Travailleurs handicapés : « l’obligation d’aménagement » expliquée aux employeurs…

Le Défenseur des droits Jacques Toubon publie ce 13 décembre un guide pratique pour aider les employeurs à respecter « l’obligation d’aménagement raisonnable » fixée par la loi de 2005, destinée à faciliter le travail des personnes handicapées.

Employeur de travailleurs handicapés - Aménagement obligatoire

« L’obligation d’aménagement raisonnable » est inscrite dans la loi depuis 2005. Adaptation des horaires, accessibilité des locaux, installation d’un matériel de communication adapté… son objectif est de mettre le travailleur handicapé à égalité de traitement avec les autres travailleurs, à toutes les étapes de son parcours professionnel (recrutement, période d’essai, exercice de l’emploi, promotion, accès à la formation, reclassement).

Toutefois, selon le Défenseur des droits Jacques Toubon, cette obligation « reste largement méconnue des employeurs et plus généralement des acteurs de l’insertion professionnelle des personnes handicapées et elle est peu respectée ». Dans un communiqué, il rappelle que « le refus de prendre [les mesures prévues dans la loi] est constitutif d’une discrimination ».

L’emploi concerne 37% des saisines relatives au handicap adressées au Défenseur des droits.

Dans ce contexte, il met à disposition un guide une centaine de pages, qui rappelle les grands principes de cette obligation, propose des outils concernant l’identification des besoins ou la faisabilité des mesures d’aménagement, et formule les sanctions encourues.

Le document est téléchargeable gratuitement sur le site du Défenseur des droits, et sera notamment adressé au ministère du Travail et à la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées.

Carmaux : des boules de Noël fabriquées par des handicapés…

Un réel business s’est formé autour des boules de Noël. France 3 s’est rendue à Carmaux (Tarn), où un centre qui accueille des handicapés fabrique des boules de Noël.

Situé à Carmaux (Tarn), l’Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) fabrique chaque année des boules de Noël et a acquis au fil des années une certaine réputation. Réputées incassables, les boules de Noël rebondissent comme un ballon. Avant de s’accrocher sur le sapin, il reste quelques étapes. Fabriquées à base de plastique, elles prennent leur forme lors de la phase de soufflage. Si le marché est essentiellement chinois, l’établissement a su se maintenir à flot grâce à une solide réputation.

350 000 boules de Noël chaque année

La production est principalement exportée en Europe et environ 350 000 boules de Noël sortent chaque année des ateliers, entièrement confectionnées par des personnes en situation de handicap. Dans quelques jours, ces boules auront pris place sur les sapins, ou ailleurs. Elles apporteront un peu plus de magie aux fêtes de Noël.

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Source France TV.

Feuilleton : Vidéos à découvrir – Handicap et travail, le rôle primordial des ESAT….

Le feuilleton de cette semaine est consacré aux Esat, établissements et Services d’Aide par le Travail. Ce sont des établissements médico-sociaux qui ont pour objectif l’insertion sociale et professionnelle des adultes handicapés…

Esat de Condé-sur-Noireau

Episode 1/4 : Le rêve et la voile…

Ce premier épisode est consacré à l’ESAT Les Tilleuls à Condé-sur Noireau (Calvados), un établissement qui acueille 88 personnes, pour la plupart déficientes mentales. Le travail est un moyen, pour elles, de se sentir en prise avec l’extérieur, avec la société. A leur manière, quelques usagers ont ainsi participé à la récente Transat Jacques Vabre

Episode 2/4: Des chocolats gourmands

A Colombelles, l’établissement géré par l’APEI (association de parents d’enfants inadaptés) de Caen a pour principale activité la fabrication de chocolat. La production de 5 tonnes par an est en grande partie vendue aux salariés dans les entreprises de la région parisienne avant Noël et avant Pâques. Là-bas, les usagers se chargent eux-mêmes d’en assurer la vente, une manière de se confronter au monde dit « ordinaire » qui se signale souvent par son indifférence à leur égard…

Episode 3/4 : Un salarié comme les autres à Renault-Trucks 

…revenez demain pour la suite!

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Source FR3.

