Santé – Journée mondiale aujourd’hui AVC : premier risque pour les femmes…

AVC – En France, toutes les 4 minutes, une personne est victime d’un Accident vasculaire cérébral (AVC).

AVC - Accident Vasculaire CérébralSanté –

Plus étonnant, la population vieillit mais l’AVC touche de plus en plus les moins de 65 ans. Quels sont les signes annonciateurs ? Quels sont les bons réflexes à adopter ? Éclairage avec le docteur Eric Gauthier, directeur des affaires médicales de Boehringer Ingelheim France, laboratoire qui lance, avec la Fédération France AVC, une campagne d’information et de prévention.

L’AVC, qu’est que c’est ?

« Le terme AVC se comprend facilement ; accident : brutal, vasculaire : les vaisseaux ; cérébral : la tête », explique le docteur Gauthier. L’AVC survient lorsque la circulation sanguine vers le cerveau est interrompue, soit par un vaisseau sanguin bouché, soit par la présence d’une lésion provoquant une hémorragie. Les cellules du cerveau ne reçoivent alors plus l’oxygène. « Le cerveau est très sensible à cette souffrance. Près de 2 millions de neurones meurent chaque minute et les conséquences peuvent être lourdes », continue le docteur.

Les symptômes qui ne trompent pas

1. Paralysie du visage , la lèvre est tombante – le bon réflexe : demander à la personne d’essayer de sourire –. 2. La personne a du mal à s’exprimer – le bon réflexe : faire répéter une phrase simple. 3. Un membre est inerte – le bon réflexe : demander à la personne de lever les bras.

Quels réflexes adopter ?

Eric Gauthier énumère la marche à suivre face à une personne qui montre ces symptômes : « Une seule chose à faire : prendre son téléphone et composer le 15 tout en gardant son sang-froid. Donner le nom de la personne, dire que c’est une suspicion d’AVC et surtout ne pas raccrocher avant d’avoir donné la géolocalisation du patient, jusqu’au code de la porte. » Et de poursuivre : « Cela se joue entre 2 et 4 heures après les premiers symptômes, chaque minute compte. »

Les facteurs de risques

Ils sont multiples, rappelle le docteur Gauthier : hypertension artérielle, facteurs génétiques, abus d’alcool, tabac, obésité, sédentarité, âge, diabète… « En améliorant nos modes de vie, on peut diminuer de 44 % le risque d’AVC. » Enfin, selon une étude américano-japonaise parue en février 2016, le risque d’AVC est accentué par une mauvaise hygiène bucco-dentaire. La bactérie responsable, de type streptococcus mutant contenu dans la salive, peut se fixer aux vaisseaux et favoriser l’AVC.

Les femmes les plus touchées

« Il y a autant de décès d’AVC chez la femme que d’infarctus chez l’homme », rappelle le docteur Gauthier. C’est en effet la première cause de mortalité chez la femme. « Il y a un lien hormonal évident. L’alliance tabac-pilule a des conséquences dramatiques. La ménopause provoque aussi des perturbations biologiques qui peuvent générer des AVC. ».

Source EST REPUBLICAIN

Feu vert des députés au passage de 3 à 11 vaccins obligatoires… pour les enfants s’ils veulent être admis en collectivité (crèche, école,… )…

L’Assemblée nationale a voté vendredi l’extension de 3 à 11 du nombre de vaccins obligatoires pour les jeunes enfants qui naîtront à partir du 1er janvier 2018, à l’issue de vifs débats et d’un moment d’émotion.

Onze vaccins – coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae (source de méningites), pneumocoque, méningocoque C, en plus de la diphtérie, du tétanos et la poliomyélite – seront désormais indispensables à l’enfant pour être admis en collectivité (crèche, école…), ainsi que le prévoit l’article du projet de budget de la Sécu, qui a été adopté en première lecture par 63 voix contre 3, sous les applaudissements de la majorité.

Lors du débat, la députée Michèle Peyron (La République en marche) a lâché : « Il y a trente ans, j’ai voulu attendre moi aussi et j’ai perdu un enfant », non vacciné. Son intervention, qui a suscité de l’émotion sur tous les bancs, a été suivie par une suspension de séance, à la demande de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.

Auparavant, la ministre avait défendu le principe de la vaccination, « médicament qui a sauvé le plus de vies au monde ». Or, depuis vingt ans selon elle, « nous avons baissé la garde » et « oublié ce qu’étaient ces maladies » qui ressurgissent, telle la rougeole qui a fait « une dizaine de morts ces quatre dernières années ».« La concertation a eu lieu » en 2016 sous l’égide du précédent gouvernement et « il est temps d’agir », a lancé la ministre, elle-même professeure de médecine.

