Handicap : reprendre une activité physique grâce au tir à l’arc…

Reprendre le sport après un accident de la vie est souvent très difficile.

Certains y parviennent grâce au tir à l’arc. Illustration en région ajaccienne dans l’un des quatre clubs insulaires.

Handicap : reprendre une activité physique grâce au tir à l’arc

Avant de tirer à l’arc, Philippe Xypolitas suit une préparation rigoureuse. Il met en place sa prothèse et monte son matériel. Après un accident de moto, il a dû arrêter le handball qu’il pratiquait en compétition.

Il a fait son retour au sport avec un arc dans les mains. « Toutes les caractéristiques du tir à l’arc me convenaient très bien : marcher sans courir, la sécurité, on n’est pas expansif dans les mouvements. On est très calme, très concentré, c’est très convivial. C’était fait pour moi », indique-t-il.

Malgré cela, Philippe doit adapter son tir à son handicap. « La prothèse influe beaucoup sur la stabilité. Il faut trouver le bon positionnement pour être le plus stable possible », précise Philippe.

« Je ne sens pas que j’ai mal »

Depuis deux ans, l’archer est aussi entraîneur. Il conseille ses élèves dans les rires et la bonne humeur. Certains d’entre eux ont aussi un handicap physique. C’est le cas de Felicia, blessée à la jambe.

Elle a commencé la discipline cette année. « Avec le tir à l’arc, je ne sens pas que j’ai mal. Je partage bien mes appuis, il n’y a pas de force, il n’y a pas d’impact. C’était quelque chose qui me tentait depuis longtemps », indique-t-elle.

Pour Muriel, une autre adepte, le tir à l’arc sert même de rééducation. « Ça fait 10 ans que je galère avec mon épaule et ça fait un an et demi que je me suis mise au tir à l’arc pour essayer de remuscler mes épaules et de retrouver une force dans mon épaule. J’ai gagné en capacité de faire des mouvement que je ne faisais plus », livre-t-elle.

Ce club ajaccien compte actuellement une vingtaine de membres. Un nombre qui augmente chaque année.

Source FRANCE 3.

Handicap : à bicyclette… et en fauteuil !…

Pour permettre aux personnes handicapées de faire du vélo, un bricoleur a eu l’idée d’adapter une bicyclette à un fauteuil roulant.

Henri-Claude Poisson, l’inventeur du guidon HCP

Le pousseur de fauteuil est né

Pour Michael, jeune polyhandicapé qu’il accueille depuis près de 30 ans, Henri-Claude Poisson passe des heures à mettre au point un guidon qu’il installe en lieu et place de la roue avant de son vélo : le pousseur de fauteuil est né. Une idée simple qu’il peut adapter à toutes sortes de bicyclettes.

Henri-Claude n’avait pas les moyens de dépenser 3.000 euros pour un vélo adapté. Mais peu importe, aujourd’hui, il pousse Michael sur les routes de campagne : « Avec ce système, on a permis à Michael de faire comme tout le monde, de faire du vélo, de rencontrer du monde, de voir des paysages différents… et ce n’est que du bonheur« , confie l’inventeur.

Une production en série et à faible coût

Aux premières loges, le jeune polyhandicapé jubile. Tous ses sens sont en éveil. Au fil des balades, leur guidon fait des envieux. C’est là que la petite idée devient grande. Henri-Claude Poisson a besoin de produire en plus grande quantité. Il trouve la solution dans une entreprise de matériel agricole où un de ses amis travaille. Ensemble, ils relèvent le défi : produire le guidon en série et à faible coût.

Vendu à 390 euros, le guidon porte aujourd’hui la signature de son créateur, HCP. Henri-Claude, lui, ne veut rien toucher des ventes. Il préfère sillonner les routes aux côtés de sa tribu. Le guidon s’adapte au fauteuil roulant sans le modifier. Sa vitesse de croisière est limitée à 10 km/h mais cela n’empêche en rien l’aventure, bien au contraire. Chaque année, Michael et sa famille d’accueil partent en voyage et parcourent plus de 1.000 kilomètres en pousseur de fauteuil.

Découvrir la Vidéo, cliquer ici.

Source FRANCE TV.

Plœmeur. Dépasser le handicap grâce aux sports de glisse…

Ce week-end, l’association Vagdespoir a organisé la quatorzième édition du week-end handiglisse. 250 personnes, handicapées et valides, y ont participé.

Plusieurs bénévoles encadrent les personnes handicapées lors de la prise des vagues.