Dépakine : une amende de 3 millions d’euros pour Sanofi…

Sanofi, qui commercialise l’antiépileptique Dépakine, a été condamné à verser 3 millions d’euros à une famille victime du médicament et à la CPAM. Le laboratoire va se pourvoir en cassation.

Dépakine - Sanofi condamné

C’est une première pour Sanofi : le groupe pharmaceutique a été condamné pour sa responsabilité dans la malformation d’une enfant dont la mère a pris de la Dépakine pendant la grossesse. Et l’amende est conséquente : le laboratoire devra verser 2 millions d’euros à la famille de la victime, 1 million d’euros à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), et une rente à vie à la jeune fille. Celle-ci présente en effet, selon la cour d’appel d’Orléans, « un syndrome malformatif général » et des « anomalies des membres supérieurs« .

Sanofi estime qu’il a respecté ses obligations d’information

La cour d’appel confirme ainsi la décision de 2015 du tribunal de grande instance de Tours. Elle « engage la responsabilité de la société Sanofi-Aventis France du fait de produits défectueux » et précise que la Dépakine « n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre« . Le laboratoire a déjà annoncé qu’il allait se pourvoir en cassation.

Le groupe estime que dès les années 1980, il a communiqué aux autorités de santé les risques de malformation du fœtus associés à la prise de Dépakine pendant la grossesse. « Les risques de malformations liés à la prise d’un traitement antiépileptique (Valproate de sodium) pendant la grossesse étaient bien mentionnés à l’époque des faits (2001) dans les documents d’information du médicament » et « les médecins avaient transmis cette information à la patiente« , peut-on lire dans son communiqué.

A lire aussi : « Dépakine : la première action de groupe est lancée »

« Cette décision confirme l’absence d’informations sur les dangers du produit pour la femme enceinte que je dénonce depuis près de sept ans« , a réagi Marine Martin, la présidente de l‘Association d’aide aux parents d’enfants souffrant du syndrome de l’anti-convulsivant (Apesac). « Désormais, Sanofi ne peut plus nier sa responsabilité dans ce scandale sanitaire majeur où certaines victimes ont perdu la vie« , a-t-elle ajouté. En octobre dernier, lors d’une audience intermédiaire au tribunal de grande instance de Paris, l’association de défense des victimes de la Dépakine avait perdu la première manche de son action de groupe contre Sanofi. Plusieurs de ses demandes financières avaient notamment été rejetées.

Source FR3.

Handicap – Concours Fab Life : les grands gagnants de l’édition 2017….

Découvrez les grands gagnants de l’édition 2017 !!!!!

Les prix du concours Fab Life 2017 ont été remis le 2 décembre dernier. Découvrez les grands gagnants de cette 20e édition !

concours Fab Life de Handicap International

  • 1er prix du jury : le joystick adapté
  • 2e prix du jury : la sacoche de béquille
  • 1er prix du public : le manteau adapté de Chloé
  • 2e prix du public : le pousse-pousse adapté

Il y a déjà deux ans, le concours changeait de nom et lançait sa plateforme digitale. Aujourd’hui, ils sont plus de 12 400 adeptes réunis au sein de la communauté Fab Life à :

  • consulter gratuitement les fiches tutoriels de 290 inventions ;
  • avoir accès aux plans et vidéos ;
  • rencontrer et échanger avec d’autres inventeurs passionnés et inspirés.

Fab Life a lancé une « boîte à idées » où les moins bricoleurs peuvent partager leurs idées, trouver le fab lab le plus proche de chez eux ou encore échanger avec la communauté pour obtenir les meilleurs conseils brico.

Répondre aux besoins particuliers

Avec le même mot d’ordre pour tous : faciliter le quotidien d’une personne en situation de handicap, d’un proche vieillissant et dépendant ou encore d’une personne alitée et/ou en perte de mobilité temporaire. En bref, toute personne à besoins particuliers. Bien sûr, l’inventeur peut lui aussi être le bénéficiaire !

Les dossiers retenus par le jury sont soumis au vote du public en ligne. Pour les autres, Fab Life fait aussi gagner des imprimantes 3D toute l’année sur Facebook, n’hésitez pas à nous rejoindre : facebook.com/concoursfablife

Le pari de l’innovation

Depuis deux ans, le concours s’est aussi ouvert à d’autres publics en misant sur les idées solidaires et économiques des fab labs, ces laboratoires de bidouille où règnent création, partage et entraide.