« On contraint mais on ne convainc pas »

Outre la quasi-totalité des élus de la majorité, la droite, les socialistes et les Constructifs ont approuvé l’extension de l’obligation vaccinale, certains insistant cependant sur la nécessité de l’accompagner par de la pédagogie.Apparaissant assez isolée dans son groupe, Blandine Brocard (LREM) a demandé vainement la suppression de l’article, déplorant qu’« on contraint mais on ne convainc pas » et demandant un délai de « quelques mois » pour « rétablir la confiance ».

Pour leur part, les communistes et les Insoumis, « défenseurs de la vaccination » en général, se sont interrogés notamment sur une « précipitation » du gouvernement à légiférer en la matière. Ils ont aussi prôné un « pôle public de production des vaccins », au lieu des laboratoires pharmaceutiques privés.

Évoquant une visite non publique du Premier ministre Edouard Philippe chez Sanofi, le président de Debout la France et député de l’Essonne Nicolas Dupont-Aignan a demandé avec véhémence : « est-ce l’autorité politique qui gouverne ou les multinationales ? »

La ministre a aussitôt accusé l’ancien candidat à la présidentielle de chercher à se « refaire une santé sur le dos de nos enfants », et de vivre « à l’ère de la post-vérité ».

Source LE FIGARO.

CSG et aidants : le gouvernement promet de ne pas les pénaliser…

CSG et aidants –  Selon le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, la hausse d’1,7 point de la CSG s’applique également au dédommagement perçu par les aidants au titre de la prestation de compensation du handicap. Mais le gouvernement s’est engagé, mercredi 25 octobre, devant les députés, à ce que cette mesure n’impacte pas leurs ressources.

« Nous allons corriger cette injustice. » Le ministre des Comptes publics a promis aux députés de faire en sorte que les aidants ne soient pas pénalisés par la hausse de la CSG. « Puisqu’ils ont peu de revenus et font partie d’une politique sociale à accompagner », a précisé Gérald Darmanin.

Comme faire-face.fr l’a expliqué, la contribution sociale généralisée va en effet augmenter d’1,7 point le 1er janvier 2018. Sur tous les revenus, y compris le dédommagement perçu par les aidants d’un allocataire de la prestation de compensation du handicap (PCH).

Les aidants soumis au taux de CSG le plus élevé

Pourquoi ? Pour alléger les charges pesant sur le travail en France. En contrepartie, les cotisations sociales payées par les salariés du secteur privé baisseront en effet de 3,15 points en 2018. Ce transfert d’une partie du financement de la protection sociale vers la CSG va se traduire par un gain de pouvoir d’achat pour les salariés… et une perte pour tous ceux qui ne paient pas de cotisations salariales, dont les aidants.

La CSG sur le dédommagement va donc passer de 8,2 % à 9,9 %. C’est le taux le plus élevé. Le même que celui applicable aux revenus des professions non salariées et aux revenus du patrimoine. « Il y a un vice, dès la prestation, puisqu’elle est considérée comme un revenu du capital », a d’ailleurs souligné Gérald Darmanin.

Trois solutions envisagées

Mais comment compte-t-il faire pour éviter que les aidants soient pénalisés ? Les exempter de la hausse de la CSG ? Le ministre des Comptes publics n’y est pas favorable. Car il est attaché au « principe même que la CSG s’applique partout et à tous ».

Revaloriser le montant du dédommagement ? Difficilement envisageable car ce sont les départements qui paient la PCH et « il ne serait pas bon de leur demander d’avoir une charge supplémentaire ». Sauf à ce que l’État compense cette dépense.

Reste une troisième possibilité. Elle semble avoir les faveurs du ministre : « Changer le statut » du dédommagement pour que le taux de CSG applicable ne soit plus celui des revenus du capital, le plus élevé.

Réponse définitive d’ici décembre

Gérald Darmanin répondait à l’interpellation de plusieurs élus sur le sujet, dont la députée Nouvelle Gauche Éricka Bareigts et le député Les Républicains Gilles Lurton. Le projet de loi de financement est actuellement examiné en première lecture à l’Assemblée nationale. Le ministre des Comptes publics s’est engagé à apporter une réponse définitive lors du passage du texte en seconde lecture, courant novembre ou début décembre.

Source FAIRE FACE.

