Scewo, le fauteuil roulant nouvelle génération qui monte les escaliers…

Scewo est un fauteuil roulant électrique innovant, développé par des étudiants suisses et imaginé pour faciliter les déplacements des personnes à mobilité réduite grâce à des technologies dernière génération, à l’instar de ce qui se fait sur les gyropodes.

Scewo le fauteuil roulant qui monte les escaliers

L’intérêt principal de ce fauteuil roulant est de combiner l’agilité et le confort de deux grandes roues pour rouler sur terrain plat, avec la robustesse de chenilles pour franchir des obstacles et monter les escaliers. Ce fonctionnement est possible grâce à 5 modes pilotés via un joystick :

Mode conduite
L’assise auto-équilibrée, comme un Segway, permet de faciliter les manœuvres sur place et d’avoir une conduite dynamique même sur des obstacles comme les trottoirs.

Mode escalade
Les chenilles en caoutchouc permettent de monter et de descendre les escaliers en toute sécurité. Les transferts sur l’escalier et retour à plat sont automatisés.

Mode arrêt
C’est le mode stationnaire qui est utilisé pour pour positionner Scewo en dessous d’une table et pour rester immobile. Il est également possible d’aller en avant et en arrière pendant ce mode.

Mode élévateur
Les chenilles et les petites roues à l’arrière peuvent être abaissées ensemble pour relever le siège. Cela permet à l’utilisateur d’atteindre des objets situés plus haut par exemple.

Mode tout terrain
C’est le mode qui permet de rouler sur des surfaces glissantes comme la neige, les graviers ou des pentes raides. Les chenilles peuvent être abaissées au sol pour une traction accrue.

Le poids du fauteuil est de 95 kg et la batterie a une autonomie d’environ 4 heures soit 15 / 20 kilomètres. Les concepteurs ont même pensé à intégrer un port USB et à développer une application Android !

Le fauteuil roulant Scewo est encore à l’état de prototype mais il devrait être commercialisé dès la fin de l’année. C’est pourquoi les jeunes concepteurs ont lancé une campagne de financement participatif pour accélérer le développement via la plateforme Patreon : www.patreon.com/scewo.

Source SCEWO.

10 choses à savoir avant de prendre de la cortisone !

Couramment prescrite pour ses propriétés anti-inflammatoires, la cortisone suscite encore beaucoup de questions.

Quels sont ses effets secondaires chez l’enfant et l’adulte?

Faut-il manger sans sel ?

Quel est le meilleur moment pour prendre le traitement corticoïde ?

On fait le point avec une spécialiste.

10 choses à savoir avant de prendre de la cortisone

nti-inflammatoire, la cortisone est généralement prescrite pour soulager des douleurs articulaires, soigner un problème ORL ou une bronchite chronique.


Il vaut mieux prendre son traitement corticoïde le matin

La cortisone est une version synthétique du cortisol, une hormone issue des glandes surrénales dont le rôle est, entre autres, de libérer l’énergie dans l’organisme. Le pic naturel de cortisol se situe vers 8 heures du matin. « En prenant son traitement en début de journée, on se rapproche de la physiologie humaine », dit le Pr Laurence Fardet, créatrice de cortisone-info.fr, un site d’information grand public indépendant de l’industrie pharmaceutique.


Un régime sans sel n’est pas nécessaire

« Aucune étude ne démontre la nécessité d’un régime sans sel. Lors d’un traitement par corticoïdes, il y a très peu de rétention hydro-sodée », assure le Pr Fardet qui conseille des apports “raisonnables” en sel, aux alentours de 6 grammes par jour.


La cortisone fait gonfler, mais c’est réversible

Au-delà de trois mois de traitement, les deux tiers des patients observent certaines modifications morphologiques. « Le tissu adipeux des jambes et des bras tend à se réduire, tandis que celui des seins, du ventre et du visage augmente », observe le Pr Fardet. De fait, la cortisone modifie la distribution des graisses dans l’organisme, en particulier chez les femmes et les personnes en surpoids. Tout va rentrer dans l’ordre à l’arrêt du traitement.


Il y a des effets sur l’humeur

En début de traitement, certains peuvent devenir irritables ou dépressifs, d’autres versent plutôt dans l’euphorie. Ces troubles de l’humeur sont fréquents puisqu’un patient sur deux est concerné. « Dans 5 à 10 % des cas, ces troubles peuvent être graves » indique le Pr Fardet qui conseille de vite consulter son médecin afin qu’il diminue, si possible, la dose de médicament.