Fab Life, c’est quoi ?
Le concours Fab Life (ex concours des Papas Bricoleurs, Mamans Astucieuses et Cie) est organisé depuis 20 ans par Handicap International et son partenaire Leroy Merlin. Il permet de proposer des inventions et innovations visant à faciliter le quotidien des personnes à besoins particuliers. www.concoursfablife.orgFab Life, pour qui ?
Parmi les 290 inventions, une poussette « side-car » qui se clipse sur le fauteuil roulant d’Aurore, un « créallongé » qui permet à Anne de pouvoir dessiner allongée, un mini-fauteuil roulant qui permet à Vianney, 1 an, de se déplacer seul, un siège assis-debout qui permet à Michel de moins se fatiguer en se déplaçant chez lui… et bien d’autres encore ! Voir les inventions

Rendez-vous en 2018 pour la 21e édition !

Source Handicap International.

Vesoul : apprendre aux jeunes handicapés à circuler en ville en toute sécurité…

L’Institut Médico-Educatif de Vesoul, en collaboration avec la Prévention Routière, organise des sessions d’apprentissage des règles de sécurité de circulation en ville.

Objectif : que les adolescents handicapés puissent à se déplacer seuls en bus, jusqu’au centre d’aide par le travail.

apprendre aux jeunes handicapés à circuler en ville en toute sécurité

Pour la seconde année consécutive l’Institut Médico-Educatif de Vesoul, en collaboration avec la Prévention Routière, organise des sessions d’enseignement des règles de sécurité de circulation en ville, avec apprentissage de la signalisation du Code de la Route. Depuis septembre, grâce à un cycle de dix séances au total, 10 adolescents handicapés âgés de 16 à 18 ans se forment à cette autonomie. Alternant séance théorique et mise en pratique encadrée, ils apprennent ainsi à se déplacer seuls. L’objectif est de leur apprendre à se déplacer en toute sécurité afin qu’ils parviennent à prendre le bus pour se rendre seuls au centre d’aide par le travail (CAT).
A l’issue de cette formation, les stagiaires vont passer un test et s’ils le réussissent, recevront leur diplôme de prévention routière.

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Source FR3.

Droit à l’école pour tous…Et les enfants handicapés ?…

Quand certains enfants pleurent parce qu’ils ne veulent pas aller à l’école, d’autres enfants handicapés trépignent et voudraient y aller, mais sont refusés faute d’AVS à leur côté.

C’est quoi un AVS ? Quel est son rôle et sa formation?

enfants handicapés - droit à l'école

Un handicap moteur, un retard cognitif, un syndrôme autistique chez un enfant et la vie bascule. Pour lui et ses parents. Le simple fait d’aller à l’école devient compliqué, voire impossible. Il existe pourtant un métier qui peut tout changer pour eux. Celui d’auxiliaire de vie scolaire. Ce sont des hommes et des femmes prêts à se former pour accompagner ces enfants dans leur salle de classe, à les assister sans trop en faire mais juste assez pour leur permettre de s’épanouir, de s’intégrer aux autres élèves et de progresser.
Parmi les AVS, il y a ceux qui s’occupent exclusivement d’un enfant, les AVS individuels et ceux qui s’occupent de plusieurs enfants en même temps, les AVS collectifs.
A l’école Ampère de Strasbourg, cinq enfants bénéficient de l’aide d’un ou une avs, individuellement ou collectivement. Aboubacar Kaba est l’un d’entre-eux. Depuis un an il fait équipe avec une enseignante qui en est à sa troisième année de travail avec un AVS. Pour rien au monde, elle ne reviendrait en arrière.

Ancien sportif et formateur sportif, Boubakar Kaba apprécie aussi pleinement ce travail d’ auxiliaire de vie scolaire collectif.

Dans cette classe, qui accueille plusieurs enfants en situation de handicap, une avs individuelle les rejoint régulièrement. Ils sont donc trois adultes à devoir s’entendre, coordonner leurs actions et trouver le bon équilibre.