Vagdespoir est une association qui compte sept antennes, réparties sur l’ensemble de la France. Elle a comme mission de rendre accessibles les sports de glisse et de plein air aux personnes touchées par le handicap.

De nombreuses activités

Vagdespoir Bretagne organise, tous les ans, un week-end où les adhérents se rassemblent pour faire découvrir et pratiquer des activités sportives.

« Les choix sont nombreux cette année et ils sont proposés sur trois sites : la plage du Fort-Bloqué pour le surf, le paddle, le kite-surf, le char à voile ; le port du Courégant pour la plongée et le kayak ; et le centre des Éclaireurs de France de Beg-Minio, qui sert également de lieu d’hébergement et de restauration, pour la grimpe dans les arbres et l’équitation », indique Laurent Le Floc’h, responsable de l’association Vagdespoir Bretagne. Toutes ces disciplines sont encadrées par des bénévoles et des moniteurs.

Journées sportives et soirées festives

Plœmeur. Dépasser le handicap grâce aux sports de glisse

Plus qu’un simple week-end sportif, les participants se retrouvent pour partager des instants d’échanges et de convivialité. Après des journées sportives, les soirées sont festives, avec des concerts qui se terminent tard dans la nuit. « La mixité entre valides et personnes touchées par le handicap est très importante », souligne Laurent Le Floc’h.

Contact : vagdespoir.bretagne@free.fr ; vagdespoir.com ; 06 82 06 52 07.

Source OUEST FRANCE.

Le SOS des parents de Loïs, une petite fille atteinte d’un cancer…

Un couple de surveillants de prison de Maxéville se bat pour être au chevet de leur petite fille atteinte d’un cancer.

Leurs collègues sont prêts à leur donner des jours. Mais ils se heurtent à une limite légale.

 

Je suis courageuse, tu sais ! » Du courage, la petite Loïs en a effectivement à revendre. Cette petite fille de 3 ans et demi affiche un sourire craquant et une extraordinaire énergie. Malgré les passages à l’hôpital de Brabois. Malgré les séances de chimiothérapie qu’elle doit encaisser. Malgré ses cheveux qui se font rares.

Sa vie a basculé le 18 février dernier. « Jamais nous n’oublierons cette date », confient ses parents, Valérie Vivier et Tony Deram. Ce jour-là, ce couple de surveillants de prison de Maxéville a appris que Loïs avait un cancer. Un neuroblastome métastatique, pour être précis.

« Il s’agit d’une tumeur entre le foie et le rein qui envoie des métastases dans la moelle épinière », décrit Valérie Vivier. La maladie est classée en plusieurs stades. Sa fille est touchée par le quatrième. Le plus grave. « Elle était, au départ, en urgence vitale. Car elle une tumeur de la taille d’un pamplemousse. Le traitement a heureusement réussi à la réduire », confie la mère de Loïs.

La petite fille doit être opérée dans quelques jours afin de lui ôter ce qu’il reste de la tumeur. Elle devra ensuite subir une chimiothérapie intensive et vivre durant des semaines dans une chambre stérile. Puis sont prévus des séances de radiothérapie ainsi qu’un traitement d’immunothérapie. Le chemin de croix médical doit encore durer plus d’un an.

Les parents ont cumulé tous leurs congés pour être au chevet de leur fille. Mais ils vont bientôt arriver au bout de leur stock. Emus par leur histoire, de nombreux surveillants ont alors décidé de leur faire don de jours de congé ou de RTT.

90 jours pas plus

Mais cela ne suffira pas. L’élan de solidarité était pourtant très fort. « Des collègues de Metz voulaient participer mais cela n’a pas été possible. Et à Nancy, la direction a bloqué les dons à deux jours par agent », soupirent les parents de Loïs. Ils se heurtent, en effet, à un problème légal. Un décret limite le nombre de jours qu’un fonctionnaire peut recevoir à 90.

« Alors que dans le privé, il n’y a pas de limite », s’étonne la maman de Loïs qui devrait en théorie reprendre le boulot en octobre prochain. « Il a été décidé que la mère et le père prennent leurs 90 jours l’un après l’autre. Ce qui leur permettra d’accompagner leur fille jusqu’à la fin de l’année. Ensuite, nous verrons comment évolue leur situation », indique le service communication de la direction interrégionale de l’administration pénitentiaire.

Mais Valérie Vivier ne se voit pas retravailler tant que sa petite fille n’est pas tirée d’affaire : « C’est inimaginable ! » Son compagnon a proposé de lui donner ses 90 jours. La réponse a été également non.