Mieux vaut limiter le sucre

La cortisone modifie le taux de glucose dans le sang, au point qu’un traitement supérieur à trois mois double le risque de diabète. Les personnes en surpoids sont les plus exposées. « Il faut éviter de trop manger et faire attention aux sucres rapides comme le pain blanc, les pâtes, le riz ou les gâteaux », conseille le Pr Fardet.


Elle fragilise os et tendons

Prendre un corticoïde pendant plus de trois mois augmente le risque de fracture et d’ostéoporose. Premier conseil : pratiquer une activité physique en évitant de solliciter les tendons car eux aussi sont fragilisés par la corticothérapie, à plus forte raison si le traitement est associé à des antibiotiques de la famille des fluoroquinolones. Il est aussi conseillé de consommer deux à trois laitages par jour pour leur apport en calcium.


Chez l’enfant, la cortisone ralentit la croissance

C’est vrai mais cet effet indésirable n’est associé qu’aux traitements prolongés et reçus par voie systémique (pas en crème ou en spray). « 15 jours de cortisone pour un asthme ne pose aucun problème », dit le Pr Fardet. « Nous faisons très attention avec la cortisone chez les enfants et, lorsqu’elle est prescrite, c’est pour de bonnes raisons. Il ne faut pas interrompre le traitement sans avis médical », souligne-t-elle.


Il faut être attentif au risque d’infection

La cortisone agit comme anti-inflammatoire et immunosuppresseur. Elle est d’ailleurs prescrite dans certaines maladies auto-immunes pour calmer les emballements des cellules immunitaires. Le Pr Fardet conseille aux patients sous cortisone de consulter au moindre symptôme (fièvre, douleur…) et de se faire vacciner contre la grippe et le pneumocoque, des infections potentiellement graves chez ces patients.


Cortisone et stérilet : prudence

Un des effets contraceptifs du stérilet au cuivre est dû à la légère inflammation qu’il provoque au niveau de l’utérus. La cortisone étant un anti-inflammatoire, il est légitime de s’interroger sur le risque de grossesse. « A priori, il n’y a pas de risque que leur contraception par stérilet soit moins efficace, avertit le Pr Fardet. Mais si certaines préfèrent changer de contraception, je ne leur déconseille pas. »


Il faut l’arrêter très progressivement

Au-delà d’un mois de traitement, il est recommandé de diminuer les doses par palier, avant de stopper, pour permettre aux glandes surrénales, qui ont réduit leur activité, de prendre le relais. À l’arrêt du traitement, elles ont parfois du mal à “redémarrer”. Le risque pour le patient est de se retrouver en insuffisance surrénalienne, un état qui peut mettre sa vie en danger. D’où la recommandation de ne jamais arrêter brutalement une corticothérapie.

A noter : Les dermocorticoïdes, des crèmes à base de cortisone à appliquer sur la peau par exemple en cas d’eczéma, ont moins d’effets indésirables que les traitements oraux.

Source Santé Magazine.

La dépression souriante, le masque du bonheur qui cache un profond mal-être…

Des personnes déprimées, auxquelles leurs activités ne procurent plus de plaisir, parviennent à cacher leur état en affichant un sourire de façade.

Ce « masque du bonheur » dissimule un désespoir intérieur bien réel, difficile à détecter, à accepter et à traiter.

L’expression « dépression souriante » – qui définit le fait d’avoir l’air heureux tout en souffrant intérieurement de symptômes dépressifs – est de plus en plus répandue. Le nombre d’articles consacrés à ce sujet augmente dans la littérature populaire, et les requêtes Google qui lui sont consacrées ont considérablement crû cette année. On est toutefois en droit de se demander si la « dépression souriante » est réellement un état pathologique.

Bien que cette expression ne figure pas dans le lexique des termes techniques utilisés par les psychologues, il correspond certainement à une réalité. Il est possible d’être déprimé et de réussir à en masquer les symptômes. L’appellation technique la plus proche pour décrire cette condition est « dépression atypique ».

Dans les faits, une proportion importante de personnes déprimées, auxquelles leurs activités ne procurent plus de plaisir, parviennent à cacher leur état en souriant. Or ces personnes pourraient être particulièrement vulnérables aux tentations suicidaires.

Il peut s’avérer très difficile de repérer les personnes souffrant de dépression souriante. Elles semblent en effet n’avoir aucune raison d’être tristes – elles ont un emploi, un appartement, voire peut-être des enfants ou un partenaire. Elles sourient quand vous les saluez et peuvent converser agréablement. Bref, face au monde extérieur, elles revêtent un masque et mènent une vie apparemment normale et active.

Un désespoir intérieur bien réel

À l’intérieur, cependant, ces personnes se sentent désespérées et déprimées. Elles pensent même parfois à mettre un terme à tout cela.

