Le sport par ordonnance élargi aux maladies chroniques…

SANTELes députés ont élargi aux maladies chroniques les pathologies qui peuvent faire l’objet d’une prescription de sport.

Le sport par ordonnance élargi aux maladies chroniques

 

Le dispositif du sport sur ordonnance s’étoffe un peu plus. Les députés ont élargi aux maladies chroniques les pathologies qui peuvent faire l’objet d’une prescription de sport, comme cela existe depuis 2016, dans le cadre du vote de la proposition de loi LREM sur le sport.

Depuis 2016, les personnes qui souffrent d’une affection de longue durée (ALD) peuvent bénéficier d’une ordonnance prescrivant du sport, ce qui représente environ 10 millions de personnes, et une trentaine de pathologies (AVC invalidant, diabète de type 1 et 2, sclérose en plaques…)

Elargissement à l’hypertension, l’obésité ou encore la santé mentale

Cet amendement présenté par le groupe MoDem a reçu un avis favorable du gouvernement. A cet égard, la ministre des Sports, Roxana Maracinenu a « salué l’engagement des différents groupes sur le sujet, qui a permis de donner un avis favorable co-construit avec Olivier Véran« , a-t-elle dit.

L’amendement ajoute le terme de « maladie chronique et présentant des facteurs de risques ». Le sport par ordonnance pourra donc désormais concerner l’hypertension, l’obésité mais aussi la santé mentale notamment pour les personnes souffrant de dépression. D’après plusieurs députés, cela concernera environ 20 millions de Français.

En revanche, le sport prescrit par ordonnance n’est pas remboursé. Mais il pourra aussi, prévoit cet amendement, être prescrit par un spécialiste et pas uniquement par le médecin traitant. « C’est louable d’élargir le dispositif mais il faut que le dispositif marche sur le terrain », a fait savoir Régis Juanico (Génération. s) qui avait proposé de l’élargir encore plus, et plaide aussi pour que les mutuelles puissent assurer une prise en charge.

Source 20 MINUTES.

Un médicament contre l’acné pourrait causer des troubles du développement chez l’enfant s’il est pris pendant la grossesse, alerte l’ANSM…

RISQUE POTENTIELCes médicaments à base d’isotrétinoïne orale présentent un risque pour le fœtus si la mère est sous traitement pendant sa grossesse.

Un médicament contre l’acné

 

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a annoncé que l’isotrétinoïne orale, un traitement contre l’acné, pris pendant une grossesse présentait un « risque potentiel » de constater des troubles neuro-développementaux de type autistiques chez les enfants à naître. Il présente également un risque de plus de 30 % de survenue de malformations chez les fœtus au niveau du cerveau, du cœur ou du visage.

L’agence sanitaire rappelle que ces médicaments à base d’isotrétinoïne orale, prescrits pas des dermatologues, ne doivent pas être utilisés pendant la grossesse ni chez les femmes en âge d’avoir des enfants et n’étant pas sous contraception.

Une future étude sur les données de l’assurance maladie ?

Elle recommande aux femmes d’arrêter le traitement si une grossesse survenait et de consulter un médecin. L’ANSM a noté que l’échographie pouvait ne pas révéler d’« anomalie visible » mais que « des troubles neuro-développementaux à type de retard mental ou de retard des fonctions motrices » pouvaient malgré tout survenir.

Ce jeudi, l’agence a indiqué que des investigations étaient en cours. Pour confirmer ce risque, la structure Epi-phare va déterminer si une étude sur les données de l’assurance maladie est réalisable. A noter qu’en 2019, environ 125.000 personnes étaient traitées avec ces médicaments oraux.

Ce « risque potentiel » a été mis au jour après une suspicion de troubles autistiques chez un jeune enfant exposé pendant la grossesse à l’isotrétinoïne et né sans malformation visible. C’est le réseau national des centres de pharmacovigilance qui en a reçu le signalement.

Source 20 MINUTES.

Trisomie 21 : une maman raconte le choc de l’annonce et son amour inconditionnel pour sa fille…

La bretonne Anne-Laure Kotvas, maman de la petite Léa née en octobre, évoque le choc puis sa résilience après la naissance de sa fille.

Anne-Laure Kotvas et sa petite Léa, agée de cinq mois

 

Elle évoque une première grossesse « de rêve« . Anne-Laure Kotvas qui habite Saint-Grégoire à coté de Rennes n’a même pas eu une nausée en neuf mois et les tests qu’elle a passé ne laissaient pas entrevoir de risque particulier d’avoir un enfant atteint de trisomie 21. Le 6 octobre 2020, Léa vient au monde. Il est six heures du matin. Les parents sont épuisés, le papa rentre dormir et Anne-Laure Kotvas se repose après une nuit épuisante. C’est six heures plus tard que le couperet tombe. Le pédiatre lui annonce que sa petite fille présente tous les signes de la trisomie 21. 