Découvrez les produits toxiques dangereux pour la santé…

Substances toxiques – Plus de 140 références de produits cosmétiques contenant des substances interdites ont été découvertes suite à des contrôles, a annoncé jeudi la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

« Ces produits ont fait l’objet d’une prescription de retrait immédiat », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
L’enquête visait notamment des traces de methylisothiazolinone(MIT) et d’isobutylparaben, deux substances interdites depuis respectivement le 12 février 2017 et depuis le 30 juillet 2015, en raison « des réactions allergiques qu’elles peuvent causer ».
Deux fabriquants épinglés
La DGCCRF avait annoncé cette opération en juin, à la suite d’informations d’UFC-Que Choisir. L’association avait indiqué avoir répertorié 23 cosmétiques toujours en vente en France, bien que contenant des substances interdites.
L’enquête de la DGCCRF a révélé que certains produits incriminés ne contenaient plus les substances interdites mais que l’étiquetage n’ayant pas été actualisé, ils figuraient toujours dessus.
Quant aux cosmétiques contenant effectivement lesdites substances, la DGCCRF a pointé des fabricants qui « se sont efforcés d’écouler leurs stocks jusqu’à une date très proche » de l’entrée en vigueur de l’interdiction, et des distributeurs aux connaissances « parfois limitées » de la réglementation.
Enfin, deux fabricants ont été épinglés pour avoir « poursuivi l’utilisation et la commercialisation de ces conservateurs » après leur interdiction. Les concernant, « des procès-verbaux d’infraction seront transmis prochainement à la justice », a précisé la DGCCRF.
Contactée par Le Figaro, la DGCCRF n’a pas souhaité communiquer le noms des produits ou des fabricants concernés.
Source LE FIGARO.

Comparatif Substances Toxiques. UFC QUE CHOISIR.

Test portant sur 1 026 produits.

Grâce à vos contributions, notre liste des produits cosmétiques renfermant un ou plusieurs ingrédients indésirables s’est enrichie pour atteindre aujourd’hui 1 000 produits. Retrouvez-les dans nos tableaux désormais classés par 8 grands univers : les déodorants et parfums, le maquillage, les produits solaires, les soins du corps, les produits d’hygiène dentaire, les produits pour bébés et enfants, les soins des cheveux et les soins du visage. Chaque segment regroupe les produits cosmétiques dans lesquels nous avons repéré une ou plusieurs substances à risque. Irritants, allergènes, perturbateurs endocriniens… ils ne sont pas rares dans les produits d’hygiène et de beauté, qu’il s’agisse de gels douche, dentifrices, shampooings, déodorants, crèmes visage, hydratants corporels ou crèmes solaires. Cette liste est amenée à évoluer car les fabricants sont susceptibles de reformuler leurs produits, les retirant alors des rayons pour en mettre d’autres sur le marché.

Comparatif Substances toxiques dans les déodorants et parfums.

Substances toxiques dans les déodorants et parfums

Les déodorants et parfums font partie du quotidien tant nous sommes nombreux à utiliser des déodorants, des antitranspirants, des eaux de toilette, des eaux de Cologne… Évidemment, nous aimons sentir bon, le parfum que nous appliquons tous les jours sert bien à cela, le déodorant que nous vaporisons pour lutter contre l’odeur de transpiration ou l’antitranspirant qui réduit l’humidité des aisselles sont généralement efficaces et agréables. Mais ces gestes d’hygiène et petits plaisirs olfactifs ne seraient pas sans conséquence sur notre santé, car certains nous exposent à des substances indésirables comme les parabènes à longue chaîne carbonée, certains filtres UV ou encore des allergènes. Cliquez ici

Comparatif Substances toxiques dans les produits d’hygiène dentaire.

Substances toxiques dans les produits d'hygiène dentaire

S’il est un produit d’hygiène difficile à remplacer au quotidien, c’est bien le dentifrice. Car, avec une teneur suffisante en fluor, il permet de prévenir l’apparition des caries. Il n’est donc pas le simple compagnon de la brosse à dents qu’il aide par son action nettoyante. Utilisé au moins deux fois par jour, il doit être sûr en composition et ne pas exposer le consommateur à des substances indésirables. Pourtant, certains dentifrices et autres produits d’hygiène dentaire comme les bains de bouche renferment encore du propylparaben ou du triclosan, l’un conservateur, l’autre puissant antibactérien, sur lesquels pèsent de lourds soupçons d’effet perturbateur endocrinien. Cliquez ici

Comparatif Substances toxiques dans le maquillage

Substances toxiques dans le maquillage

Pour nombre de femmes, le maquillage est l’allié du quotidien, un indispensable sans lequel il est inconcevable de mettre le nez au dehors. On n’imagine pas se montrer sans fard, il faut avoir embelli son teint, recouvert les traces de fatigue avec une BB crème, éclairé son regard avec du mascara, sublimé ses lèvres avec un précieux rouge à lèvres… Si les petites touches appliquées ci et là riment avec parcimonie, il n’y a pas pour autant de risque zéro. D’où l’importance de bien choisir ses produits de maquillage. Cliquez ici.

