles se préparent à affronter un deuxième vague de coronavirus. Le gouvernement leur a récemment demandé de prévoir dix semaines de stock de masques en réserve.

« Cela va être difficile d’expliquer à des personnels non reconnus qu’il va falloir y retourner. »

– Elodie Breton, déléguée départementale Fédésap

Le secteur a déjà beaucoup de mal à recruter, pourtant ce n’est pas le travail qui manque. 800.000 personnes âgées sont actuellement accompagnées en France, et 350.000 personnes en situation de handicap.

Source FR3.

 

Valdoie -Territoire de Belfort – Ehpad de la Rosemontoise : le contenu « glaçant » du rapport des administrateurs provisoires…

Le conseil départemental du Territoire de Belfort et l’Agence régionale de santé ont prolongé de trois mois l’administration provisoire de l’Ehpad de la Rosemontoise à Valdoie.

Une décision motivée par le rapport établi par les administrateurs provisoires qui ont œuvré ces deux derniers mois.

Ehpad de la Rosemontoise : le contenu « glaçant » du rapport des administrateurs provisoires

Vendredi, Florian Bouquet, président du conseil départemental du Territoire de Belfort (CD90) et Pierre Pribile, directeur de l’Agence régionale de santé de Bourgogne Franche-Comté (ARS BFC), ont signé un arrêté conjoint prolongeant l’administration provisoire de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) la Rosemontoise de Valdoie.

Trois mois reconductibles

À partir du 7 août, Sylvie Petrella assurera pour trois mois reconductibles cette mission, prenant la suite de Françoise Betoulle et Robert Creel qui ont assuré cette même fonction depuis le 6 juin.

Cette décision a été motivée par le rapport rendu par ces derniers. Un rapport « glaçant » comme le résumait Florian Bouquet vendredi après-midi lors d’une réunion avec les familles, représentants du personnel et des résidents.

« Mise en danger »

« Les dysfonctionnements relevés reflètent des manquements d’une particulière gravité de nature à mettre en danger notamment la sécurité et le bien-être des personnes âgées dépendantes », peut-on lire notamment dans l’arrêté.

Les deux premiers administrateurs nommés pour deux mois le 6 avril avaient déjà dressé un constat dans ce sens. Dans leurs conclusions, ils notaient qu’il y avait « urgence à prendre des mesures permettant de sécuriser non seulement la prise en charge des résidents de l’Ehpad mais également les conditions d’exercice de son personnel ».

Nombreux dysfonctionnements et défaillances

Quant aux seconds administrateurs, leur rapport d’une soixantaine de pages que nous avons pu nous procurer éclaire sur un nombre important de dysfonctionnements et de défaillances que ce soit dans le domaine du management, de la gestion des soins, des ressources humaines ou encore de la réalisation de travaux.

« Risque de maltraitance passive »

Dans leurs conclusions, les deux administrateurs provisoires soulignent que dorénavant «  l’ensemble des précautions est pris pour prévenir un second épisode de la Covid-19 si celui se confirmait ».

Toutefois, « s’agissant de la gestion managériale et de l’organisation des soins, la gravité des constats tenant à la non-sécurisation des soins dans leur organisation ainsi que dans la gestion des ressources humaines », ils sont amenés à « indiquer qu’un risque de maltraitance passive n’est pas à exclure si les conditions de sécurisation pérenne n’étaient pas réunies » à leur départ le 7 août.

Trouver une solution « viable et pérenne »

Si le fait de nommer une administration provisoire d’un Ehpad relève de l’exceptionnel, celui de la prolonger à deux reprises démontre que le mal est profond au sein de la Rosemontoise.

« Ces reconductions se sont imposées d’elles-mêmes », remarquait Florian Bouquet qui souhaite que soit mis en place tout ce qui permettra de donner une réponse « viable et pérenne aux résidents, à leurs familles et aux personnels ».

Source EST REPUBLICAIN.

Coronavirus et canicule : comment supporter son masque quand il fait (très) chaud ?… Les bons conseils…

Avec la vague de chaleur qui s’abat dans l’hexagone, les médecins et la direction générale de la Santé restent alertes.