Paradoxalement, la force dont elles font preuve pour continuer à mener leur vie quotidienne peut les rendre particulièrement vulnérables à ces projets de suicide. En cela, la « dépression souriante » contraste avec d’autres formes de dépression, dans lesquelles les gens peuvent avoir des idées suicidaires mais manquer d’énergie pour les mettre en œuvre.

Malgré le masque de bonheur qu’elles portent vis-à-vis du monde extérieur, les personnes souffrant de « dépression souriante » sont parfois véritablement, et bénéfiquement, touchées par les événements positifs qui leur arrivent. Ceux-ci sont capables d’améliorer leur moral.

Ainsi, le fait de recevoir un SMS d’une personne dont ils attendaient des nouvelles ou d’être félicitées dans le cadre de leur travail peut les aider à se sentir mieux pendant quelques instants. Avant de se sentir de nouveau déprimées…

Parmi les autres symptômes de cette affection, mentionnons la suralimentation, les sensations de lourdeur dans les bras et les jambes, ainsi que le fait d’être aisément blessé par la critique ou par le rejet.

Les personnes souffrant de « dépression souriante » sont également plus susceptibles de se sentir déprimées le soir et d’avoir besoin de davantage d’heures de sommeil. Dans le cas des autres formes de dépression, l’humeur peut être plus mauvaise le matin, et le besoin d’heures de sommeil moindre que d’habitude.

Cette forme de dépression « souriante » semble plus fréquente chez les personnes ayant certains tempéraments. Elle est en particulier liée au fait d’être plus enclin à anticiper l’échec, à éprouver des difficultés à surmonter les situations embarrassantes ou humiliantes, et à avoir tendance à ruminer ou à trop se focaliser sur les situations négatives qui se sont produites.

Le magazine Women’s Health a saisi l’essence même de la « dépression souriante » – la façade – lorsqu’il a demandé à des femmes de partager sur Instagram les photos qu’elles avaient diffusées sur leurs médias sociaux, en indiquant ce qu’elles avaient réellement ressenti au moment où elles avaient initialement pris ces images. Leurs messages (en anglais) sont souvent à l’opposé de ce qu’exprime l’image…

Cercle vicieux

Il est difficile de déterminer exactement ce qui cause la « dépression souriante ». La dépression peut découler d’un certain nombre de facteurs, comme les problèmes professionnels, la rupture d’une relation ou le sentiment que la vie n’a pas de sens ni de but.

La dépression est une affection très courante : une personne sur dix environ en est affectée. Parmi elles, 15 % à 40 % souffrent d’une forme atypique de dépression assimilable à une « dépression souriante ». Une telle dépression commence souvent tôt dans la vie et peut durer longtemps.

Si vous souffrez de « dépression souriante », il est donc particulièrement important d’obtenir de l’aide. Malheureusement, les personnes qui en sont affectées ne le font généralement pas, en premier lieu parce qu’elles ne réalisent pas qu’elles ont un problème – c’est en particulier le cas si elles parviennent à accomplir leurs tâches et à poursuivre leur routine quotidienne comme avant. En outre, ces personnes peuvent aussi se sentir coupables et rationaliser le fait qu’elles n’ont aucune raison d’être tristes.

Conséquence : elles ne parlent pas de leurs problèmes, et finissent par avoir honte de leurs sentiments.

Comment briser ce cercle vicieux ? Le point de départ est de prendre conscience que cette affection existe réellement et qu’elle est grave. Ce n’est que lorsque nous cesserons de rationaliser nos problèmes parce que nous considérons qu’ils ne sont pas suffisamment graves que nous pourrons commencer à améliorer la situation.

Pour certains, cette compréhension peut suffire à changer les choses, car elle vont alors rechercher de l’aide, ce qui va briser les chaînes de la dépression qui les entravaient jusqu’alors.

Trouver un sens à sa vie

Il a également été démontré que la méditation et l’activité physique peuvent être source d’énormes bienfaits en termes de santé mentale. Une étude réalisée par l’Université Rutgers, aux États-Unis, a montré que les personnes pratiquant la méditation et l’exercice physique deux fois par semaine ont vu leur niveau de dépression baisser de près de 40 %, et ce, au bout de huit semaines seulement.

La thérapie cognitivo-comportementale, qui consiste à apprendre à modifier ses schémas de pensée et son comportement, est une autre option a envisager pour les personnes affectées par cette maladie.

Enfin, trouver un sens à sa vie s’avère de la plus haute importance. Le neurologue autrichien Viktor Frankl a écrit que la pierre angulaire d’une bonne santé mentale est d’avoir un but dans la vie. Selon lui, nous ne devrions pas viser un « état sans tension », dénué de responsabilité et de défi, mais plutôt nous efforcer d’atteindre un objectif.