Comparatif Substances toxiques dans les produits pour bébés et enfants

Substances toxiques dans les produits pour bébés et enfants

Lingettes pour le change, shampooings, gels lavants, dentifrices, crèmes solaires, hydratants corporels… l’univers de l’hygiène et du soin du tout-petit regorge de produits aux revendications spéciales jeunes enfants, s’inscrivant dans la douceur, la sensibilité de la peau, l’hypoallergénicité, etc. – des termes qui laissent imaginer des formulations qui leur sont tout particulièrement adaptées. Nous avons pourtant recensé plus de 85 produits dédiés aux bébés et enfants qui renferment des substances à risque telles que des perturbateurs endocriniens ou des allergènes.Cliquez ici.

Comparatif Substances toxiques dans les produits solaires

Substances toxiques dans les produits solaires

Il est indispensable de se protéger des rayons du soleil. Les crèmes solaires doivent avant tout être efficaces pour préserver son « capital soleil », se prémunir des coups de soleil, du cancer de la peau et de son vieillissement prématuré. Mais l’efficacité n’est pas la seule exigence pour des produits solaires de qualité : la sécurité de la formule est aussi essentielle. Or on trouve encore des crèmes comportant des filtres solaires ou des conservateurs fortement suspectés de se comporter en perturbateur endocrinien. Cliquez ici.

Comparatif Substances toxiques dans les soins des cheveux

Substances toxiques dans les soins des cheveux

Vaste rayon que celui du soin des cheveux : on y trouve les produits lavants (les shampooings), les soins après-shampooing, les colorations et les produits de coiffage. Les premiers sont principalement composés d’eau et de tensioactifs, dont certains sont réputés irritants. Mieux vaut les éviter et choisir parmi les alternatives plus douces. Les colorations capillaires sont un concentré de chimie et s’avèrent particulièrement agressives pour le cheveu et le cuir chevelu. Enfin, les produits de coiffage ne sont pas indemnes de substances indésirables. Cliquez ici.

Comparatif Substances toxiques dans les soins du corps

Substances toxiques dans les soins du corps

Tous les jours, nous utilisons des produits cosmétiques pour le corps, des gestes d’hygiène et de beauté qui sont tellement ancrés dans nos habitudes que nous n’y prêtons pas forcément attention. Pourtant, entre des produits lavants qui peuvent contenir des tensioactifs irritants et des produits hydratants susceptibles de renfermer des allergènes, notre peau peut être soumise à rude épreuve. Ajoutons à cela un soupçon de perturbateurs endocriniens et c’est un véritable cocktail chimique auquel notre organisme doit faire face, parfois quotidiennement. Pour éviter cette lente imprégnation par des molécules dont on ne connaît pas toujours les effets, mieux vaut choisir ses produits avec soin et éviter les substances à risque.Cliquez ici.

Comparatif Substances toxiques dans les soins du visage

Substances toxiques dans les soins du visage

Crèmes antirides, crèmes hydratantes, nettoyants visage et soins pour messieurs (mousse à raser, après-rasage, soin antirides et hydratants), on est forcément utilisateur d’au moins un de ces produits. L’hydratation du visage, par exemple, est un incontournable : c’est la base d’une peau en bonne santé. Une crème hydratante, à défaut d’être efficace, se doit a minima d’être sûre et ne devrait pas renfermer, par exemple, d’ingrédients à effet perturbateur endocrinien. Cliquez ici.

Source UFC QUE CHOISIR.

 

Mention particulière, le très beau téléfilm de TF1 sur le handicap…

L’héroïne de Mention particulière, prochain téléfilm de TF1, est une jeune trisomique qui veut décrocher son bac.

 

 Mention particulière réussit le défi, avec un tel sujet, de ne pas verser dans le pathos. Au coeur de cette fiction, réalisée par Christophe Campos, les téléspectateurs seront éblouis par Marie Dal Zotto, l’actrice trisomique qui incarne le personnage de Laura. Lumineuse, autant dans les éclats de rire que dans les colères de Laura son personnage, elle joue le premier rôle de ce téléfilm, entouré de Bruno Salomone et Hélène de Fougerolles, qui interprètent ses parents.