On est parti dans l’enfer pendant huit jours

« Je suis restée scotchée pendant plusieurs heures avant de craquer complètement. C’est comme si vous aviez un accident de la route, comme si vous traversiez la route et que vous preniez un bus » se souvient Anne-Laure Kotvas.  C’est le début d’un cauchemar qui va durer une semaine, les parents sont complètement perdus. « On est parti dans l’enfer huit jours. Au départ vous vous dites que votre vie est gâchée et que vous avez pris pour perpétuité. Les premiers jours, on est que dans des pensées négatives : est ce que je vais l’abandonner? est ce que je suis capable d’assumer ça? est ce que j’en ai l’envie ?  » explique Anne-Laure.

Un amour maternel évident

Mais finalement, l’évidence s’impose pour Anne Laure et son mari. « La nature est bien faite. L’amour inconditionnel était déjà là. Pendant 1/4 de seconde, vous vous demandez si vous allez l’abandonner et si vous en êtes capable. Si la réponse est non et que ça vous parait inconcevable, l’acceptation est déjà faite à 90% » raconte la maman. Signe de cette résilience : 3 semaines après son accouchement, Anne Laure Kotvas a créé sur Facebook la page « Je suis Léa, je suis Licorne » en hommage à sa fille, sa façon à elle de témoigner et de sensibiliser le public.

Des inquiétudes sur l’inclusion de Léa

Si les parents de la petite Léa ont fait leur chemin dans l’acceptation de leur enfant, ils savent que leurs parcours sera certainement semé d’embûches. « Tout parent se questionne sur l’avenir de son enfant mais nous, on a une couche d’inquiétudes supplémentaire et notamment sur l’inclusion dans sa scolarité et dans sa vie d’adulte. Pour l’instant elle est bébé mais c’est une montagne, c’est l’Himalaya qu’on va devoir gravir parce qu’il va y avoir des multitudes de dossiers à remplir, ça va être énormément de suivi administratif avec des lenteurs de traitement, avec des refus parce que ce n’est pas dans les carcans du moment, parce qu’ils n’ont pas l’habitude ou la flemme. Ce que j’entend c’est que c’est tout le temps un combat de convaincre, de donner des arguments, de se justifier. ça va être long, ça va être fastidieux et ça va être quelque chose de compliqué à gérer » explique Anne-Laure Kotvas.

Etre handicapée dans une société du paraître

Autre inquiétude pour Anne-Laure : le regard des autres. « Il faut que j’assume le handicap dans une société où on ne jure que par le paraître. On est que dans le superficiel et je trouve que c’est encore plus difficile, de nos jours, d’assumer le handicap à cause de ça« .

« Pendant les trois premiers jours où vous êtes dans le négatif, vous vous dites que votre fille va être moche, petite, trapue. Elle aura un petit QI parce qu’elle aura un retard et c’est super difficile quand vous avez imaginé, pendant la grossesse, que vous auriez une bombe super intelligente  qui va parfaitement s’intégrer dans une société où c’est ce qu’on vous demande d’être. On se dit qu’elle va être complètement hors des clous et décalée. C’est horrible parce qu’aujourd’hui quand vous êtes décalé dans la société, vous êtes rejeté. Il faut qu’on sorte de ça et qu’on élève notre esprit un petit peu » conclut Anne-Laure Kotvas.

Source FRANCE BLEU.

Montauban : un octogénaire et sa famille agressés dans leur appartement par un groupe de jeunes…

Les victimes disent avoir fait les frais de représailles.

Elles ont demandé leur mutation vers un autre logement social.

L'agression a eu lieu non loin de la cité des Chaumes, quartier sensible de la ville de Montauban.

 

Agression à domicile. Mardi 16 mars, une famille a vécu un calvaire avec l’irruption de plusieurs jeunes dans leur appartement à Montauban (Tarn-et-Garonne), qui se sont livrés à des violences nécessitant l’hospitalisation du père, âgé de 82 ans et handicapé. Le Parquet de Montauban a confirmé au Figaro qu’une enquête est en cours.