Trouver un but permet de détourner l’attention de soi-même, en la déplaçant sur quelque chose d’autre. Trouvez-vous donc un objectif valable et essayez de progresser vers lui régulièrement, même si ce n’est que pas à pas, chaque jour, car cette attitude peut avoir un impact positif.

Ce but peut aussi consister à prendre soin de quelqu’un d’autre. Lorsque nous cessons d’être sous les feux de la rampe et que nous pensons aux besoins et aux désirs d’autrui, nous sentons que notre vie a de l’importance. Il est possible d’y parvenir en faisant du bénévolat, en s’occupant d’un membre de notre famille, voire, pourquoi pas, d’un animal.

Sentir que notre vie compte, qu’elle a de l’importance, c’est au final ce qui lui donne un but et un sens. Ce qui peut faire une différence significative pour notre santé mentale et notre bien-être.

Source OUEST FRANCE.

Le Parlement unanime pour renforcer la lutte contre les cancers pédiatriques…

Le texte prévoit notamment d’injecter des fonds supplémentaires dans la recherche et d’assouplir les conditions d’accès au congé de présence parental.

Chaque année en France, environ 2.500 enfants et adolescents se voient diagnostiquer un cancer

l y a heureusement des causes capables de réunir tous les parlementaires : la loi pour une meilleure prise en charge des cancers pédiatriques a été votée à l’unanimité par le Sénat cette semaine après l’Assemblée Nationale en novembre. Le texte, qui confie à l’Institut national du cancer (INCa) l’élaboration d’une stratégie sur dix ans, prévoit de « dédier des crédits publics » à la recherche et de mieux accompagner les familles.

Des congés pour les parents selon la gravité de la maladie

Un de ses éléments majeurs consiste à assouplir les conditions d’accès au congé de présence parental, jusque-là limité à 310 jours sur une période maximale de trois ans. Désormais, ce congé pourra être allongé « en cas de rechute » ou « lorsque la gravité de la pathologie de l’enfant […] nécessite toujours une présence soutenue et des soins contraignants« . Ce vote « est important, même si c’est un petit pas« , a réagi la rapporteure de la commission des Affaires sociales, Jocelyne Guidez.

La future loi prévoit également une extension du « droit à l’oubli » à l’ensemble des personnes traitées pour un cancer. L’ouverture d’une négociation entre pouvoirs publics, secteurs de l’assurance et de la banque et représentants de patients est prévue au plus tard six mois après la promulgation de la loi. L’enjeu de cette négociation est considérable : sur les près de 2.500 enfants et adolescents auxquels on diagnostique un cancer chaque année, près de 80% seront guéris.

Près de 80% de guérison

Le texte voté se penche aussi sur la qualité de cette prise en charge. En particulier pour réduire au maximum la douleur des enfants pendant ces soins souvent longs et difficile. Les parlementaires demandent un rapport pour dresser « un état des lieux de la formation spécifique, initiale et continue, des professionnels de santé qui interviennent en oncologie pédiatrique ainsi que des centres dédiés à la douleur dans notre pays . »

La question des moyens n’est pas éludée. La future « stratégie décennale de lutte contre le cancer » qui sera établie par décret définira « les axes de la recherche en cancérologie et l’affectation des moyens correspondants et précise(ra) notamment la part des crédits publics affectés à la recherche en cancérologie pédiatrique ».

Dans une tribune publiée l’année dernière, le collectif Grandir Sans Cancer, constitué courant 2017 par des médecins, des chercheurs et des associations de familles, appelait à une mobilisation du gouvernement pour qu’il « favorise l’émergence et le développement de programmes de recherche fondamentale […] visant à définir les spécificités (…) des cancers pédiatriques« . Il appelait à la création d’un fonds annuel « d’environ 20 millions d’euros par an ». L’impact de cette loi dépendra donc de l’importance des crédits qui seront réellements accordés.

Source France Info.

VIVEZ MIEUX ! Profitez de la Vie ! Les Règles d’OR pour les Seniors !!!!

RÈGLES POUR LES ANNÉES D’OR, celles des SENIORS !                        Rédaction HANDICAP INFO

RÈGLES POUR LES ANNÉES D'OR, celles des SENIORS !

 

 Pour ceux d’entre nous qui ont atteint les années d’or, voici une belle collection de matière à réflexion.