Et pour cause, la combinaison canicule et masques de protection ne fait pas forcément bon ménage, à moins de respecter quelques recommandations.

Coronavirus et canicule : comment supporter son masque quand il fait (très) chaud ?

Alors que la France entre ce jeudi 30 juillet dans un épisode de fortes chaleurs avec pas moins de 41 °C par endroits, notamment dans le Sud-Ouest, la direction générale de la Santé a rappelé mercredi 29 juillet l’importance de continuer à respecter les gestes barrières afin de lutter contre l’épidémie de coronavirus.

Le respect des gestes barrières, notamment la distanciation physique et le port du masque lorsque celle-ci n’est pas possible, doit perdurer et ce même si les températures grimpent, a ainsi souligné la DGS dans un communiqué.

Risques de coups de chaud

Mais voilà : masque de protection et chaleur ne font pas forcément bon ménage, en témoignent de nombreux médecins qui insistent sur les risques d’étourdissements, de coups de chauds, de suffocations et de malaises qui pourraient survenir.

L’exposition à la chaleur peut entraîner des effets allant de la sensation d’inconfort thermique au coup de chaleur en situation de contrainte thermique, note ainsi l’Institut canadien de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail.

Alors pour éviter toute complication, voici quelques conseils pratiques pour supporter votre masque de protection, même lorsque le mercure affiche une température élevée.

Boire, oui mais pas trop

Il faut se désaltérer sans attendre d’avoir soif, pour compenser l’eau perdue (par la transpiration, la respiration et les urines). Boire, oui, mais sans excès pour éviter des œdèmes et d’autres conséquences néfastes. Donc attention à ne pas noyer les aînés, sous prétexte de les faire boire suffisamment.

En revanche, éviter l’alcool et les boissons chargées en caféine qui ont un effet diurétique. L’alimentation contribue à l’hydratation avec les légumes et les fruits (concombre, tomate, laitue, pastèque, melon…) et les laitages (yaourts, fromages blancs).

Se rafraîchir en mouillant son corps…

Il faut se rafraîchir en mouillant son corps régulièrement (au moins le visage et les avant-bras) et en prenant des douches, mais pas à l’eau trop froide : sur le moment cela fait du bien, mais attention au choc thermique…

Coronavirus et canicule : comment supporter son masque quand il fait (très) chaud ?

Idem pour les plongeons intempestifs dans une rivière ou un lac trop frais, avertit régulièrement la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF). On court le risque de noyade par hydrocution.

…mais surtout pas son masque

Il ne faut jamais humidifier son masque, même si cela peut procurer une sensation de rafraîchissement. Si le masque se trouve humidifié, par exemple à cause de la transpiration, il faut le changer rapidement, car son efficacité n’est plus assurée , assure la DGS.

Par ailleurs, mieux vaut réserver le port du masque quand celui-ci est obligatoire et nécessaire ou quand le mètre de distance avec d’autres personnes n’est pas possible.

En cas de sensation d’étourdissement ou de cœur qui bat vite, le Dr Richard Wenzel, professeur spécialiste des maladies à la VCU School of Medicine, conseille de retirer le masque porté, et de sortir, si possible, de la zone de chaleur où l’on se trouve, rapporte CNN .

Privilégier des couleurs claires

Pour éviter à votre masque ou à vos vêtements d’absorber les infrarouges du soleil (et donc la chaleur), il est conseillé d’opter pour un masque ou des habits de couleur claire. Le blanc réfléchit davantage le rayonnement et emmagasine, par conséquent, moins de lumière.

Rester et dormir au frais

Chez soi, laisser volets, rideaux et fenêtres fermés le jour et ouvrir le soir et la nuit s’il fait moins chaud. Éviter de sortir aux heures les plus chaudes et se mettre à l’abri du soleil. Il faut également éviter sport et efforts intenses en plein cagnard.

Mauvaise idée : dormir à côté du ventilateur. L’air très sec risque au bout de plusieurs heures de dessécher les sinus ou la gorge et ce n’est guère conseillé aux allergiques exposés à un brassage d’impuretés.

