Un gène impliqué dans l’épilepsie et l’autisme découvert par une équipe du CHU de Montpellier…

La recherche sur l’épilepsie et l’autisme progresse. Un nouveau gène vient d’être mis au jour par une équipe de chercheurs du CHU de Montpellier. Le gène RORA.

Un travail réalisé à l’Institut universitaire de recherche clinique en collaboration avec plusieurs universités françaises et étrangères.

Le gène RORA

Un nouveau gène impliqué notamment dans la déficience intellectuelle et lié aux affections neurodégénératives, vient d’être découvert au CHU de Montpellier. C’est l’oeuvre d’une équipe dirigée par une docteur en biologie spécialisée dans l’ADN qui travaille à l’Institut universitaire de recherche clinique en collaboration avec les universités de Montpellier, Nantes, Rennes et celle de Durham en Caroline-du-Nord.

Nous sommes à l’Institut universitaire de recherche clinique de Montpellier. C’est ici dans un laboratoire de génétique moléculaire que le docteur Claire Guissart et son équipe ont procédé à l’extraction de l’ADN de près de 16 patients de neuro-pédiatrie. La majorité est atteinte de déficience intellectuelle, d’épilepsie ou d’autisme.

Après 18 mois de recherches d’une mutation, le travail de la scientifique a porté ses fruits. L’équipe de chercheurs a identifié le gène RORA ou plutôt sa mutation.
Claire Guissart, biologiste de l’ADN a découvert ce même type de mutation chez des patients situés aux 4 coins du globe.
Une formidable avancée pour le milieu médical et les patients. Sachant qu’en France, 1 personne sur 40 est atteinte de déficience intellectuelle.

Cette découverte est le fruit d’une collaboration avec les centres universitaires de Montpellier, de Nantes, de Rennes mais aussi celui de Durham aux USA.

Source France 3.

 

 

400 kilomètres à vélo en faveur du handicap : l’association « il était une fois Louane » fait étape en Drôme-Ardèche…

Une vingtaine de cyclistes effectuent un périple sur la ViaRhôna avec une petite fille lourdement handicapée. Ils sont partis de Meyzieu (Rhône) et se rendent aux Saintes-Maries-de-la-Mer (Bouches-du-Rhône).

L’opération vise à sortir de l’isolement les familles confrontées au handicap.

Les cyclistes et membres de l'association, photographiés avec Louane lors de leur halte au Pouzin.

Une vingtaine de cyclistes effectuent en ce moment un périple intitulé « L’handicap… Ça roule! » afin de sensibiliser l’opinion publique au thème du handicap. Ils comptent parcourir près de 400 8kilomètres en six jours, accompagnés de Louane, une jeune fille de 11 ans, lourdement handicapée. Le cortège est parti dimanche 6 mai de Meyzieu dans le Rhône. Il doit arriver vendredi 11 mai aux Saintes-Maries-de-la-Mer dans les Bouches-du-Rhône en empruntant l’itinéraire cycliste de la ViaRhôna. Depuis mardi 8 mai ils sillonnent les routes de Drôme et d’Ardèche.

Chacun peut  participer à une partie de la rando

L’objectif de cette opération est triple, il s’agit à la fois de faire vivre à la jeune fille des sensations nouvelles, de sortir les familles concernées par le handicap de l’isolement et enfin de sensibiliser le public au handicap. L’association « Il était une fois Louane » appelle tous ceux qui le souhaitent à rejoindre leurs cyclistes pour participer à une partie de la randonnée.  Cette association aide trois familles pour le financement des soins et des équipements dont leurs enfants handicapés ont besoin.

Le calendrier des prochains jours

Mercredi 9 mai : départ à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme). Passages à Viviers (Ardèche), Bourg-Saint-Andéol (Ardèche), Châteauneuf-du-Pape (Vaucluse) et Roquemaure (Gard).

Jeudi 10 mai : départ à Villeneuve-lez-Avignon (Gard). Passages à Aramon (Gard), Beaucaire (Gard), Fourques (Gard) et Arles (Bouches-du-Rhône).

Vendredi 11 mai : arrivée aux Saintes-Maries-de-la-Mer (Bouches-du-Rhône).

L’opération est gratuite, néanmoins si vous souhaitez faire un don à l’association, vous pouvez écrire à cette adresse : louane.tassin@gmail.com

Source France bleu

Cinéma : « Monsieur je-sais-tout » aborde l’autisme avec humour et sensibilité…

Mercredi 9 mai sort au cinéma une comédie comme on sait les faire en France. « Monsieur-je-sais-tout » nous parle d’autisme à travers une belle rencontre entre un entraîneur de football bourru et un jeune adolescent.