« C’est ma vie, déclare Marie Dal Zotto. On parle du travail et du handicap et il y a une chose à retenir : c’est ma vie. Ma vie est un défi, j’aurais toujours des portes à claquer, des barrières à franchir. C’est comme une course. J’en ai franchi et j’en franchirai encore. »

Mention particulière réussit le défi, avec un tel sujet, de ne pas verser dans le pathos. Au coeur de cette fiction, réalisée par Christophe Campos, les téléspectateurs seront éblouis par Marie Dal Zotto, l’actrice trisomique qui incarne le personnage de Laura. Lumineuse, autant dans les éclats de rire que dans les colères de Laura son personnage, elle joue le premier rôle de ce téléfilm, entouré de Bruno Salomone et Hélène de Fougerolles, qui interprètent ses parents.

« C’est ma vie, déclare Marie Dal Zotto. On parle du travail et du handicap et il y a une chose à retenir : c’est ma vie. Ma vie est un défi, j’aurais toujours des portes à claquer, des barrières à franchir. C’est comme une course. J’en ai franchi et j’en franchirai encore. »

Mention particulière réussit le défi, avec un tel sujet, de ne pas verser dans le pathos. Au coeur de cette fiction, réalisée par Christophe Campos, les téléspectateurs seront éblouis par Marie Dal Zotto, l’actrice trisomique qui incarne le personnage de Laura. Lumineuse, autant dans les éclats de rire que dans les colères de Laura son personnage, elle joue le premier rôle de ce téléfilm, entouré de Bruno Salomone et Hélène de Fougerolles, qui interprètent ses parents.

« C’est ma vie, déclare Marie Dal Zotto. On parle du travail et du handicap et il y a une chose à retenir : c’est ma vie. Ma vie est un défi, j’aurais toujours des portes à claquer, des barrières à franchir. C’est comme une course. J’en ai franchi et j’en franchirai encore. »

A 21 ans, Laura, trisomique, décide de passer son bac. Elle a beaucoup travaillé et touche au but, puisque les épreuves démarrent au début de ce téléfilm de TF1, Mention particulière, présenté en compétition au Festival de la fiction TV francophone de La Rochelle. Ce projet ambitieux, Laura le vit surtout main dans la main avec son père, qui la pousse et la fait étudier. Le bac a d’ailleurs peu à peu pris toute la place au sein de cette famille. Les épreuves, pas celles du bac, mais celles que doit affronter Laura au quotidien, les difficultés pour apprendre, pour passer ce diplôme qui parait à d’autres si banal, et le regard des autres, voilà ce que présente ce téléfilm. Il sera diffusé le lundi 6 novembre à 21h sur TF1.

Mention particulière réussit le défi, avec un tel sujet, de ne pas verser dans le pathos. Au coeur de cette fiction, réalisée par Christophe Campos, les téléspectateurs seront éblouis par Marie Dal Zotto, l’actrice trisomique qui incarne le personnage de Laura. Lumineuse, autant dans les éclats de rire que dans les colères de Laura son personnage, elle joue le premier rôle de ce téléfilm, entouré de Bruno Salomone et Hélène de Fougerolles, qui interprètent ses parents.

« C’est ma vie, déclare Marie Dal Zotto. On parle du travail et du handicap et il y a une chose à retenir : c’est ma vie. Ma vie est un défi, j’aurais toujours des portes à claquer, des barrières à franchir. C’est comme une course. J’en ai franchi et j’en franchirai encore. »

Source TELE LOISIRS.

Maladies génétiques. Un « crayon génomique » pour réécrire l’ADN…

Maladies génétiques – Dans un article de la revue Nature, une équipe de chercheurs annonce avoir créé un « crayon génomique », capable de réécrire des lettres à la base de l’ADN. S’il reste encore du chemin pour que cette « machine moléculaire » puisse soigner des patients, c’est une nouvelle avancée vers la possibilité de corriger de nombreuses maladies génétiques, dont certaines formes de cécité ou de surdité.

Des chercheurs ont créé une « machine moléculaire » qui permet de réécrire le génome à la lettre près, une avancée qui pourrait servir un jour aux traitements de nombreuses maladies génétiques dues à une mutation ponctuelle comme certaines formes de cécité, de surdité et de maladies sanguines.

Le Pr David Liu de Harvard et ses collègues décrivent dans la dernière livraison de la revue scientifique Nature le développement de leur machine moléculaire qui permet de réaliser cette chirurgie chimique de précision.

« Créer une machine qui apporte la modification génétique dont vous avez besoin pour traiter une maladie est un pas en avant important », relève le Pr Liu.

Mais « une énorme quantité de travail est encore nécessaire avant que ces machines moléculaires puissent être utilisées pour traiter des patients », avertit le chercheur.

Cette technique, une sorte de « crayon »  génomique pour réécrire les lettres de base de l’ADN, est « plus efficace et plus propre » que celle des  « ciseaux moléculaires  (surnom de l’édition du génome avec la technique Crispr-Cas9) quand le but est simplement de corriger une mutation ponctuelle », selon le Pr Liu.