Dans le contexte de l’épidémie de Covid-19, la plupart des recommandations habituelles pour faire face à une vague de chaleur continuent de s’appliquer, souligne la Direction générale de la santé (DGS). Il est cependant nécessaire d’adapter les habitudes en matière de rafraîchissement des espaces intérieurs, notamment en collectivité , souligne-t-elle.

Ainsi, le ventilateur ne peut plus être utilisé en collectivité, dans les milieux clos où se trouvent plusieurs personnes. Il peut en revanche être utilisé dans le milieu familial en l’absence de personnes malades, précise la DGS.

Pour la climatisation, il faut nettoyer et entretenir régulièrement les installations, et utiliser des filtres ayant une bonne performance sanitaire, correctement entretenus.

Gare à la surchauffe chez les plus jeunes

Les enfants ne doivent jamais être laissés en plein soleil ni laissés seuls dans un véhicule, insistent les autorités sanitaires. La température peut rapidement y dépasser 30 degrés. Le risque est mortel.

Visage rouge, transpiration, pleurs, inconfort sont les premiers signes qui montrent que les bébés commencent à souffrir de la soif et la chaleur, selon l’Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA).

En cas de malaise

Ne pas négliger des signes d’alerte montrant que l’organisme commence à souffrir de la chaleur (crampes, fatigue, faiblesse et/ou insomnie inhabituelle) et penser à boire, se mettre au frais. Appeler le médecin s’ils s’aggravent ou persistent plus d’une heure.

Maux de tête violents, nausées vomissements, propos incohérents, perte de connaissance, convulsions, température supérieure à 39 °C : c’est le coup de chaleur. Il faut appeler le 15 (le Samu).

Source OUEST FRANCE.

Coronavirus. Les enfants de moins de cinq ans pourraient être extrêmement contagieux selon une étude…

Selon une étude, publiée jeudi dans une revue médicale américaine, les très jeunes enfants pourraient être d’importants propagateurs du virus.

Les chercheurs ont observé la présence du Covid-19 en quantité « 10 à 100 fois supérieure » aux autres dans leurs voies respiratoires.

Des travaux, menés en Ile-de-France en juin, montraient que les plus jeunes étaient « de tout petits contaminateurs » (PHOTO D'ILLUSTRATION).

Le taux de matériel génétique du coronavirus détecté dans le nez d’enfants de moins de cinq ans est 10 à 100 fois plus élevé que celui trouvé chez des enfants plus âgés et des adultes, selon une étude américaine publiée jeudi 30 juillet.

Les très jeunes enfants pourraient donc être d’importants propagateurs du virus dans la population, selon cette étude parue dans la revue médicale JAMA Pediatrics, une hypothèse allant à l’encontre du discours actuel.

L’administration de Donald Trump pousse ainsi depuis des semaines les écoles et les garderies des différents États à la réouverture afin de relancer l’économie du pays.

Entre le 23 mars et le 27 avril, des chercheurs ont mené à Chicago des tests de dépistage avec prélèvement nasal sur 145 patients, souffrant d’une forme légère à modérée de la maladie Covid-19, une semaine après l’apparition de leurs premiers symptômes.

Les patients étaient divisés en trois groupes : 46 enfants de moins de cinq ans, 51 enfants âgés de 5 à 17 ans et 48 adultes entre 18 et 65 ans.

L’équipe a observé la présence de SARS-CoV-2 en quantité « 10 à 100 fois supérieure » aux autres dans les voies respiratoires des jeunes enfants.

Des résultats à contresens des autorités sanitaires

Les auteurs de l’étude ont précisé qu’une étude en laboratoire avait prouvé que plus il y avait de matériel génétique du virus, plus ce dernier pouvait devenir contagieux.

« Par conséquent, les jeunes enfants peuvent potentiellement être d’importants facteurs de contagion du SARS-CoV-2 dans la population », selon les scientifiques.