L’académie de Strasbourg forme actuellement 850 personnes à ce métier, car les demandes sont très nombreuses. La formation s’étale sur 60 heures pendant une année. Ces sont des ateliers pratiques, des conférences, des débats entre autres. Pour postuler à cette formation, aucun niveau d’étude particulier n’est requis, si ce n’est la maîtrise du français, puisque l’accompagnement peut aller jusqu’au BTS. Des tests de pré-sélections sont organisés par Pôle emploi et l’inspection académique insistent surtout sur le bon sens des candidats.

Les bénéficiaires de cette formation sont plus nombreux que jamais. Pour cette conférence-débat animée par deux spécialistes de l’accompagnement et du soin aux enfants en situation de handicap, ils étaient près d’une centaine dans les locaux de Canope, le centre de création et d’accompagnement pédagogique à Strasbourg.

Débloquer des fonds pour former encore plus de candidats et toujours mieux, un défi à relever rapidement. En effet le gouvernement vient d’annoncer qu’il créera 4800 postes d’AVS supplémentaires pour la rentrée 2018. Ce qui fera grimper le chiffre total des AVS en France à 11200. Un progrès certain mais encore insuffisant pour faire en sorte qu’un jour prochain, plus aucun parents d’enfant handicapé ne soit obligé de grimper sur une grue pour obtenir à corps et à cris le droit de scolariser son enfant, comme le prévoit la loi depuis 12 ans.

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Source FR3.

Etats-Unis : Une fillette handicapée se fait voler son fauteuil, un appel aux dons lancé…

VOL La famille de la petite Américaine en appelle aux bons sentiments du voleur mais a aussi lancé une campagne de crowdfunding qui a remporté un succès au-delà de son espérance…

vol de fauteuil roulant

Austyn Bloebaum, 6 ans, est atteinte de spina-bifida, une malformation de la colonne vertébrale qui oblige cette petite fille de Cincinnati ( Etats-Unis) à se déplacer en fauteuil roulant. Mais un voleur a dérobé l’équipement vital à la mobilité de l’enfant ce jeudi devant le domicile familial. Depuis, les proches d’Austyn multiplient les appels afin de récupérer le coûteux dispositif.

Comme le précise le média local WCPO, le fauteuil spécialement adapté aux besoins de la petite fille coûte 8.500 dollars, soit plus de 7.200 euros.

« Je n’arrive pas à comprendre »

C’est tout particulièrement la cruauté du geste du voleur qui fait sortir les Bloebaum de leurs gonds. « Tout le monde sur notre rue connaît Austyn, ils connaissent sa condition, tout le monde l’aime. Je n’arrive pas à comprendre que quelqu’un ait pu prendre son fauteuil. (…) Si vous l’avez volé, je prie pour vous, parce que c’est un coup très bas et clairement vous avez besoin d’aide », dénonce Casey Hamilton, la mère de la petite fille, citée par TVA Nouvelles.

Les parents de l’enfant espèrent rapidement que le fauteuil leur sera rendu ou que des informations sur l’identité du voleur leur parviendront.

Campagne de financement participatif

Car en attendant, la vie quotidienne de leur fille a été bouleversée et la scolarité d’Austyn a dû être interrompue. « C’est très douloureux. C’est dur pour elle de ne pas aller à l’école parce qu’elle aime tant y aller. (…) Je ne suis pas sûre de ce que le voleur pense en tirer, mais il lui a pris ses jambes et sa capacité à fonctionner en dehors de la maison et ça, ce n’est pas juste », accuse la mère de famille.

Et au cas où un appel à la raison du malfaiteur ne suffirait pas, les Bloebaum ont lancé une campagne de financement participatif pour acheter à Austyn un nouveau fauteuil. La collecte a dépassé toutes leurs espérances puisque les internautes ont donné plus de 10.500 dollars (8.900 euros) à la famille. Un fabricant de fauteuils a même offert un modèle correspondant à ses besoins.

Source 20 Minutes.

Sophrologie: quelles différences avec la relaxation ?…

La sophrologie va au-delà de la simple recherche de détente corporelle. Elle se veut une préparation à l’action qui doit permettre, à terme, de vivre en meilleure santé.

Sophrologie: quelles différences  avec la relaxation ?