L’agression a eu lieu non loin de la cité des Chaumes, quartier sensible de la ville. Selon nos sources, mardi en fin d’après-midi, une des filles du couple habitant sur place aurait raccompagné l’infirmière s’occupant des soins de son père, et serait tombée sur un groupe de jeunes squattant et «fumant» aux abords de l’immeuble. Le différend n’est pas encore précisé, mais selon La Dépêche du Midi , la jeune femme avait déjà interpellé certains d’entre eux quelques jours auparavant, et leur aurait cette fois intimé de partir, «n’ayant rien à faire là et surtout pas du trafic». L’implication d’un trafic de stupéfiants n’est pas encore confirmée à ce stade.

Vers 20h, les jeunes seraient revenus en plus grand nombre, réussissant à entrer dans le hall et localisant l’appartement de la famille. Cette dernière n’aurait pas pu voir l’ensemble du groupe avant d’ouvrir sa porte. Les jeunes seraient ainsi entrés et auraient frappé le père, un homme âgé et handicapé, le faisant chuter. Ce dernier a ensuite été évacué par les pompiers et a été hospitalisé.

Le bailleur social de l’immeuble, Tarn-et-Garonne Habitat, a précisé au Figaro que l’immeuble date de 2018, est fait pour l’accueil des personnes âgées ou à mobilité réduite, et est considéré comme très tranquille. «Nous n’avions pas eu de souci de délinquance jusqu’à cette agression», confirme l’office, qui précise avoir embauché une société de sécurité pour éviter tout squat ou représailles, et protéger les résidents. Un vigile et un maître-chien sont désormais sur place, jusqu’à nouvel ordre. La famille a néanmoins demandé sa mutation vers un nouveau logement social. Selon nos sources, les patrouilles de police ont également été accentuées.

Source LE FIGARO.

Facebook Messenger renforce les paramètres de confidentialité de son application… Stop aux messages d’inconnu. es.s !…….

Le vice-président de la confidentialité et de la sécurité de Messenger a récemment tenu à rappeler à tous les utilisateurs l’existence de ses fonctions de sécurité et en a profité pour en ajouter des nouvelles.

Le but ? Que les usagers se sentent plus en confiance que jamais d’utiliser la plateforme de messagerie.

Facebook - Messenger renforce les paramètres de confidentialité de son application... Illustration

 

Pour la plupart d’entre nous, Facebook et Messenger sont une façon de rester en contact avec notre famille et nos amis proches.

Il n’y a rien de plus fatigant que de recevoir des messages indésirables d’inconnus dans notre boîte de réception ou encore de se faire envoyer des liens potentiellement malveillants.

Récemment, dans un article de blogue, les responsables de chez Facebook ont tenu à nous rappeler qu’il y avait plusieurs moyens de s’en protéger, notamment via de toutes nouvelles fonctionnalités.

paramètres confidentialité facebook messenger clairs revampés

Les paramètres de confidentialité maintenant plus clairs

La principale fonction de sécurité ajoutée, c’est la refonte des paramètres de confidentialité à même l’application Messenger.

Les options de suppression et de blocage dans les demandes de message ont été accentuées pour aider les utilisateurs à agir rapidement et facilement s’ils ne veulent pas répondre à l’appel d’un inconnu.

On peut aussi désormais voir la liste des comptes que l’on a bloqués directement à partir de l’application Messenger sans avoir à systématiquement ouvrir l’app principale de Facebook. Ça simplifie grandement la tâche si on reçoit des messages indésirables.

C’est le même principe pour les conversations secrètes, alors que l’on peut s’assurer directement depuis Messenger que notre appareil est bel et bien le seul connecté à cette fonction.

C’est maintenant beaucoup plus facile de changer nos autorisations concernant qui peut nous envoyer des demandes de message : nos différents contacts potentiels, nos abonnés Instagram et autres.

D’ailleurs, toutes les nouvelles demandes d’inconnus donnent maintenant plus de contexte sur l’identité de la personne. On retrouve aussi des options de suppression en bloc des images ou des vidéos envoyées. Ces dernières seront d’ailleurs floutées si le destinataire ne fait pas partie de nos amis.

Dans le même désir d’accroitre notre sentiment de confiance envers Messenger, Facebook dit avoir perfectionné ses algorithmes histoire de mieux nous avertir en cas d’activités suspectes sur notre compte.

Comment avoir accès à nos paramètres de confidentialité via Messenger

  1. Ouvrir l’application Messenger et cliquer sur la miniature de sa photo de profil dans le coin supérieur gauche.
  2. Défiler jusqu’au titre Préférences et sélectionner Confidentialité.

étapes comment accéder paramètres confidentialité facebook messenger

Source FRANCOIS CHARRON.

 

Internet : les arnaques les plus fréquentes sur Facebook !…

Vous utilisez Facebook régulièrement ?