« Les comportements habituels des jeunes enfants et les endroits clos dans les écoles et les garderies posent la question d’une propagation du SARS-CoV-2 dans cette population à mesure que les mesures sanitaires s’assouplissent », ont-ils conclu.

Ces résultats ne vont pas dans le sens des autorités sanitaires qui jugent que les jeunes enfants ne transmettent pas beaucoup le virus, d’autant qu’il a été établi qu’ils ont moins de risques de contracter une forme sévère de la maladie.

Toutefois peu de recherches ont été effectuées sur ce sujet jusqu’à présent.

Selon une étude en Corée du Sud, les enfants entre 10 et 19 ans transmettent le virus autant que les adultes au sein d’un foyer, mais les enfants de moins de neuf ans le transmettent moins.

Source OUEST FRANCE.

Coronavirus. « Les jeunes ne sont pas invincibles » met en garde l’OMS…

Les jeunes peuvent être contaminés, mourir et transmettre le Covid-19.

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé les exhorte à prendre des précautions face à la pandémie, alors que la transmission du virus est en hausse dans de nombreux pays.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l'OMS, le 3 juillet 2020, à Genève.

Les jeunes « ne sont pas invincibles » face au Covid-19. Ils sont, dans certains pays, trop nombreux à « baisser la garde », entraînant une hausse de la transmission du virus, a averti jeudi 30 juillet le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

« Nous l’avons dit et nous le redisons : les jeunes peuvent être contaminés, les jeunes peuvent mourir, et les jeunes peuvent transmettre le virus », a martelé le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus au cours d’une conférence de presse.

« Il semble que les rebonds de cas dans certains pays sont en partie dus à des jeunes qui baissent la garde pendant l’été dans l’hémisphère nord », a-t-il souligné, les exhortant à « prendre les mêmes précautions que les autres pour se protéger du virus et pour protéger les autres ».

« Les jeunes devraient être à la pointe du changement » dans les nouvelles attitudes sociales induites par la pandémie – distanciation physique, lavage des mains, port du masque lorsque la distanciation est impossible -, a insisté le Dr Tedros.

Les night-clubs, notamment, sont « des amplificateurs de la transmission du virus », a ajouté une responsable de l’OMS, Maria Van Kerkhove.

Quel impact à long terme ?

En outre, même si le coronavirus dans ses formes graves touche essentiellement des personnes âgées ou déjà atteintes d’autres pathologies, la maladie, même dans ses formes modérées, « peut affecter de nombreux organes. Nous ne savons pas quel est l’impact à long terme », a mis en garde le responsable des urgences sanitaires de l’OMS, le Dr Michael Ryan.

Le Covid-19 « entraîne une inflammation des poumons, mais il a aussi été constaté que ce processus inflammatoire peut s’étendre au système cardiovasculaire, dans le sang, le cœur, dans d’autres organes… », a-t-il alerté.

« Ne prenez pas de risques inconsidérés. Les risques à l’heure actuelle ne peuvent pas être quantifiés clairement », a insisté le médecin.

Des flambées de cas de coronavirus ont été observées dans des pays européens où les jeunes en vacances vont dans les bars ou organisent des soirées sur les plages.

Au Canada, les moins de 39 ans constituent une nette majorité des nouveaux cas de Covid-19, ont averti le week-end dernier les autorités sanitaires du pays.

La pandémie a fait près de 670 000 morts dans le monde et plus de 17 millions de cas ont été diagnostiqués depuis fin décembre.

Source OUEST FRANCE.

Mise à jour – Allocation aux adultes handicapés (AAH)…

L’allocation aux adultes handicapés (AAH) est une aide financière permettant d’assurer un revenu minimum aux assurés sociaux éligibles.

Elle est octroyée sous réserve de remplir plusieurs conditions, dont un critères de ressources.

Mise à jour - Allocation aux adultes handicapés (AAH)...

 

AAH : démarches

Instaurée par la loi du 11 février 2005, l’AAH est accordée sur décision de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) afin de compléter les ressources de personnes en situation de handicap.