Sophrologie, relaxation… Du pareil au même? Pas vraiment, même si les deux méthodes sont proches cousines. L’une, la relaxation, existe depuis le XIXe siècle. L’autre est plus récente: la sophrologie a vu le jour dans les années 1960. La relaxation a donc été utilisée, entre autres techniques, par le créateur de la sophrologie, le neuropsychiatre espagnol d’origine colombienne Alfonso Caycedo.

Les similitudes de ces deux techniques? Un niveau de travail similaire – le thérapeute intervient quand le patient est au bord du sommeil -, la voix comme porteuse du soin, l’absence de manipulation physique, la recherche de la détente corporelle et l’utilisation de la respiration comme support de cette présence au corps.

Mais beaucoup de choses les différencient. «Tout d’abord, la posture, explique Marie Laure Jacquet, sophrologue et directrice de l’Institut national d’enseignement de la sophrologie, l’Ines, à Paris. En relaxation, la personne est allongée ou assise confortablement. En sophrologie, nous sommes assis ou debout. La relaxation est une méthode passive, tout comme l’est un massage, alors que l’objectif de la sophrologie est de rendre la personne actrice de son changement et de son évolution: l’intention n’est pas la même.» En somme, la sophrologie propose des «outils» pour agir, pour se transformer.

Par ailleurs, la détente recherchée en sophrologie va au-delà du simple relâchement musculaire. Elle est beaucoup plus profonde: elle doit contribuer à maintenir le corps en bonne santé, en jouant également sur les organes et la circulation sanguine. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental, c’est-à-dire dans les différentes structures de la conscience. Ainsi, si la détente en relaxation est un objectif, en sophrologie, elle est un moyen. «C’est la condition préalable au travail de construction réalisé grâce à la sophrologie», précise Marie Laure Jacquet.

Porter un regard différent sur son quotidien

L’objectif du sophrologue est donc d’aider la personne à évoluer pour pouvoir porter un regard différent sur son quotidien, pour réagir autrement, pour se préparer à l’action. Et l’entraînement régulier aboutit à une meilleure connaissance de soi. «Les techniques de visualisation du futur nous permettent de nous voir agissant autrement et réussissant ce qui est bon pour nous, explique la sophrologue. Nous travaillons sur le positif et développons ainsi des connexions neuronales plus solides, qui vont concourir à renforcer la confiance en soi et à développer les capacités dont nous avons besoin dans notre vie de tous les jours.»

La sophrologie améliore ainsi les capacités telles que la mémoire, la concentration, le discernement, l’intuition… «En visualisant à l’avance un événement à venir dans sa réussite, le cerveau intègre qu’il peut très bien y parvenir», indique la thérapeute. Les bénéfices de la sophrologie en termes de prévention sont aujourd’hui reconnus: présente à l’hôpital depuis déjà un certain temps, elle s’impose de plus en plus dans le monde de l’entreprise. On la trouve même à l’école, sous une forme ludique: en même temps que les enfants s’amusent, ils apprennent à gérer leurs émotions.

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Source LE FIGARO.

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Téléthon : un record de haute voltige…

Le Téléthon a eu lieu ce samedi 9 décembre. La journée a été marquée par des centaines d’initiatives, comme celle de Nathan Paulin, un funambule qui a réalisé l’exploit de relier la Tour Eiffel au Trocadéro sur un fil, à plus de 70 mètres de haut.

Téléthon : un record de haute voltige

Dans le cadre du Téléthon, ce samedi 9 décembre à Paris, un homme aux nerfs d’acier s’est élancé de la Dame de fer. Nathan Paulin est suspendu 70 mètres au-dessus du sol, pieds nus, sur une sangle de 2,5 centimètres de large, avec un harnais comme seule sécurité. Le monde d’en bas n’en revient pas. « C’est fantastique, incroyable, mais je ne le ferai pas », avoue un touriste anglophone admiratif.

« Je suis heureux de faire ça pour le Téléthon »

Nathan Paulin, haut-savoyard de 23 ans, a réussi son pari. Il établit un nouveau record du monde en milieu urbain. « Pas mal de stress et énormément de bonheur, surtout à la fin. C’était irréel, c’était magnifique. Je suis super content que ça se fasse. Je suis heureux de faire ça pour le Téléthon », commente l’intéressé. Un peu plus de 30 minutes pour parcourir 670 mètres. Une performance qui, comme la vie, tient parfois à un fil.

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Source France TV.