Méfiez-vous, les pirates informatiques aussi, et ils sont prêts à tout pour vous faire tomber dans leurs pièges.

Quelles sont les quelques arnaques les plus fréquentes sur le réseau social…

Internet : les arnaques les plus fréquentes sur Facebook !...

 

Qui a visité mon profil ?

En tête des plus grandes arnaques, les pages « Qui a visité mon profil ? »… Sachez que vous ne pourrez jamais le savoir, puisque Facebook a toujours refusé de permettre cette possibilité, et en plus, vous risquez d’attraper un virus informatique !

Une arnaque qui se décline de plusieurs manières, mais dans tous les cas, on vous fera installer un logiciel qui est supposé être en mesure de dire qui a visité votre profil Facebook.

Le hic, c’est que le logiciel est en fait un virus qui fera apparaître des vidéos où vous et vos amis êtes identifiés et toutes sortes de publications du genre, sans même que vous touchiez votre clavier!

On invite les gens à télécharger une application pour modifier la couleur bleue de leur profil pour celle de leur choix, attention à cette offre qui cache un fichier malveillant!

Des publications qui semblent être écrites par vous mais qui ne le sont pas apparaîtront sur votre mur et celui de vos amis !

Changez la couleur de votre Facebook

On invite les gens à télécharger une application pour modifier la couleur bleue de leur profil pour celle de leur choix, attention à cette offre qui cache un fichier malveillant!

Des publications qui semblent être écrites par vous mais qui ne le sont pas apparaîtront sur votre mur et celui de vos amis!

La sextape de Rihanna et son petit ami

On voit plusieurs publications de ce type, on incite à regarder une vidéo avec des images compromettantes d’un artiste. Mais pour voir les images, on doit installer une application ou accéder à un site qui contient bien des menaces. Parfois vous ou vos amis sont identifiés dans la bande en question ou elle se publie sur votre mur.

Au final, personne ne verra jamais de vidéo… Mais la publication elle se propagera parmi vos contacts!

Et d’autres encore… Alors ouvrez l’oeil !

« Consultez mon nouveau statut pour recevoir gratuitement un T-shirt officiel Facebook

Évidemment, pour accéder au statut en question, il faut cliquer sur un lien qui redirige vers un site malveillant. Aucun t-shirt au bout de la ligne, juste des ennuis!

Vous devrez fournir vos coordonnées pour recevoir votre prix, mais tout ce qu’on veut c’est récolter le plus de données possible pour pirater vos comptes!

Dites au revoir au Facebook bleu

Une arnaque identique à celle décrite précédemment, mais cette fois-ci en français seulement. On prétend que l’application Rose Pingouin permet de colorer votre Facebook en rose. Ça semble bien mignon, mais attention au piège!

Pour compléter l’installation du Facebook Rose, vous devrez répondre à une question pour confirmer votre identité, mais sous ce formulaire se cache des sites de concours payants ou d’envoi de textos que vous autorisez à accéder à votre profil !

Produits déballés. Distribution gratuite

Des annonces accrocheuses du genre «On donne 5000 iPad car leur boîte a été ouverte!!!». Pour participer, il faut souvent faire J’aime sur un fausse page Apple Store et publier le post sur son mur. Finalement, jamais un seul cadeau n’a été reçu.

C’est de l’hameçonnage pur! On part à la pêche pour attrapper des gens qui fourniront des données personnelles, jusqu’à leur mot de passe Facebook!

Vérifiez si un ami vous a supprimé de sa liste

Il s’agit d’une extension qui doit fournir une alerte lorsque quelqu’un vous retire de sa liste d’amis. Un logiciel malveillant dont il vaut mieux se tenir loin!

L’extension s’installe sur le navigateur, mais elle sonne de fausses alertes! Mis à part récolter des infos de toutes sortes à propos de vos habitudes, elle ne sert à rien !

….

D’autres pièges !

– Cliquez ici pour voir le top 10 des profils qui vous harcèlent le plus !

– Découvre comment voir qui visite ton profil, tu n’es pas au bout de tes surprises !

– Je viens de modifier le thème de mon Facebook. C’est incroyable

Source PLANET.

Facebook : les 3 pièges qui visent les retraités…

Dix-sept ans après sa création, le réseau social de Mark Zuckerberg est celui qui reste le plus utilisé dans le monde.

En France, 40 millions d’utilisateurs sont actifs et la part de marché augmente chez les plus âgés.

Utilisé pour s’informer, partager et conserver du lien social, Facebook peut toutefois représenter plusieurs dangers que voici.