Pour bénéficier de cette aide, il faut s’adresser à la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) en joignant un formulaire de demande (Cerfa n° 13788*01) ainsi qu’un certificat médical de moins de 3 mois. C’est la MDPH qui instruit le dossier avant de le transmettre à la CAF (ou la MSA pour les professions agricoles).

La MDPH répond dans un délai de 4 mois. En l’absence de réponse, la demande est considérée comme rejetée.

Bon à savoir : depuis le 1er janvier 2019, l’AAH est attribuée à vie aux personnes dont le handicap n’est pas susceptible d’évoluer. Si cette situation n’est pas stabilisée, l’attribution de l’AAH est réévaluée tous les ans.

Conditions pour obtenir l’AAH

Pour percevoir l’AAH, sauf situations particulières, il faut résider de façon permanente sur le territoire français et les séjours à l’étranger ne doivent pas être supérieurs à 3 mois consécutifs au cours de l’année civile.

Cette aide financière est attribuée en fonction de différents critères d’incapacité, d’âge, de résidence et de ressources. Il faut :

  • avoir entre 20 et 60 ans, sauf dérogations ;
  • être atteint d’un taux d’incapacité au moins égal à 80 % ou inférieur à 80 % et occasionnant une restriction à l’emploi ne pouvant être compensée par des mesures d’aménagement de poste de travail. Si cette durée prévisible est d’au moins 12 mois à compter du dépôt de la demande d’AAH, cette incapacité est réputée “durable”. Le taux d’incapacité précis est déterminé par la CDAPH en fonction d’un guide-barème ;
  • être français ou fournir un titre de séjour en règle ;
  • disposer des ressources modestes : les revenus de l’allocataire et de la personne avec laquelle il vit ne doivent pas dépasser un certain plafond. Les revenus de l’allocataire sont examinés par la CDAPH puis par la CAF.

En 2020, ces plafonds ne doivent pas dépasser un certain montant Plus d’info, vous pouvez cliquer sur ce lien.

Depuis le 1er avril 2019, les ressources prises en compte sont celles de l’année en cours et non plus celles de l’année N-2. Les revenus imposables issus de valeurs mobilières sont pris en compte dans le montant des ressources.

A noter : les bénéficiaires de l’AAH sont affiliés au régime général de l’Assurance maladie, exonérés de la taxe d’habitation et ont droit à la réduction sociale téléphonique.

>> A lire aussi – Allocation supplémentaire d’invalidité (ASI)

Montant de l’AAH

Le montant de l’AAH dépend de la situation financière et sociale de l’allocataire.

Personne n’ayant aucune ressource : le montant maximal de l’aide est de 902,70 euros par personne.

Personne percevant déjà une rente d’invalidité, retraite ou accident du travail : différence entre le montant de la pension (ou de la rente) et les 902,70 euros.

A certaines conditions, l’AAH est versée aux personnes travaillant dans un Etablissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) ou en milieu ordinaire.

Situations particulières : les personnes hospitalisées, incarcérées ou en hébergement de moins de 60 jours continuent à percevoir l’AAH à taux plein. Au-delà de 60 jours, sauf cas spécifiques (être parent, vivre avec une personne handicapée ne travaillant ou paiement du forfait journalier), le montant de l’AAH est réduit à 30 % (270,81 euros). A la sortie, le versement de l’AAH retrouve son taux normal.

A noter : les personnes ayant atteint l’âge légal de la retraite après le 1er janvier 2017 conservent le bénéfice de l’AAH. Elles n’ont donc pas à demander l’Allocation de solidarité aux personnes âgées que l’AAH remplace.

AAH et cumuls

Le complément de ressource est supprimé depuis le 1er novembre 2019. Il est fusionné avec un autre complément de l’AAH, la majoration vie autonome (MVA). Mais si vous le perceviez avant cette date, vous continuez à le percevoir pendant 10 ans, si vous remplissez les conditions.

Le cumul de l’AAH et de l’Allocation de Solidarité Spécifique (ASS) est interdit, sauf si ces deux aides étaient perçues au 31 décembre 2016.

Source CAPITAL.