Max Baissette de Malglaive et Arnaud Ducret dans "Monsieur Je sais tout"

Il est sans attache, solitaire, et voit débarquer dans sa vie un enfant atypique, son neveu. Tout les oppose, et pourtant. Arnaud Ducret, Vincent dans le film, aborde un rôle plus sérieux que ceux auxquels il nous avait habitués. Monsieur je-sais-tout rappelle les défis auxquels l’autisme peut se confronter, dont les difficultés pour s’intégrer.

Un message d’espoir

Monsieur je-sais-tout est le cousin de Rain Man, l’un des premiers films à évoquer aussi frontalement le problème de l’autisme. Le syndrome d’Asperger est une forme légère de l’autisme. Ceux qui en sont atteints sont souvent brillants, voire surdoués. Monsieur je-sais-tout, c’est une histoire d’amour, la rencontre de deux êtres qui se font du bien. Ce film donne une vision positive de cette maladie. Un message d’espoir.

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Source France TV.

Assistant de vie au masculin….

Thierville-sur-Meuse – Environ 70 structures travaillent dans le secteur du service à la personne en Meuse. Dans celui de l’aide à domicile, les employés masculins sont particulièrement rares. L’un d’eux témoigne.

Assistant de vie au masculin

« Des femmes ont refusé, elles ne voulaient pas que ce soit un homme qui s’occupe d’elles. Mais il y en a qui ont très bien accepté et sont contentes de mon travail. » Florian Noisier résume la difficulté pour un homme d’être assistant de vie. Mais le professionnalisme finit par prendre le dessus.

Dans les nouveaux locaux de l’Association d’aide à domicile pour personnes âgées et handicapées (Adapah) de la Meuse, quartier de Gibreauval, à Thierville-sur-Meuse, le jeune homme de 34 ans, maintenant à temps plein, se confie sur la réalité du métier pour un homme. Ils sont moins de 3 % à l’exercer en France. Un problème de regard pour les usagers, un problème d’état d’esprit pour les hommes. Assistant de vie est considéré par beaucoup comme un métier féminin.

Cela va faire quatre ans, que Florian Noisier travaille à l’Adapah. Il avait exercé plusieurs boulots avant et avait déjà réfléchi à la possibilité de travailler dans les services à la personne. Le basculement s’est produit lorsque Pôle Emploi lui a proposé une formation. Il n’a pas hésité. « Au début, je me demandais ce que je faisais là », n’élude-t-il pas. « J’ai eu des doutes, durant la formation, sur le boulot lui-même. Mais j’ai validé la formation et postulé à l’Adapah. » Banco.

« On a appris des techniques »

Le Verdunois, comme chaque nouvel auxiliaire, homme ou femme, est passé par une phase de tutorat, pour les gestes, mais aussi être présenté aux clients. La confiance doit être de mise puisque les aides à domicile ont les clefs des foyers des usagers.

« Ce n’était pas facile au début. Il faut du temps pour connaître les personnes, leurs besoins », poursuit-il. « Je n’avais pas les gestes simples comme maintenant, par exemple, pour la toilette. On a tous l’habitude de se nettoyer. Le faire à une autre personne, ce n’est pas évident. »

Parfois, être un homme est un atout car le matériel de levage par exemple ne rentre pas dans toutes les salles de bains. « Normalement, qu’on soit un homme ou une femme, on doit s’en sortir car on a appris des techniques pour manipuler une personne. »

Peu après, il entre chez l’une des dix personnes qu’il aide ce jour-là. Gilbert Colardelle, 88 ans, est accompagné chaque jour par l’Adapah. Florian Noisier l’aide le matin pour le lever, le petit-déjeuner, la toilette. Le retraité a aussi besoin d’aide pour s’habiller.

Lorsque son épouse était encore en vie, il se souvient qu’elle avait été surprise d’avoir affaire à un homme. Mais pour le retraité, « chaque personne a sa façon de travailler et c’est le résultat qui compte ». Il ajoute : « Tout le temps que je pourrais, je resterais chez moi. » C’est toute la mission des aides à domicile. Féminines ou masculines.

Source EST REPUBLICAIN.

 

Journée nationale contre les compteurs Linky : les opposants dénoncent les ondes électromagnétiques et la violation de la vie privée…

Ce samedi 5 mai c’était une « Journée d’action nationale contre les compteurs Linky ». Des rassemblements sont prévus notamment à Paris et dans le Vercors.