Le couple de surveillants a protesté en envoyant un courrier à la direction interrégionale, au directeur national de la pénitentiaire et à l’agence régionale de la santé. « Mais nous n’avons pas eu de réponse », déplorent les parents de Loïs qui veulent se tourner vers leur député et la ministre de la Justice.

En attendant, ils ont reçu le soutien de la responsable de FO Pénitentiaire, Fadila Doukhi, qui ne mâche pas ses mots : « Ils ont toujours été assidus et volontaires dans leur boulot. Pour une fois, ils demandent quelque chose à l’administration et celle-ci ne répond pas présent. Ce n’est pas normal. Surtout que cela ne coûterait rien d’accepter plus de dons de congés ». Mais le règlement reste le règlement et pas question, pour l’instant, de tolérer une exception.

Source EST REPUBLICAIN

Premiers championnats de France de rugby adapté à Bressolles (82)…

La ville de Bressolles dans le Tarn-et-Garonne accueillait dimanche 27 mai 2018 les premiers championnats de France de rugby adapté.

Plus de 250 personnes souffrant de troubles psychiques ou de handicap mental y ont participé. 

Premiers championnats de France de rugby adapté à Bressolles (82)

Le rugby adapté, c’est quoi ? Comme pour bien d’autres disciplines sportives, il s’agit d’adapter un sport à des joueurs souffrant de handicap mental (à ne pas confondre donc avec le handisport, pratiqué par des personnes handicapées moteur).

La fédération française de sport adapté existe depuis le début des années 70 et petit à petit, les disciplines y sont arrivées. Elle sont cinquante actuellement.

Le rugby en fait partie et se développe depuis une quinzaine d’années.
Ce dimanche 27 mai 2018, pour la première fois se tenit les championnats de France de rugby adapté. c’était à Bressoles, dans le Tarn-et-Garonne. Sous l’égide d’Emile Ntamack, ancien international et parrain de l’association Ovalie Espoir.

Source FR3.

Des stages de wakeboard pour les personnes à mobilité réduite dans l’Allier…

Dans l’Allier à Paray-sous-Briaille, l’association Magic Bastos organise des stages de wakeboard pour les personnes à mobilité réduite.

Les sessions ont commencé plus tôt. Une bonne nouvelle pour l’association qui compte toujours plus de stagiaires et manque parfois de temps pour les former.

Stage de wakeboard pour des personnes à mobilité réduite de découvrir l'activité

Le soleil arrive et avec les activités plein air. Dans l’Allier, à Paray-sous-Briaille, l’association Magic Bastos organise des stages de wakeboard pour les personnes à mobilité réduite. Des sessions qui ont commencé plus tôt que les années précédentes. Le 22 mai commençait le premier stage. Une dizaine de participants s’exerce au wakeboard et enchaîne les passages pendant près de 2 heures.
« L’avantage des stages comme ça, c’est que le matin le câble est privatisé pour nous, explique Stéphane Drecourt, l’un des stagiaires de la semaine. Et du coup, quand on essaye de faire des choses et qu’on tombe à l’autre bout du plan d’eau, ils viennent nous chercher avec le bateau alors que normalement, on rentre à la nage. Ça prend du temps, ça fatigue. Là, pendant les deux heures, on peut essayer plein de choses, se lâcher ».

Prochain stage en juin

Depuis quatre ans, l’association organise une session tous les mois entre juin et septembre. 20 participants peuvent venir à chaque session, maximum. L’objectif est de leur permettre de pratiquer le plus possible au cours des quatre jours de session.
« On est les seuls à proposer ce type de stage en France, et même dans le monde, insiste Bastien Perret, fondateur de l’association Magic Bastos. Les gens viennent de loin et même on a eu des étrangers qui sont venus découvrir l’activité. Ça vient un peu de partout et des quatre coins de la France. C’est l’avantage dans l’Allier, on est vraiment central et les gens n’ont pas trop de route à faire pour venir nous voir ici et de profiter de ce cadre exceptionnel ».

Le prochain stage est prévu au mois de juin pour les personnes à mobilité réduite ou non.

Source FR3.

Une journée d’évasion pour 800 enfants malades…

800 enfants de la région, handicapés ou malades, étaient réunis ce mercredi au MMArena, au Mans.

Ils ont pu tester une vingtaine de sports qu’ils ne peuvent pas pratiquer d’habitude soit à cause de leur handicap soit à cause de leur parcours de soin. 