Facebook : les 3 pièges qui visent les retraités. . Illustration

 

2,80 milliards ! Ce chiffre, qui a de quoi donner le tournis, représente le nombre d’utilisateurs Facebook dans le monde. En France, le réseau social créé par Mark Zuckerberg en 1984, comptabilise 40 millions d’internautes actifs mensuels, selon les données du site spécialisé blog.dimind.com. Ce qui place le pays au 10e rang mondial. Si Facebook perd des parts de marché chez les moins de 18 ans, il ne cesse, en revanche, d’attirer de plus en plus les plus âgés.

Une aubaine, pour les escrocs, qui ont fait des réseaux sociaux leur terrain de jeu, pour trouver leurs prochaines victimes.

1. Facebook : gare aux arnaques

Les arnaques se sont d’autant plus accrues avec la crise sanitaire et les mesures restrictives mis en place pour l’endiguer (confinement, couvre-feu). Les personnes, souffrant d’un manque de lien social et d’isolement, se sont en effet rabattus, entre autres, sur les réseaux sociaux. Les connexions se sont multipliées, et le temps passé en ligne s’est rallongé. Une aubaine pour les hackers. « Qui a visité mon profil », « Vérifiez si un ami vous a supprimé de sa liste »… Autant de propositions qui ne visent qu’à installer un virus ou une extension récupérant vos données.

S’y ajoute également les fausses promotions en tous genres sur le fil d’actualité, par lesquels les cyber escrocs voleront vos données personnelles. Prenez soin de toujours regarder si l’URL d’une publicité renvoyant vers un site commence bien par « https »(site sécurisé). Avant de commander, assurez-vous que le vendeur a bien une adresse géographique et électronique, ainsi qu’un numéro dédié aux consommateurs.

Comme nous l’avons récemment évoqué dans nos colonnes, une escroquerie sévit actuellement sur Messenger, la messagerie privée de Facebook, dont le but est de vous voler votre identité : « C’est toi dans cette vidéo ? » Vous avez reçu ce type de message de la part d’un de vos contacts ? Ne la visionnez pas et ne la partagez pas. Votre compte pourrait être piraté.

Attention aussi à ne pas trop vous impliquer émotionnellement…

2. Facebook : gare à l’emprise émotionnelle

Coups de cœur, colère, compassion, encouragement… Le réseau social permet de vous exprimer librement et de réagir aux publications de vos « amis », ainsi qu’à celles des pages ou groupes auxquels vous êtes abonnés.

Cette liberté d’expression doit cependant se pratiquer avec raison. Sous l’effet de la colère, vous pouvez facilement vous laisser emporter par des mots qui dépassent votre pensée, ou prendre part à des débats sans fin, au sein desquels chaque internaute pense détenir la vérité. Une situation qui peut vous miner toute la journée, au risque de vous en prendre à votre entourage. Comme le conseille Femme Actuelle, mieux vaut donc éviter de vous mêler des conversations traitant de politique ou de religion par exemple.

Limitez aussi votre temps de connexion…

3. Facebook : gare à la dépendance

C’est un fait, depuis le début de l’épidémie, nombreux ont été les Français à se connecter plus et plus longtemps sur les réseaux sociaux. S’ils peuvent être très utiles pour retrouver des amis perdus ou conserver un lien social, ils sont aussi conçus pour vous garder le plus longtemps possible en ligne.

Via ses algorithmes, Facebook, comme les autres plateformes que sont Instagram, Twitter, Pinterest, etc., modèle son contenu, pour vous accaparer. Objectif, vous proposez toujours plus de publicités.

Les systèmes de notifications, de likes ou de partages sont aussi très addictifs. Vos relations numériques peuvent ainsi prendre le pas sur les relations réelles… Fixez-vous des limites pour ne pas tomber dans ce piège.

Source PLANET.

Autisme – Témoignage : avec mon handicap, travailler n’est pas une Option !…

Autiste et malade chronique, travailler m’épuise. Mais faute d’une allocation décente, je vais devoir chercher un nouvel emploi.

Autisme - Témoignage : avec mon handicap, travailler n'est pas une Option !...

 

Je suis une personne autiste et malade chronique de 23 ans. L’injonction à l’emploi que subissent les personnes handicapées m’a amené·e à me réorienter.

À la fin de ma troisième année de licence, j’ai dû changer de voie une première fois. Quitter la psycho pour tenter ma chance dans une licence professionnelle spécialisée dans l’accompagnement des personnes autistes. Bingo : profs compréhensif·ve·s, contenu des cours que je connaissais déjà sur le bout des doigts et un stage très intéressant. À la fin de cette année, j’ai décroché mon diplôme et un CDD d’un an.