Réécrire le génôme

En pratique, les chercheurs ont introduit dans les cellules les instructions, portées par du matériel génétique, afin qu’elles construisent elles-mêmes ce nouvel éditeur de base pour réparer leurs propres mutations, en l’occurrence pour convertir dans leur génome une paire de lettres A-T en G-C.

L’ADN est le support de notre patrimoine génétique, qui dépend de l’ordre dans lequel se succèdent quatre bases chimiques ou « lettres ». L’adénine (A) se couple à la thymine (T) et la guanine (G) à la cytosine (C) pour former des paires.

Jusque-là, les chercheurs avaient pu convertir les paires de bases G-C en paires de bases T-A. Une modification qui n’intéresserait qu’environ 15% des maladies associées à une mutation ponctuelle, selon le chercheur Liu.

Or dans la moitié des maladies liées à des mutations ponctuelles, l’anomalie provient d’une paire de bases G-C qui s’est transformée en une paire A-T.

Le nouveau système de rédacteur ou d’« éditeur de base » d’adénine de l’équipe Liu, qui supprime cette mutation, en transformant la paire de lettres A-T en G-C , offre donc la possibilité de corriger de nombreuses mutations.

Se rapprocher de l’application clinique

Les chercheurs l’ont testé sur des cellules d’un malade atteint d’hémochromatose, une surcharge en fer héréditaire qui nécessite des saignées pour la contrôler.

Ils ont également utilisé ce crayon pointu pour inscrire dans des cellules une mutation bénéfique qui entraîne la persistance de l’hémoglobine foetale chez l’adulte. Cette mutation est connue pour protéger contre certaines pathologies sanguines comme la drépanocytose.

La possibilité de modifier directement les paires de bases « avec une telle spécificité ajoute plus de munitions à l’artillerie de l’édition du génome » selon le Dr Helen O’Neill de l’University College London (UCL).

Cette généticienne salue également la parution dans la revue Science d’un travail qui « montre une édition efficace de l’ARN », une molécule qui joue un rôle essentiel dans la synthèse des protéines, et dont la manipulation ne serait pas forcément permanente.

Ces articles soulignent le « rythme rapide et les améliorations constantes apportées à l’édition du génome, le rapprochant de plus en plus de l’application clinique », se réjouit-elle.

Source OUEST FRANCE.

Une ligne de maillots de bain créée en Saône-et-Loire pour les femmes atteintes d’un cancer du sein…

Belle initiative !!! En Saône-et-Loire, deux soeurs ont développé une ligne de maillots de bain spécialement conçus pour les femmes atteintes d’un cancer du sein. Ces maillots anti-UV protègent du soleil les zones irradiées lors de la radiothérapie. Un projet soutenu par la Ligue contre le cancer du sein.

C’est parce qu’elle n’a pas trouvé de maillot de bain correspondant à ce dont elle avait besoin lorsqu’a elle-même subi un traitement par radiothérapie, que Françoise Piazolla a eu l’idée de créée elle-même des modèles spéciaux : « Les radiothérapeutes m’ont dit que je ne pouvais plus aller au soleil à cause des zones irradiées, j’ai donc décidé de créer ma propre ligne de maillots de bain. « 

Françoise Piazzolla s’est associée avec sa soeur Marie-Hélène, pour monter son projet. Ensemble, elles ont dessiné les modèles et testé différents tissus. Conformément aux préconisations des médecins elles ont conçu des maillots de bain qui montent très haut au-dessus de la poitrine, qui descendent bien en dessous, et qui couvrent bien sous les bras. Toutes les zones sensibilisées par la radiothérapie sont ainsi bien protégées du soleil.

Ces maillot traités UPF 50+ rejettent 98% des U.V. Qui plus est, pour garantir leur qualité, ils ont été testés en laboratoire. Et pour l’esthétique et le confort des femmes, une petite poche permet de glisser des prothèses mammaires dans la brassière.

Les maillots de bains seront mis en vente sur internet d’ici la fin du mois. Chaque pièce coûte entre 79 et 99 euros.

Plus d’information, découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source FR3.

Service de transports pour handicapés à Lyon Optibus : Halte aux discriminations !…

Service de transport adapté aux usagers handicapés Optibus :

Halte aux discriminations !

Optibus Service de transports pour handicapés - discrimination - LYON

Pour la satisfaction de nos revendications !

Le CDTHED communique : Transports PMR à Lyon – Halte aux discriminations, satisfaction des revendications des usagers handicapés ! – Manifestation jeudi 26 octobre 15 heures devant le siège du SYTRAL — 21 boulevard Vivier Merle — Lyon (3e).