 20 règles à appliquer :

 1. Il est temps d’utiliser l’argent que vous avez économisé. L’utiliser et en profiter.
Ne le gardez pas pour ceux qui ne peuvent avoir aucune notion des sacrifices que vous avez faits pour l’obtenir.
Profitez donc de l’instant présent.
2. Arrêtez de vous inquiéter
au sujet de la situation de vos enfants et petits-enfants.
Vous avez pris soin d’eux pendant de nombreuses années, vous leur avez donné une éducation, ils sont maintenant responsables d’eux-mêmes.
3. Maintenir une vie saine avec un exercice modéré ,
bien manger, marcher, respecter votre sommeil, puisqu’il devient plus difficile de rester en parfaite santé. Restez informé sans excès.
 4. Toujours acheter les meilleurs et les plus beaux éléments pour vous.
Le principal objectif est de profiter de la vie.
5. Ne pas insister sur les petites choses.
Vous avez déjà surmonté bien des choses dans votre vie, aujourd’hui l’important, c’est le présent.
Ne laissez pas l’avenir vous effrayer.
6. Indépendamment de l’âge, toujours garder l’amour vivant.
L’amour de tout, de votre famille, de votre environnement, de votre pays.
7. Soyez fiers, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Ne cessez pas vos sorties. Soignez votre corps, vous vous sentirez mieux et plus forts.
8. Ne perdez pas de vue les tendances de la mode pour votre âge, mais gardez votre sens du style.
Vous avez développé votre propre sens de ce qui semble bon pour vous : gardez cette trajectoire et soyez en fier.
Gardez votre personnalité.
 9. Lire les journaux, regarder les nouvelles.
Écoutez, lisez, assurez-vous que vous avez une messagerie active et essayez d’utiliser certains de ces réseaux sociaux.
Vous serez surpris par de nouvelles rencontres.
10. Respectez les jeunes générations et leurs opinions.
Donnez des conseils, non des critiques et essayez de leur rappeler la sagesse d’hier qui s’applique encore aujourd’hui.
 11. Ne jamais utiliser les mots: « de mon temps ». Votre temps c’est maintenant.
Vous avez été plus jeune, mais vous existez toujours maintenant, amusez-vous et profitez de la vie.
12. Embrassez votre âge d’or.
Passez votre temps avec des gens positifs, joyeux, ils vont déteindre sur vous et vos jours sembleront beaucoup plus agréables.
13. Ne pas céder à la tentation de vivre avec vos enfants ou petits-enfants
Ils doivent vivre leur vie et vous avez besoin de vivre la vôtre.
14. N’abandonnez pas vos loisirs.
Si vous n’en avez pas, organisez-vous des loisirs.
Trouvez quelque chose que vous aimez et passez du bon temps, amusez-vous.
15. Même si cela ne vous enchante pas toujours, acceptez les invitations :
Baptêmes, fêtes, anniversaires, mariages, conférences. Allez-y !
La chose importante est de quitter la maison de temps en temps.
16. Parler moins et écouter davantage.
Ne racontez pas d’histoires longues sauf si on vous le demande.
Prenez la parole sur un ton courtois et essayez d’être positifs.
17. Si vous avez été offensé par d’autres, pardonnez-leur.
Quelqu’un a dit : « Garder une dent contre l’autre, c’est comme prendre du poison ».
 18. Si vous avez une forte conviction, conservez la.
Ne perdez pas votre temps à essayer de convaincre les autres.
Vivez en étant fidèle à vos croyances et à vos choix.
 19. Rire. Rire beaucoup. Rire de tout.
Persuadez-vous que vous êtes parmi les plus chanceux. Vous avez réussi à avoir une vie, une longue vie.
20. N’ayez aucune attention de ce que les autres disent.
Soyez fier d’être vous-même, fier de ce que vous avez accompli.
Il y a encore beaucoup de bonheur à prendre, alors, prenez le !

ET N’OUBLIEZ PAS :      La vie est trop courte pour boire du vin bon marché !

Ce n’est que du bon sens !!!!

Le « nutri-Score » bientôt obligatoire sur les supports publicitaires…

Les députés ont adopté à l’unanimité le texte déposé par les insoumis jeudi soir. Mais les amendements votés sont loin des ambitions initiales.

Le nutri-Score s'affiche sur les produits transformés ou sur les boissons dans les rayons, mais seulement sur la base du volontariat des industriels.

Vous le voyez déjà dans les rayons, sur l’emballage de certains produits transformés ou les boissons (sodas, jus..) : le logo « nutri-Score » qui affiche une échelle de cinq lettres A,B,C,D et E pour nous indiquer si les valeurs nutritionnelles (sucre, sel, acide gras…) du produit sont bonnes ou mauvaises. Ce logo devra aussi figurer dans les publicités de ces produits, selon ce texte voté par l’Assemblée. La mesure doit entrer en vigueur au plus tard au 1er janvier 2021 pour laisser aux professionnels le temps de s’adapter.