Manifestation contre les compteurs Linky

Le nouveau compteur est contesté du fait des « factures qui s’envolent, des appareils qui dysfonctionnent et donc la seule bonne solution pour ne pas être espionné par son compteur c’est d’avoir un compteur ordinaire et certainement pas un compteur Linky », a déclaré Stéphane Lhomme, conseiller municipal de Saint-Macaire (Gironde) sur France Inter.

Avec Direct Energie, on a vu que le programme Linky pouvait servir à récupérer d’innombrables données Stéphane Lhomme, militant anti-Linkysur France Inter

Cet anti-Linky de la première heure dit également s’inquiéter de « la question des ondes électromagnétiques ». Jean Gaubert, le médiateur national de l’énergie, assure, pour sa part, que « toutes les mesures qui ont été faites par des organismes indépendants, ont prouvé qu’entre les rayonnements du compteur Linky et le baby-phone dans le berceau des enfants, il y a un écart qui est monumental au détriment du baby-phone ».

Le rayonnement est le même que pour les compteurs précédents Jean Gaubert, médiateur national de l’énergieà franceinfo

Ces arguments ne convainquent pas Diny Lubbers, une Parisienne de 64 ans, qui fait partie des 5 000 plaignants en France ayant lancé une action collective contre le compteur Linky. Elle en refuse l’installation chez elle, et affirme à franceinfo avoir été « contactée par des voisines, des personnes âgées qui ont été agressées par un installateur qui voulait entrer chez elles pour installer le compteur Linky ». La sexagénaire est partie leur prêter main forte et cet installateur « s’en est pris ensuite à moi presque physiquement » a-t-elle ajouté. « Il a commencé à m’insulter, on a appelé la police qui a indiqué que ce n’était pas la première fois qu’il y avait des problèmes avec des installeurs. »

Diny Lubbers dénonce une atteinte à la vie privée à cause de ce compteur : « Pourquoi ont-ils besoin de savoir quand je suis là ou pas là ? Cela ne me plaît pas du tout ». Pour elle, le compteur Linky, « c’est Big Brother is watching you [Big Brother vous observe] ».

Source France TV.

Un handicapé en détresse fait vivre l’enfer à ses voisins…

Un unijambiste de 54 ans est sous le coup d’une expulsion après une série d’agressions et de menaces contre ses voisins dans un petit lotissement de Plaisance-du-Touch.

Plus qu’un simple conflit de voisinage, une guerre ouverte s’est désormais installée entre un groupe de riverains, rue Louis Braille, à Plaisance-du-Touch et un locataire en grande détresse. Ce Togolais de 54 ans, Fortuné, amputé d’une jambe et cloué sur un fauteuil roulant est placé dans une unité de soins à l’hôpital Marchant depuis mi-avril après une ultime interpellation par la gendarmerie. Malgré son handicap, cet ancien ouvrier dans le BTP a multiplié les insultes, agressions et incivilités auprès de ses plus proches voisins et de leurs enfants. Point d’orgue de cette affaire : dans la nuit du 7 au 8 avril, les gendarmes sont intervenus à deux reprises dans ce lotissement en retrait de la commune et géré par le bailleur social 3F pour mettre fin à des casses de voiture et à un début d’incendie sur un véhicule. Ce soir-là, Fortuné, fortement alcoolisé, avait commencé à enflammer le réservoir d’essence d’une voiture en stationnement manquant de s’immoler accidentellement par le feu. «La situation est intenable. Nous comprenons la détresse de cet homme mais il s’en prend à la fois aux véhicules et aux personnes en les insultant et les menaçant de mort», témoigne un riverain qui a déposé une plainte. Entre juin 2017 et le 11 décembre 2017, les gendarmes de la compagnie du Mirail sont intervenus à dix-neuf reprises. Malgré les trois hospitalisations d’office et un contrôle judiciaire l’interdisant d’entrer en contact avec ses voisins, le quinquagénaire s’est enhardi au fil des mois.

Excédé, un groupe d’habitants a signé une pétition demandant l’expulsion de ce voisin «ingérable» vraisemblablement atteint de troubles psychologiques et hanté par des visions de «sorcière». «Il sort devant sa porte et passe son temps à crier en menaçant tout le monde, je vais tous vous tuer, je vais vous brûler…», poursuit un riverain. Le bailleur social a lui-même engagé une procédure devant la justice pour demander le départ de Fortuné. Mercredi 2 mai, le tribunal d’instance de Toulouse s’est prononcé en faveur d’une expulsion en raison «des préjudices subis, des troubles et agressions physiques et verbales qui durent depuis plusieurs mois», a en outre, motivé le tribunal. L’avocat de Fortuné, Me Aimé Diaka, a fait appel de cette décision. «Il n’y a pas pour l’instant de solution de relogement. Cet un homme accablé, en grande détresse psychologique et psychiatrique qui doit être pris en charge», estime-t-il. Face à ses à accès de violence, le personnel soignant a espacé ses visites à son domicile. Fortuné est attendu devant le tribunal correctionnel le 18 mai pour s’expliquer sur les violences du 7 avril sur ses voisins. Une audience de la dernière chance.