Écœurées par le versement aléatoire de la prime Covid, les aides à domicile témoignent…

Alors que l’État a décidé de verser une prime pour service rendu pour le personnel soignant et travaillant dans les maisons de retraite, il laisse la charge de son versement aux conseils départementaux pour les aides à domicile.

Une situation qui crée l’incompréhension. Témoignages.

Écœurées par le versement aléatoire de la prime Covid, les aides à domicile témoignent

La colère continue de monter. Les salariés du secteur de l’aide à domicile ne comprennent pas pourquoi ils ne vont pas tous percevoir une prime pour le travail accompli lors de la période de confinement. Depuis maintenant plusieurs mois, les départements et l’État se renvoient la balle sur le paiement de cette prime. Résultat d’un département à l’autre, les aides à domicile sont loin d’être traitées de la même façon. Différents scénarios se profilent. Il y a d’un côté les départements – plus d’une vingtaine – qui ont annoncé qu’ils verseront une prime. Sauf que les montants diffèrent, allant de 200 euros à 1.500 euros et les conditions pour percevoir les primes ne sont pas non plus les mêmes. De l’autre côté, il y a des départements qui ont annoncé qu’ils ne verseront rien, renvoyant la responsabilité à l’État. Et au milieu, ceux qui n’ont pas encore fait connaître leur décision.

Pour les différentes associations et fédérations du secteur, cette situation n’est pas tenable. Dans un courrier envoyé le 21 juillet dernier au Premier ministre, une vingtaine d’entre elles dénoncent cette situation arguant que c’est “incompréhensible pour ces professionnels qui ont exercé tous les jours, sur tous les territoires, pour certains la peur au ventre, souvent sans les équipements nécessaires, un travail indispensable qui aura permis de contenir la propagation du virus et de soulager les professionnels de santé”. Elles demandent l’organisation d’une réunion pour trouver une solution.

Car ce qui inquiète aussi, c’est le risque d’une deuxième vague et la capacité à pouvoir de nouveau faire face. “Sur le terrain, les professionnels ne comprennent pas et sont dans un ressenti négatif, dénonce Hugues Vidor, président de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes), qui compte notamment parmi ses adhérents des acteurs du secteur de l’aide à domicile. Tout le monde est allé au travail même si les équipements manquaient au départ et au final il n’y a pas de reconnaissance. Les fédérations nous disent que s’il y a une deuxième vague, elles ne savent pas ce qui se passera. Les professionnels sont sous pression, ils n’en peuvent plus”, ajoute-t-il.

Au coeur de toutes ces tergiversations, les aides à domicile ne comprennent pas bien pourquoi la décision est aussi compliquée à prendre. Après un appel à témoignages lancé par Capital, un sentiment d’abandon ressort de façon quasi-systématique. “Pendant le confinement, toutes les auxiliaires de vie ont travaillé sans relâche, aucune prime ne nous a été versée ce qui est vraiment inadmissible, déplore Sonia*, auxiliaire de vie dans les Alpes-Maritimes. Nous n’avons aucune reconnaissance de l’État, malgré l’aide que nous pouvons apporter aux personnes vulnérables et dans le besoin qui attendent souvent notre venue. Nous avons été oubliées.” Naît aussi un sentiment d’injustice par rapport au personnel des Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) qui se voit verser une prime financée par l’État. “Nous aussi nous avons travaillé pendant la période du confinement avec beaucoup de difficultés et de contraintes, tient à rappeler Martine, aide à domicile dans les Bouches-du-Rhône. Nous avons contribué à faire face à la crise sanitaire, nous avons toujours été en poste pour nous occuper des personnes vulnérables et malgré tout cela, nous sommes les oubliées”.