Des dérogations possibles moyennant contributions

Sauf que le texte prévoit aussi des dérogations pour les industriels moyennant une contribution affectée à l’Agence nationale de santé publique.

Le texte est vidée de sa substance pour la France Insoumise. « Vous avez abrogé la totalité de nos articles. On repart d’ici avec le « nutri-Score », on s’en contentera », a commenté désabusé Jean-Luc Mélenchon.

Un texte censé lutter contre la malbouffe

A l’origine, la proposition de loi des insoumis voulait réglementer la distribution de l’alimentation industrielles, responsable de maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiovasculaires, l’obésité ou certains cancers. Parmi les propositions, faire baisser les taux de sel, sucre et acide gras dans les produits transformes, et n’autoriser dans les rayons que les additifs figurant dans la liste des denrées biologiques. Le texte visait également à réduire l’impact de la publicité alimentaire sur les jeunes.

Le texte voté ne reprend finalement que les amendements de la majorité. La loi oblige aussi les industries de l’agro-alimentaire à transmettre à l’observatoire de l’alimentation des données relatives à l’étiquetage nutritionnel de leurs produits. Un rapport annuel sera remis au Parlement  sur l’évolution de la qualité nutritionnelle. A partir de ces données, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation pourra fixée des seuils de réduction du sel, sucre et acides gras sur les produits les plus consommés par les Français.

Enfin, un amendement prévoit d’intégrer des cours sur l’alimentation dans l’enseignement scolaire. 

Source FRANCE BLEU.

VIDEO Marseille: Des chercheurs ouvrent la voie à une prothèse pilotée par un membre fantôme…

INNOVATION Contrairement aux prothèses classiques, ce prototype permet, de façon totalement intuitive, de commander les mouvements par les muscles du moignon.

Une prothèse de bras décode les mouvements du membre fantôme.

  • Des chercheurs et médecins ont mis au point une prothèse capable de détecter des mouvements d’un membre fantôme et d’actionner un bras prothétique.
  • Les patients peuvent se familiariser avec le système en quelques minutes, alors qu’une prothèse classique nécessite un long apprentissage.
  • Des start-up ont déjà manifesté leur intérêt.

C’est une découverte qui pourrait changer le quotidien de nombreuses personnes amputées. Une équipe de chercheurs du CNRS et d’Aix-Marseille Université a mis au point, en collaboration avec des médecins à Nancy, un prototype de prothèse de bras capable de détecter les mouvements du membre fantôme, comme on appelle cette sensation de présence d’un membre amputé. Une petite révolution lorsque l’on sait que 75 % des personnes amputées sont capables de bouger volontairement leur membre fantôme. Et un changement radical de point de vue sur ce membre manquant, jusqu’à présent associé le plus souvent à la douleur.

Pour mettre au point leur prototype, l’équipe a utilisé une prothèse classique mise sur le marché, mais en changeant complètement l’esprit et l’usage. Actuellement, les prothèses de bras sont contrôlées par deux paires d’électrodes placées sur des muscles du moignon, que les patients doivent apprendre à contracter d’une façon spécifique. L’apprentissage peut être long, même pour seulement ouvrir ou fermer la main prothétique, et il n’est pas rare qu’un patient abandonne au vu des difficultés à contrôler efficacement leur prothèse.

« C’est totalement intuitif »

« Avec notre prototype, il n’y a aucun apprentissage, c’est totalement intuitif, le contrôle se fait de façon naturelle », explique Jozina de Graaf, chercheuse neuroscientifique à Aix-Marseille Université. Et de poursuivre : « Les personnes bougent leur membre fantôme, et l’activité musculaire du moignon va être reconnue et associée à un mouvement. La prothèse imite ensuite ce mouvement. » L’ intelligence artificielle est en effet de la partie : les chercheurs ont créé des algorithmes capables de reconnaître les activités musculaires générées par la mobilisation du membre fantôme, et de reproduire le mouvement détecté avec la prothèse. « Cela va faciliter et libérer les mouvements », se réjouit Jozina de Graaf.

Prochaine étape, après la publication des résultats encourageants de l’étude (les patients se familiarisent en quelques minutes seulement avec le système) : le test en mode porté, et plus seulement avec la prothèse posée à côté du moignon. Pour Jozina de Graaf, une mise sur le marché d’ici 5 à 10 ans est envisageable, « des start-up ayant déjà manifesté leur intérêt ». Ce qui ne va pas l’empêcher de poursuivre ses recherches pour comprendre les mystères du membre fantôme : « Comment ces muscles bougent, d’où cela vient-il ? », s’interroge-t-elle à présent, avec cette insatiable curiosité de chercheur.

Source 20 Minutes.