Je faisais officiellement partie de l’équipe des « bon·ne·s handicapé·e·s », celleux qui bossent et sont utiles à la société. Mieux même, celleux qui ont réussi à faire de leur handicap une « force ».

L’autisme, ça ne se soigne pas

Le tableau tout rose s’est petit à petit dégradé : épuisement dû à mon temps de transport, les joies de Paris, soucis avec des collègues validistes, début d’endométriose causant des douleurs énormes, changement de direction à deux reprises ! Tout cela a déclenché beaucoup de crises : des replis sur moi-même où j’étais incapable de parler et de comprendre ce qu’on me disait, ou des moments d’explosion avec beaucoup de cris.

Et qui dit crise dit médecine du travail, qui a posé son verdict : « incapacité temporaire tant que l’autisme n’est pas soigné ». Souci ? L’autisme ne se soigne pas et si je devais attendre qu’il disparaisse pour reprendre mon poste, alors j’y serais encore à ma mort. Mais le Covid a pris le relais, j’ai été confiné·e, puis en télétravail et mon contrat s’est terminé.

J’étais alors convaincu·e que ce n’était qu’une petite erreur, que j’étais tombé·e dans une mauvaise structure, et je me suis donc attelé·e joyeusement à ma recherche d’emploi. Je vous épargne les galères… Mais je me suis retrouvé·e en décembre dernier dans une drôle de panade : aucun retour des employeur·euse·s et un diagnostic de spondylarthrite ankylosante qui, à terme, m’empêchera de travailler dans un domaine demandant de rester beaucoup debout. Or, dans le métier d’éducateur·trice spécialisé·e, debout, on l’est souvent. Sans compter lorsqu’on doit se pencher, porter les enfants, parfois même faire du sport avec elleux.

Le choix entre une aide financière bancale et des emplois pas accessibles

J’étais donc dans une impasse. Je ne trouvais rien niveau emploi et, même si j’avais trouvé quelque chose, cela n’aurait pas collé avec mon état de santé physique et mental. Parce que oui, même si j’adorais mon emploi, il était clairement trop épuisant pour une personne autiste. Je ne savais pas que faire. Si je demandais l’allocation adultes handicapé·e·s (AAH), alors je devrais vivre avec 900 euros par mois…

Mais uniquement jusqu’à ce que mon compagnon trouve un emploi, car une fois cela fait on me l’aurait supprimée – d’ailleurs, si vous voulez en apprendre plus sur cette aberration, je vous conseille ce site : objectifautonomie.fr. Je pouvais également poursuivre ma recherche d’emploi, ce que je fais toujours d’ailleurs ! Mais tout en sachant que ça ne déboucherait pas sur un emploi accessible pour mes handicaps.

Comme beaucoup de personnes handis, je me suis retrouvé·e coincé·e, et je le suis toujours ! Entre une aide très basse et dépendante des revenus de mon conjoint ou des métiers pour lesquels je suis qualifié·e mais qui ne me sont pas accessibles. En gros, la peste ou le choléra ?

On nous fait comprendre que l’AAH, c’est pour les feignant·e·s

J’envisage donc la réorientation. Ce n’est pas facile. Parce que dans notre société, le modèle idéal c’est bac-études-boulot-retraite, et pas bac-études-boulot-chômage-merde-je ne sais pas quoi faire-réorientation-boulot-retraite. Encore pire quand on est handicapé·e. On nous fait bien comprendre que l’AAH c’est pour les feignant·e·s, mais on ne nous propose aucune solution concrète. Et donc, bien souvent, on choisit l’AAH et on serre les dents en espérant que 900 euros, ça passe, que notre conjoint·e ne se mettra pas à gagner trop, qu’on n’aura pas besoin de le ou la quitter. Bref, on est suspendu·e·s à cette aide et on s’y accroche parce que c’est la seule solution.

Et encore. Je dis qu’on choisit l’AAH, mais c’est l’AAH qui nous choisit bien souvent. On ne va pas voir la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) en disant « oui bonjour l’AAH s’il vous plaît » et pouf on repart avec. Non, ça demande du temps, un dossier en béton, et… de la chance. Pour deux dossiers similaires, certain·e·s l’auront, d’autres pas.

Mais bon, il ne faut pas croire non plus que rendre le monde du travail totalement accessible permettrait à toutes les personnes handicapées de trouver un travail : certain·e·s d’entre nous ne pourrons jamais travailler, et c’est pour cette raison d’ailleurs que c’est important de se battre pour un monde du travail accessible ET pour une AAH décente et ne dépendant pas des revenus du ou de la conjoint·e ! On devrait pouvoir choisir ce qui est le mieux pour nous, pour nos santés physiques et psychologiques, et non ce qui sera le moins pire.