Dans leurs témoignages, les aides à domicile évoquent aussi leur rôle de rempart. Sans leur action, les hôpitaux auraient pu être encore plus engorgés. “Sans nous, les personnes chez qui nous allons n’auraient pas mangé, n’auraient pas eu de courses, pas de médicaments, pas d’aide aux repas ou aux toilettes”, liste Laurence, gérante d’une Société coopérative et participative (Scop) de services à la personne dans les Pyrénées-Orientales. Et le non versement d’une prime nationale, ne semble pas cohérent avec le discours actuel des autorités publiques qui l’affirment et le réaffirment, elles veulent encourager le maintien à domicile des personnes âgées. “Ce n’est pas logique du tout, estime Alexia, aide à domicile dans le Morbihan. On se bat pour maintenir un maximum de personnes âgées à leur domicile et ce maintien se fait aussi grâce à nous !”

Au-delà de ce sentiment d’oubli, les témoignages relèvent aussi une forte incompréhension. Quel département verse une prime ? Pourquoi une collègue qui travaille à quelques kilomètres va toucher une prime alors que ce ne sera pas le cas d’une autre qui travaille dans un département différent ? “Je ne sais toujours pas si mon département va verser une prime”, s’interroge Lucie travaillant en Corrèze. Il y a eu une réunion début juillet entre le Département et les structures d’aide à domicile, mais on ne sait pas ce qui sera fait. Peut-être une prime définie en novembre et payée en décembre ? De combien ? À qui ? Sur quels critères ?”, se demande-t-elle. Ces professionnels regrettent que leurs questions restent sans réponse. “Cela fait des mois que l’on nous dit avoir droit à la prime par le Département, or nous n’avons toujours rien et nos responsables n’en savent pas plus également”, relève Jean, assistant de vie sociale dans le Doubs. Mahdia, aide à domicile dans le Nord, département qui annoncé verser une prime, finit même par ne plus y croire. “Mon patron affirme qu’il y aura une prime ça doit être versé avant le 31 juillet mais il dit n’avoir toujours rien reçu”.

* Tous les prénoms ont été modifiés

Source CAPITAL.

Intérim et handicap : une première dans la Loire …

Toma Handicap est la première agence d’intérim réservée aux travailleurs handicapés à ouvrir dans la Loire.

Et la 8e en France. Rencontre avec Patrick Laurent, l’un des fondateurs.

Intérim et handicap : une première dans la Loire ...

Patrick Laurent, vous êtes le directeur général d’Ithac à Riorges qui emploie 300 personnes en situation de handicap. Pourquoi cette structure nouvelle ?

« La loi de 2018 permet aux entreprises qui emploient des personnes en situation de handicap, de créer des structures de travail temporaire. Nous nous sommes rapprochés de Toma Intérim à Saint-Étienne pour créer cette nouvelle Entreprise adaptée de travail temporaire (EATT). »

C’était une réelle nécessité dans la Loire ?

« Il faut savoir que le taux de chômage des personnes handicapées est deux fois supérieur au taux de chômage de la population française. Grâce à la loi de 2018, l’État a voulu faciliter l’accès à l’emploi de ces populations. Mais au-delà du travail temporaire, ce que l’on vise, c’est une sortie à hauteur de 30 % vers un emploi durable. »

Dans la Loire, beaucoup de personnes en situation de handicap recherchent un emploi ?

« Il y a énormément de personnes en situation de handicap qui sont identifiées et qui recherchent un emploi. Chez Ithac par exemple, où 300 personnes sont employées en CDI, nous n’avons aucune difficulté, quand nous créons un nouveau poste, à recruter des personnes handicapées. »

C’est aussi une opportunité pour les entreprises ?

« L’opportunité est double. D’abord parce que les entreprises classiques sont tenues d’employer 6 % de leur effectif avec des personnes reconnues en situation de handicap. Ensuite, avec cette nouvelle agence, Toma Handicap, les entreprises n’ont pas besoin de justifier de leurs besoins, ce qui n’est pas le cas avec une entreprise de travail temporaire classique. Le simple fait de faire appel à Toma Handicap dispense de justifier du motif de recours au travail temporaire, ce qui réduit les contraintes et offre plus de flexibilité. »

Toma Handicap, 8 rue Auguste-Colona à Saint-Étienne. Contact : Christelle Heyraud au 04 77 52 23 20 ou 04 57 44 24 03.

Source LE PROGRES.