Même si la majorité des transports en commun de l’agglomération lyonnaise est accessible aux personnes handicapées, un service de transport adapté, de porte à porte, est toujours nécessaire pour permettre aux usagers les plus handicapés d’effectuer certains déplacements dans des conditions optimales de confort et de sécurité.

Les élus membres du SYTRAL (Syndicat mixte des Transports pour le Rhône et l’Agglomération Lyonnaise – http://www.sytral.fr) délèguent ces transports adaptés à un service nommé Optibus (https://www.optibus.fr).

Ce service organise deux types de transport : des transports réguliers chaque semaine et des transports occasionnels sur réservation. Dans tous les cas, une planification est organisée à l’avance. Ainsi, chaque usager handicapé, une fois inscrit, a normalement la garantie d’être transporté au jour et à l’heure convenue… Du moins, c’était le cas auparavant !

Un règlement qui met les usagers handicapés en état d’infériorité

En effet, le SYTRAL a récemment modifié le règlement d’Optibus. Il a défini des priorités d’attribution des transports, reléguant les loisirs tout en bas de l’échelle et créant ainsi des discriminations au sein des usagers, notamment entre ceux qui travaillent et ceux qui ne travaillent pas. Dans ce règlement déjà tatillon, où l’usager est souvent considéré comme un profiteur en puissance, voire un enfant irresponsable, la pénalité prévue « en cas de déplacement inutile lié à l’absence du client ou à son refus de départ » bondit de 15 à 30 euros ! Rappelons que beaucoup d’usagers de ce service n’ont pour seules ressources que l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés), soit 810 € par mois (200 € en dessous du seuil officiel de pauvreté)…

Beaucoup d’usagers handicapés sont ainsi obligés de renoncer à leurs activités culturelles, sportives, associatives…

Comment une personne handicapée peut-elle s’inscrire à une activité culturelle ou sportive, et payer pour cette activité, quand, au dernier moment, elle risque de recevoir un coup de fil lui annonçant que sa réservation de transport est annulée sous prétexte qu’elle n’est pas prioritaire ?

Comment une personne handicapée peut-elle aller à un rendez-vous sur Lyon quand, arrivée à la gare, elle ne peut continuer son déplacement, Optibus refusant de la prendre sous prétexte qu’elle ne réside pas dans l’agglomération lyonnaise ?

Ce n’est pas acceptable : le SYTRAL doit réviser le règlement d’Optibus pour respecter les droits des usagers handicapés !

Informé de l’appel du CARPA (Collectif des Associations du Rhône) à manifester devant le siège du SYTRAL, le CDTHED soutient cette initiative et appelle toutes les personnes handicapées qui en ont la possibilité, les parents et amis disponibles à se joindre à cette manifestation pour défendre les revendications suivantes :

– Retrait immédiat des nouvelles dispositions prises à l’encontre des usagers handicapés !

– Suppression de la notion de priorité dans la programmation des transports Optibus, pas de pénalisation des transports dits « de loisir ».

– Suppression de la pénalité financière !

– Suppression des discriminations liées à l’âge et au lieu de résidence ! 

– Gratuité totale de la procédure d’accès aux services Optibus et mise en place d’une procédure d’appel gratuite et impartiale en cas de refus.

– Attribution au service Optibus des moyens financiers et humains nécessaires pour satisfaire toutes les demandes des usagers handicapés.

Source MEDIAPART.

 

Marseille: La nouvelle «astuce» pour se garer? Une fausse carte d’invalidité..

INCIVILITELes fausses cartes d’invalidité fleurissent, à Marseille…

Marseille - Parking - Trafic fausse carte invalidité

  • Un «trafic» de fausses cartes d’invalidité enfle, à Marseille, selon «La Provence».
  • Cette triste pratique n’a rien de nouveau, selon les associations d’handicapés.

Au royaume de la double file, les petits malins sont rois. A Marseille, tout est bon pour trouver une place de parking. Y compris, apparemment, l’usage d’une fausse carte d’invalidité. C’est La Provence qui révèle, dans son édition du jour, qu’un trafic de fausses cartes d’invalidité fait rage dans les quartiers les plus saturés.

« Recrudescence »

Une simple photocopie de carte d’invalidité permettrait de se garer gratuitement, sur des places réservées aux handicapés, ou encore de laisser sa voiture plusieurs jours au même endroit (ce qui est, théoriquement, interdit à Marseille).