Bref.

J’ai choisi de me réorienter… en espérant que ça passe

Devant cette roulette russe, les personnes handicapées doivent bien trouver des solutions : demander l’AAH en priant pour que ça passe, tienne dans le temps et soit vivable ; trouver un·e employeur·euse et taffer même si on ne le peut pas vraiment ; ouvrir sa propre entreprise même si c’est casse-gueule et épuisant ; se mettre à temps partiel et prier pour avoir assez de sous ; ou comme ce que j’ai choisi : se réorienter, en espérant que ça passe.

Pour meubler ma recherche d’emploi, j’ai recommencé à lire et à écrire, et donc à suivre sur les réseaux des gens qui lisent, écrivent et même parfois qui bossent dans le milieu du livre. Tout cela m’a rappelé à quel point j’aimais ce milieu et à quel point ce serait chouette d’y travailler. Mais bon, reprendre les études, vraiment ?

J’ai fait quelques recherches pour me persuader que c’était un plan foireux et, surprise ! Une licence pro d’un an, ouverte pour les gens en réorientation pro et dans ma ville ! Miracle aussi, les concours pour bosser en bibliothèque sont adaptés pour les personnes en situation de handicap !

En tant qu’autiste, j’ai besoin d’infos

Un rêve qui devient réalité et une histoire qui se termine bien ? Pas vraiment. La dure réalité, c’est que je n’ai aucune information sur les démarches. Que faire, quand, comment ? Pôle emploi, la fac, même la mission locale sont aux abonnés absents et je me retrouve donc à regarder mon petit projet en me disant que bon, quand même, il a de la gueule ce projet, mais je ne sais pas quoi faire avec.

Le plus gros souci, c’est de chercher les informations. En tant que personne autiste, j’ai besoin qu’on soit clair·e avec moi sur ce que je dois faire et comment. Or là, je n’ai rien, pas le moindre début de piste. Est-ce que je dois commencer par Pôle emploi ? À moins que je ne doive d’abord contacter la licence ? Ou bien directement les bibliothèques pour obtenir un stage ? Je me suis rabattu·e sur Pôle emploi un peu au pif en espérant que ce soit le bon choix et, en attendant, eh bien… j’attends justement.

La réalité, c’est que c’est le début d’une nouvelle galère. Parce que je suis handicapé·e et que j’ai besoin d’un emploi accessible mais que rien n’a été pensé pour. Et que si je baisse les bras et que je dis : « non là ras-le-bol, personne ne m’aide, je ne sais pas quoi faire, je demande l’AAH ! », on me jugera comme feignant·e, comme un·e mauvaix·se handicapé·e qui profite des aides.

On ne peut pas bien vivre en étant une personne handicapée qui ne travaille pas

Si je me réoriente, c’est parce qu’aujourd’hui en France, on ne peut pas bien vivre en étant une personne handi qui ne travaille pas. Si je me réoriente, c’est parce que rien n’a été prévu pour les gens handicapé·e·s et qu’on doit faire notre propre chemin si on ne veut pas crever.

Entendons-nous bien : si l’AAH était une somme décente permettant de vivre bien, si elle ne dépendait pas des revenus du ou de la conjoint·e, si je n’étais pas dans l’incertitude d’être peut-être pas assez handicapé·e pour l’avoir, et bien, je ne chercherais pas de réorientation. Parce qu’aujourd’hui, même faire les courses m’épuise et me fait mal, alors travailler 35 heures par semaine, vous imaginez. Mais je cherche parce que je n’ai pas le choix… et j’espère pouvoir travailler en bibliothèque parce que, même si cela ne sera pas parfait, ce sera pour le moment la solution la moins pire.

Aujourd’hui, je me réoriente parce qu’on ne me laisse pas le choix.

Kelig, 23 ans, en recherche d’emploi, Rennes

Konbini news a choisi de respecter le souhait de Kelig et de poster ce texte tel qu’il a été écrit, c’est-à-dire en écriture inclusive.

Ce témoignage provient des ateliers d’écriture menés par la ZEP (la zone d’expression prioritaire), un média d’accompagnement à l’expression des jeunes de 15 à 25 ans, qui témoignent de leur quotidien comme de toute l’actualité qui les concerne.

Par La Zep, publié le 19/03/2021

Source KOMBINI NEWS.