Pour la première fois, des souris sourdes retrouvent l’audition…

Grâce à une technique de thérapie génique, des chercheurs sont parvenus à corriger une surdité d’origine génétique chez des souris.

Des résultats qui ouvrent la voie à de futurs essais cliniques chez l’humain.

Pour la première fois, des souris sourdes retrouvent l'audition

Comment soigner la surdité lorsque son origine est génétique ? Des chercheurs de plusieurs institutions françaises et américaines dont l’Institut Pasteur, l’Inserm, le CNRS et le Collège de France ont réussi à restaurer l’audition chez des souris présentant une surdité congénitale liée à l’absence d’un gène. Ils publient leurs résultats dans la revue PNAS.

Transférer un gène au niveau de l’oreille interne

Ces scientifiques ont travaillé sur des souris possédant la mutation génétique dite DFNB9, une forme de surdité humaine qui représente entre 2 et 8 % de l’ensemble des cas de surdités génétiques congénitales. Les personnes souffrant de surdité DFNB9 sont sourdes profondes car elles sont dépourvues du gène codant pour l’otoferline, une protéine essentielle à la transmission de l’information sonore au niveau des cellules sensorielles auditives.

Les chercheurs ont introduit le gène de l’otoferline dans des virus inoffensifs qui vont agir comme des vecteurs. Ils ont ensuite injecté ces virus porteurs du gène directement dans la cochlée, une partie de l’oreille interne, de manière à transférer localement le gène porté par le virus vers les cellules auditives de la souris. Résultat : les scientifiques sont parvenus à rétablir la transmission sonore et à restaurer chez les souris des seuils auditifs quasi-normaux.

Corriger une surdité congénitale à l’âge adulte

Cette réversion de l’audition a eu lieu sur des souris adultes, un but espéré initialement par les chercheurs. En effet, « chez l’humain, le développement de l’oreille interne s’achève in utero et l’audition débute à environ 20 semaines de gestation » et « les formes génétiques de surdité congénitale sont généralement diagnostiquées au cours de la période néonatale » rappellent les institutions impliquées dans un communiqué commun. La seule façon de corriger ce handicap est donc de réaliser une réversion de la surdité installée depuis le développement fœtal.

Prochaine étape pour ces scientifiques français et américains : demander un brevet pour cette technique de transfert de gène local dans la cochlée et réaliser des essais de thérapie génique utilisant cette méthode chez l’humain.

En parallèle, les chercheurs espèrent également obtenir de bons résultats pour d’autres gènes impliqués dans d’autres types de surdité.

Source FRANCE TV.

« Elles sont toujours en train de courir » : malgré les annonces d’embauches, la situation dans les Ehpad ne s’est pas vraiment améliorée…

Un an après l’annonce d’embauche dans les Ehpad, le personnel est toujours débordé. Leurs syndicats sont reçus  le jeudi 21.02.2019 à l’Élysée.

"Elles sont toujours en train de courir" : malgré les annonces d'embauches, la situation dans les Ehpad ne s'est pas vraiment améliorée. Une aide-soignante dans une chambre d\'un Ehpad. (Illustration). 

« Le matin, elles sont toujours en train de courir ». Les résidents de l’Ehpad de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) constatent, comme les dix syndicats de personnel, que la situation ne s’est pas améliorée, malgré une grève inédite l’an dernier et l’annonce par le gouvernement d’un plan au printemps dernier qui prévoyait la création de 20 000 postes supplémentaires.

Un an après, les représentants syndicaux seront reçus jeudi 21 février à 10 heures à l’Élysée. Ils vont demander à être reçus par Emmanuel Macron et vont remettre leurs doléances : plus de personnels dans les Ehpad publics, qui représentent environ la moitié des établissements, et des hausses de salaires.

La menace d’une nouvelle grève

Dans la chambre de son Ehpad, Renée Planchais a le sourire et le rire facile, mais cette dame âgée s’inquiète pour les aides-soignantes qui l’accompagnent au quotidien : « Elle me demande si ça va bien, mais moi je leur demande toujours ‘comment allez-vous aujourd’hui ?' », dit-elle. Souvent, Renée reçoit la même réponse. « C’est souvent la fatigue. Le matin, elles sont toujours en train de courir. Il y a énormément de travail ».  

« Il y a des fois où elles ont mal au dos, et elles s’arrêtent de travailler parce qu’elles n’en peuvent plus ». Renée Planchaisà franceinfo.

À 31 ans, Olivia Delaunay souffre de mal de dos et de fatigue. « C’est des grosses journées, c’est épuisant », raconte-t-elle. « C’est un rythme très soutenu et c’est vrai que des fois, on rentre à la maison après une journée longue et on n’a pas toujours l’énergie pour faire des taches qu’on devrait faire chez nous. Ne serait-ce que les courses à faire, j’en peux plus », lâche la jeune femme qui aime pourtant son travail.