« Il y a peut-être une recrudescence en ce moment à Marseille, mais, malheureusement, on voit ça dans toutes les grandes villes », déplore auprès de 20 Minutes Elisa Azevedo, porte-parole à Marseille de l’ Association des Paralysés de France. Selon elle, une fausse carte « est très facile à repérer. »

Dans le doute, les policiers municipaux marseillais ont pour consigne, selon La Provence, de systématiquement verbaliser : le propriétaire du véhicule, s’il prouve que sa carte est authentique, ne sera bien sûr pas sanctionné.

Source 20 Minutes.

 

Les pesticides une nouvelle fois mis en cause dans la maladie de Parkinson…

Maladie de Parkinson – Une récente étude montre que cette maladie touche davantage les agriculteurs et les riverains des terrains agricoles que le reste de la population.

Pesticides - maladie de Parkinson

Quel est le point commun entre les agriculteurs et les riverains des terrains agricoles? Ils ont un risque accru de développer une maladie de Parkinson! Selon deux études récemment publiées par une équipe de chercheurs français, ces personnes ont un risque un peu plus élevé, respectivement de 13% et 8,5% d’être atteintes par cette maladie neurodégénérative. Chez les agriculteurs retraités (60-84 ans), cette différence est encore plus marquée puisqu’ils sont 18% de plus à souffrir de la maladie par rapport aux personnes de leur tranche d’âge. Les scientifiques pointent du doigt l’exposition élevée aux pesticides de ces populations, dont certains sont connus pour leurs propriétés neurotoxiques.

Maladie professionnelle

Depuis 2012, l’exposition aux pesticides est d’ailleurs considérée en France comme un facteur de risque de la maladie de Parkinson. La maladie peut même être reconnue comme une maladie professionnelle des professions agricoles. Pourtant, jusqu’à récemment, aucune étude n’avait encore exploré l’incidence (le nombre de nouveaux cas par an) de cette maladie chez les exploitants agricoles en France. C’est précisément le sujet qu’a choisi d’étudier Sofiane Kab lors de sa thèse de Santé publique et d’épidémiologie.

Son travail, réalisé en collaboration avec des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), a donné lieu à la publication de deux études dans des revues internationales. Pour parvenir à ces résultats, le jeune chercheur et ses collègues ont comparé les données de la Mutualité sociale agricole – un régime d’assurance maladie spécifique du monde agricole – avec celles des autres régimes de l’assurance maladie.

«Il faut rester prudent car la maladie de Parkinson est multifactorielle, met en garde le Dr Alexis Elbaz, neurologue, épidémiologiste à l’Inserm et directeur de la thèse de Sofiane Kab. Pour le moment, on peut seulement dire que la maladie de Parkinson est un peu plus fréquente chez les agriculteurs, probablement à cause de leur exposition à des hauts niveaux de pesticides. Mais il existe peut-être d’autres facteurs de risque». Les données suggèrent également une possible association, certes moins significative que pour Parkinson, avec la maladie de Charcot (également appelée sclérose latérale amyotrophique).

Le cas de la viticulture

Sofiane Kab et ses collègues sont allés encore plus loin, en se demandant si une exposition non professionnelle à plus faible dose telle qu’elle existe en milieu rural jouait un rôle dans la survenue de Parkinson. «La fréquence de cette maladie est effectivement un peu plus élevée au sein des riverains qui vivent dans les cantons où il y a le plus de terres agricoles, en particulier dans ceux où la proportion de terres agricoles allouées à la viticulture est la plus importante», explique Alexis Elbaz. La viticulture est l’une des cultures qui nécessite le plus de pesticides. «Mais ces résultats demandent à être confirmés par des études plus précises auprès des personnes», poursuit-il. «Et la maladie de Parkinson reste une maladie peu fréquente et l’augmentation de risque observée est faible».

C’est en 1983 qu’un lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides a été détecté pour la première fois, de façon totalement fortuite. Cette année-là, la Californie a fait face à une «épidémie» de syndromes parkinsoniens survenue chez de jeunes toxicomanes. Ces derniers avaient tous consommé une drogue frelatée par le MPTP, une neurotoxine qui, en détruisant certains neurones, provoque les symptômes permanents de la maladie de Parkinson . À l’époque, les scientifiques avaient remarqué que la structure du MPTP était très proche de celle d’un herbicide, le paraquat. Par la suite, de nombreuses études internationales ont confirmé l’existence d’un lien entre l’exposition professionnelle aux pesticides et la maladie de Parkinson.

D’autres études s’apprêtent à être lancées par l’Inserm, en collaboration avec Santé Publique France, afin d’identifier les pesticides qui pourraient être à l’origine d’un risque augmenté de maladie de Parkinson.

Source LE FIGARO.