Source LA DEPÊCHE.

Tribune contre les médecines alternatives : nouvelles plaintes contre les auteurs…

Le Syndicat national des médecins homéopathes veut lancer une procédure devant l’Ordre des médecins pour «non-confraternité».

Tribune contre les médecines alternatives : nouvelles plaintes contre les auteurs

Un mois et demi après sa publication dans les colonnes du Figaro, la tribune de 124 professionnels de santé contre les médecines alternatives suscite toujours de fortes réactions. Elle provoque notamment une nouvelle procédure contre ses auteurs auprès de l’Ordre des médecins. En témoigne une lettre recommandée, envoyée au Conseil national de l’ordre des médecins le 13 avril 2018 par le Syndicat national des médecins homéopathes français (SNMHF).

L’organisation souhaite porter plainte contre les 124 signataires de la tribune pour «non-confraternité et non-respect du code de déontologie». Une procédure qui rappelle celles déjà intentées contre 10 médecins, pris au hasard parmi les signataires, par un syndicat, l’Union collégiale, et des organisations de médecins homéopathes, mésothérapeutes, acupuncteurs, installés dans les Alpes-Maritimes.

Depuis l’envoi de la lettre, «le Conseil national de l’ordre des médecins est revenu vers nous pour nous indiquer la procédure à suivre», explique au Figaro le Dr  Charles Bentz, président du SNMHF. Car en l’état, la plainte ne devrait pas être recevable comme l’explique le Conseil national: «Il ne peut pas y avoir d’action de groupe et une plainte ne peut être déposée qu’à l’encontre d’un individu, et à l’échelon départemental .»

Impossible de savoir ce que risquent vraiment les signataires

Autrement dit, le syndicat devra saisir individuellement tous les conseils départementaux dans lesquels sont installés les médecins signataires! Le Dr  Charles Bentz assure qu’«il y aura une plainte nominative contre les 124 premiers signataires du document». Ou tout au moins contre ceux qui sont médecins parmi les 124 professionnels de santé qui ont signé la tribune. Depuis, le texte a recueilli près de 2.400 signatures sur Internet.

Impossible pour le moment de savoir ce que risquent vraiment les signataires. Une fois que le conseil départemental accuse réception de la plainte, il est tenu d’organiser une séance de conciliation. Si cela n’aboutit pas sur un accord, la plainte doit être transmise à la chambre disciplinaire de première instance (échelon régional) du conseil…..

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Source Le Figaro

Ce qu’il faut savoir des risques liés à l’utilisation du « slime », cette pâte gluante dont raffolent les enfants…

Slime – Plusieurs cas d’atteintes cutanées ont été rapportés aux agences de surveillance sanitaires.

Slime - pâte à malaxer bleue

Attention, ce jeu peut se révéler dangereux. Les autorités sanitaires alertent, vendredi 4 mai, sur les risques liés à l’utilisation du « slime », une pâte visqueuse colorée prisée par les enfants. « Des ingrédients utilisés pour la fabrication maison contiennent des substances chimiques toxiques », prévient l’Agence de sécurité sanitaire dans un communiqué.

Le « slime » est vendu en kits dans les magasins de jouets, ou fabriqué à la maison à partir de produits tels que de la colle à papier et de la lessive, grâce à des tutoriels disponibles sur internet. « Plusieurs cas d’atteintes cutanées en lien avec la fabrication et la manipulation de « slime » maison ont été rapportés à l’Anses par les centres antipoison, le réseau de vigilance en dermato-allergologie Revidal-Gerda et le réseau AllergOS », écrit l’agence.

Qu’est-ce que je risque ?

Plusieurs cas d’atteintes cutanées en lien avec la fabrication et la manipulation de « slime » maison ont été rapportés aux autorités sanitaires françaises.

Deux cas de sévères brûlures ont également été rapportés, au Royaume-Uni puis aux États-Unis (liens en anglais). Des jeunes filles ont eu les mains pelées, d’un rouge très vif, après avoir été en contact avec le « slime », relate Allodocteurs.

Ces produits contiennent tous des conservateurs allergisants ou irritants, explique l’Anses. Plusieurs cas d’atteintes de la peau et des ongles (brûlures, rougeurs, eczéma, démangeaisons), ont par ailleurs été observés par les réseaux de surveillance. Par ailleurs, l’utilisation de colles dans certaines recettes disponibles sur internet « expose les consommateurs, et surtout les enfants, à des solvants dont certains peuvent provoquer des irritations des yeux, des voies respiratoires et sont toxiques pour le système nerveux central », poursuit l’agence.