Des temps de toilette réduit au minimum

Même si Olivia dit aimer son métier, elle n’en retire pas autant de satisfaction qu’elle le voudrait. « Une toilette qui devrait durer normalement 30 à 40 minutes, on est obligé de la faire en un quart d’heure, 20 minutes, parce qu’on n’a pas le temps et qu’il y en a d’autres qui attendent derrière », déplore-t-elle.

Les résidents ne vont pas avoir une douche tous les jours. Et on est obligé de le faire à leur place, alors qu’on est censé les stimuler pour qu’ils gardent un minimum d’autonomie.Olivia Delaunayà franceinfo

Olivia regrette que la réduction du temps de la toilette se fasse au détriment des résidents. « On n’a pas le temps de les laisser faire leur visage, ou nettoyer le haut, donc ils perdent en autonomie ».  

Dans cet Ehpad public, l’État fixe le nombre d’aides-soignantes et leur salaire. Lors du mouvement de protestation national il y a un an, Olivia avait fait grève mais depuis, rien n’a changé dans son quotidien. Il n’y a pas eu plus d’embauches et son salaire plafonne à 1 600 euros nets par mois. « C’est pas cher payé pour ce qu’on fait. On demanderait un peu plus, on n’a pas été augmenté depuis très longtemps », déclare la jeune femme.

« Nous voulons des choses concrètes »

Selon Pascal Champvert, président de l’AD-PA, l’association des directeurs d’Ehpad et de services à domicile, « nous n’avons pas vu depuis un an une seule création d’emploi », malgré l’annonce du gouvernement de recruter 20 0000 personnes. « Au contraire, ce que nous avons vu, c’est la suppression des emplois aidés », déplore Pascal Champvert qui fait partie de la délégation qui sera reçu à l’Élysée.

« Le président peut annoncer une grande loi, nous participons à ces réflexions, mais nous voulons des choses concrètes dès maintenant », martèle-t-il. Il faut plus « de personnel dans les établissements et les services à domicile. Il faut des garanties dès 2019 », assure Pascal Champvert.

Source FRANCE INFO.

 

Médicaments antidouleur : les opioïdes à l’origine de 4 décès par semaine…

La consommation de médicaments opioïdes a fortement augmenté ces dernières année en France, avec un risque de dépendance et même de décès.

L’Agence nationale du médicament rappelle qu’il faut réévaluer le traitement au bout de trois mois maximum.

La consommation d’opioïdes en hausse en France

Médicaments antidouleur : les opioïdes à l’origine de 4 décès par semaine

Médicaments antidouleur : les opioïdes à l’origine de 4 décès par semaine

La douleur est aujourd’hui mieux prise en charge. Le revers de la médaille, c’est l’explosion des prescriptions d’antalgiques. Les plus utilisés restent le paracétamol, les anti-inflammatoires non stéroïdiens et l’aspirine. On assiste, cependant, à une très nette augmentation de produits plus costauds.

Selon le dernier rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm), publié le 20 février 2019, près de 10 millions de Français se sont vus prescrire un opioïde en 2015. Dans cette famille de médicaments, le tramadol est le plus consommé (+ 68 % entre 2006 et 2017). Dans le même temps, l’oxycodone, considéré comme un opioïde fort, enregistre une hausse spectaculaire de + 738 %. En dix ans, les prescriptions d’opioïdes forts (morphine, oxycodone, fentanyl) ont bondi de + 150 %.

Ce constat inquiète l’Ansm qui souligne que ces médicaments exposent « à un risque de dépendance, d’abus, de mésusage, de surdosage et de dépression respiratoire pouvant conduire au décès ». 

Au-moins quatre décès chaque semaine en France sont liés à la consommation d’opioïdes. Quant à la part des déclarations de mésusage aux réseaux d’addictovigilance, elle a plus que doublé entre 2006 et 2015. La plupart des problèmes sont liés au tramadol.

En France, ces produits ne sont disponibles que sur ordonnances, celles-ci étant dans la majorité des cas signées par un médecin généraliste. Pour éviter une dérive à l’américaine (aux USA, la crise des opioïdes contribue à la baisse de l’espérance de vie), l’Ansm rappelle que le traitement doit être réévalué au maximum au bout de trois mois. Elle invite également les prescripteurs à prendre en compte la douleur dans tous ses aspects (physique et psychologique) et à se tourner davantage vers les thérapies non médicamenteuses comme les psychothérapies, l’hypnose, la kinésithérapie, l’acupuncture, la sophrologie, la méditation…

Source SANTE MAGAZINE.