Alimentation végane : des os fragilisés par les carences …

Notre santé osseuse peut-elle vraiment se passer de protéines animales : viande, fromage, lait, œuf… ? La réponse est non selon des scientifiques allemands.

Alimentation végane : des os fragilisés par les carences

 

Malgré les différentes alternatives dans l’assiette et les suppléments anti-carences consommés en cas de véganisme, l’exclusion des protéines animales pourrait nuire à la santé osseuse.

Pour nous éclairer sur ce point, des chercheurs allemands ont recruté 36 personnes véganes et 36 autres consommant de tout. Tous ont passé un test basé sur des ultrasons. Des prélèvements sanguins et urinaires ont aussi été effectués. « Ces examens nous ont permis d’observer le métabolisme osseux à partir de l’identification de 12 biomarqueurs précis », décrit le Pr Andreas Hensel, principal auteur de l’étude. Il s’agit par exemple de la lysine, un acide aminé, mais aussi des vitamines A et B6.

Résultat, « ces différents marqueurs étaient présents en quantité moindre chez les volontaires véganes comparés aux non-véganes ». Un point qui pourrait confirmer une moins bonne santé osseuse chez les personnes ne consommant aucune protéine animale.

Autre étude probante sur le sujet : un sur-risque de fracture osseuse de 43% lié aux régimes véganes et végétariens a en effet été mis en avant par des chercheurs britanniques des Universités d’Oxford et de Bristol. Et ce comparé à des personnes consommant régulièrement de la viande et des produits laitiers. « De faibles apports en calcium et en protéines ont été associés à une qualité dégradée de la santé osseuse », décrit le Dr Tammy Tong, principal auteur de l’étude.

Les protéines et le calcium dans les légumes ?

Certes, une alimentation végétarienne ou végane peut apporter des protéines et du calcium : les légumineuses (lentilles, pois chiche, haricots, fèves…), les oléagineux (amandes, noisettes, noix…), les céréales (quinoa, sarrasin), certains légumes (le brocoli, le panais…), le tofu et le seitan contiennent des protéines. Le calcium, lui, se trouve dans le beurre de sésame, les laits et yaourts végétaux, les figues sèches, les amandes et le brocoli.

Mais les concentrations sont moindres comparées aux protéines animales. Et la consommation quotidienne de légumes, légumineuses et autres alternatives ne suffisent pas toujours à éviter des carences.

À titre d’exemple, on trouve l’équivalent de 20 grammes de protéines dans :
-80 grammes de cuisse poulet rôti ;
-100 grammes de jambon ;
-200 grammes de lentilles cuites ou de tofu ;
-240 grammes de pois cassés ou de pois chiche ;
-490 grammes de quinoa cuit.

Source EST REPUBLICAIN.

Une bassine d’urine versée sur des adultes handicapés et leurs éducateurs …!

L’incident s’est produit mercredi après-midi. Alors que six adultes handicapés et leurs éducateurs partaient en sortie, un récipient rempli d’urine leur a été versé sur la tête depuis l’une des fenêtres de la tour Béchaud.

Une bassine d’urine versée sur des adultes handicapés et leurs éducateurs

 

L’incident a profondément marqué un groupe de six adultes handicapés et leurs deux éducateurs. Mercredi en début d’après-midi, ils venaient de quitter le Service d‘accueil et d’activités de jour de Belfort (SAAJ). Ils rejoignaient leur véhicule pour partir en sortie. Ils venaient d’y arriver quand ils ont été aspergés d’urine.

Selon nos informations, le contenu d’un récipient, comme une bassine ou une casserole, leur a été versé sur la tête depuis une des fenêtres de la tour Béchaud dans le quartier de la Pépinière à Belfort. Le liquide a également éclaboussé les véhicules de l’Adapei.

« Cet évènement témoigne des violences ou des moqueries que subissent, de nos jours, les personnes handicapées et vulnérables »

Cet acte, qui a conduit à une intervention de la police, a profondément choqué pour ne pas dire scandalisé un des témoins présents durant l’incident qui n’a pas fait de blessés. Il a tenu à le dénoncer.

« Cet évènement témoigne des violences ou des moqueries que subissent, de nos jours, les personnes handicapées et vulnérables », reproche-t-il. « Il porte atteinte à leur intégrité. Imaginez le traumatisme qu’il a provoqué. »

Les huit personnes sont retournées au SAAJ se laver. En fin de journée, les éducateurs ont prévenu les familles qui venaient récupérer les adultes handicapés de laver leurs vêtements.

« Et comme les minibus étaient sales », s’insurge une des membres d’une famille, « le groupe n’a pas fait la sortie prévue. La double punition ! »

Source EST REPUBLICAIN.