Du côté des colorants, utilisés pour la fabrication de « slime » maison, ils « ne sont pas tous de nature alimentaire ou destinés à être en contact avec la peau », alerte l’agence.

L’acide borique, ou borax, utilisé pour rendre la pâte élastique, peut également provoquer des brûlures. « Très concentré, l’acide borique peut servir de détergent », explique à Allodocteurs la dermatologue Séverine Lafaye.

Que faire en cas de brûlures ?…..

 

Comment jouer avec le « slime » en toute sécurité ?…..

Plus d’information, cliquez ici.

Source France TV.

 

Un dispositif inédit pour aider les handicapés à trouver du travail…

L’association APF de l’Hérault lance un réseau de parrainage original.

Des parrains en situation de handicap eux-mêmes assurent le coaching des filleuls afin de leur apporter leur expérience. Quatorze binômes ont déjà été créés dans l’Hérault.

Personne en situation de Handicap au travail

Trouver un emploi ce n’est pas simple et ca l’est encore moins quand on est une personne handicapée.

Le taux de chômage  chez les personnes handicapés est de 21%. Le manque de formation est en cause mais pas que, il y a des handicapés surdiplômés  qui ne trouvent pas de travail parfois parce qu’ils  « ne se sentent pas capable, pas à la hauteur » , c’est l’image que la société leur renvoi déplore Selma KHADRI  l’une des marraines. Elle est ex chef d’entreprise actuellement  élue au sein de l’association APF 34.

L’association  APF  34 ( association des paralysés de France)  a  imaginé  un dispositif inédit, des binômes avec d’un côté des parrains: dirigeants d’entreprises, cadres, sportif de haut niveau et même un préfet et de l’autre des filleuls à la recherche d’un emploi.

Les premiers coachent les seconds. «  Le parrain apporte ses contacts, fait jouer son réseau et il peut aussi  aider à prendre confiance en soi car il a été confronter aux mêmes difficultés que nous » raconte Damien Fargeout  l’un des filleuls âgé  de 26 ans et titulaire d’un master  de conception de jeux vidéo.

Déjà 14 binômes ont été constitués. L’association cherche de nouveaux parrains.

Source France Bleu.

Pas d’économies à l’hôpital en 2018 selon Emmanuel Macron : vraiment ?…

À écouter Emmanuel Macron, les professionnels de santé n’ont aucune raison de s’inquiéter puisque “il n’y aura pas d’économies sur l’hôpital dans ce quinquennat, je vous rassure” , avait déclaré le président sur BFMTV le 15 avril.

Seulement la ministre de la Santé, elle… fait un tout autre diagnostic…

Le mois dernier, le ministère de la Santé a rédigé une circulaire, signée par la ministre Agnès Buzyn elle-même. 70 pages pour détailler le budget 2018 des hôpitaux. Et à bien lire ce document, nous sommes tombés sur une petite annexe, intitulée “ÉCONOMIES”. Leur montant est même écrit noir sur blanc : “960 millions d’euros pèseront directement sur les établissements de santé en 2018”.

Pas vraiment ce qu’avait promis le président de la République… Chez les professionnels de santé, la pillule a dû mal à passer. “960 millions d’euros d’économies, c’est comme si on nous demandait de supprimer 15 000 emplois, et je ne crois pas qu’il y ait des emplois en trop à l’hôpital, regrette Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France (FHF). Il suffit de pousser la porte d’un service hospitalier pour voir que le quotidien n’y est pas rose.”

Emmanuel Macron : « Pas d’argent magique »

Alors comment expliquer ces économies ? C’est tout simple : le budget des hôpitaux augmente en 2018, mais moins que prévu. Il devait progresser de 4% selon les prévisions de dépenses : ce sera finalement 2%, décision du gouvernement. C’est cette différence qui explique notamment les 960 millions d’euros d’économies réclamés.

Argument du ministère : mieux maîtriser les dépenses permettra de rendre l’hôpital plus efficace. D’ailleurs, début avril, Emmanuel Macron ne l’avait-il pas suggéré lui-même lors d’une visite dans un hôpital ? “Y’a pas d’argent magique”, avait rétorqué le chef de l’État à une aide-soignante réclamant plus de moyens.

Pas d’argent magique mais des annonces du président sur l’hôpital attendues d’ici un mois. Le bon remède, enfin ?

Plus d’information, découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source France TV.