Les enfants malades ou souffrant d'un handicap peuvent pratiquer une vingtaine de sports comme par exemple la boxe.

Au Stade de France, Kylian Mbappé à la rencontre d’enfants malades ou handicapés…

Le footballeur du PSG, Kylian Mbappé, a participé ce mercredi à la « journée évasion » de l’association « Premiers de cordée » qui oeuvre pour la promotion du sport auprès des enfants malades ou en situation de handicap. 3000 enfants ont pu faire du sport au Stade de France, à Saint-Denis.

Le footballeur du PSG Kylian Mbappé au Stade de France pour l'association "Premiers de cordée"

Stade de France – Saint-Denis, Saint-Denis, France

C’était l’attraction principale ce mercredi au Stade de France : Kylian Mbappé, l’attaquant du PSG est venu à la rencontre de 3000 enfants en situation de handicap ou malades, conviés par l’association « Premiers de cordée » à une journée évasion. Au programme : des ateliers sportifs (natation, escalade, badminton) avec des champions comme Nathalie Péchalat, la patineuse ou Camille Lacourt, le nageur. Mais la plupart des regards étaient rivés sur le terrain de football gonflable où le footballeur parisien a passé plus d’une heure avec des enfants.

Des enfants venus voir un « des meilleurs joueurs du monde »

« Je lai déjà vu au Parc des princes, mais jamais d’aussi près » se réjouit Lucas, venu avec ses amis d’un centre pour enfants hyperactifs et ses éducateurs. Pour lui c’est l’un « des meilleurs joueurs du monde« . « Il joue très très bien et il dribble très très bien » confirme son ami.

« Je suis bien placé pour savoir qu’à travers le sport on peut aider ces enfants » estime Kylian Mbappé, tout sourire, qui s’est prêté longuement au jeu des autographes et des selfies avec ces jeunes supporters.

Kylian Mbappé s'est prêté à quelques matchs avec des enfants

Kylian Mbappé s’est notamment exprimé sur l’arrivée du nouvel entraîneur du PSG, Thomas Tuchel. A un mois du mondial de football, la star du PSG attend lui aussi l’annonce des joueurs sélections par Didier Deschamps pour constituer l’équipe de France qui partira en Russie.

Source FRANCE BLEU.

Un double amputé parvient au sommet de l’Everest…

KATMANDOU – L’alpiniste chinois Xia Boyu, amputé des deux jambes, a réalisé lundi son rêve d’atteindre le sommet de l’Everest, un exploit qui intervient au bout d’une série de tentatives avortées.

L'alpiniste chinois Xia Boyu

Le cinquième essai aura été le bon: le ressortissant chinois de 69 ans équipé de prothèses est enfin parvenu à la cime culminant à 8.848m d’altitude aux premières heures lundi.

«Il a atteint le sommet ce matin, avec sept autres membres de son expédition», a confirmé Dawa Futi Sherpa de l’agence organisatrice Imagine Trek and Expedition.

Xia Boyu a bien failli ne jamais se tenir au sommet de la Terre lorsque le Népal a interdit l’année dernière l’ascension de l’Everest aux personnes doublement amputées et aux aveugles. Une mesure finalement annulée par la justice en raison de son caractère discriminatoire.

M. Xia faisait partie de l’équipe nationale chinoise en 1975 où le groupe avait essuyé une tempête sous le sommet. En manque d’oxygène, exposé à des températures polaires, l’alpiniste avait souffert de graves gelures et perdu ses deux pieds.

En 1996, ses deux jambes avaient dû être amputées juste en dessous du genou après que les médecins lui eurent découvert un lymphome, une forme de cancer du sang.

Tenace, le sexagénaire retourne pourtant au pied de l’Everest en 2014. Mais une avalanche qui coûte la vie à 16 guides sherpas met un terme prématuré à la saison.

Ne se résignant pas, il revient l’année suivante. Mais un violent séisme survient au Népal. Rien que sur l’Everest, 22 personnes perdent la vie, une avalanche s’abattant sur le camp de base.

Lors de sa dernière tentative en date, en 2016, le mauvais temps le force à rebrousser chemin à tout juste 200 mètres du sommet.

«Escalader l’Everest est mon rêve. Je dois le réaliser. Cela représente aussi un défi personnel, un défi du destin», confiait-il le mois dernier à l’AFP qui l’a rencontré à Katmandou.

Le seul double amputé à avoir atteint le toit du monde avant lui est le Néo-Zélandais Mark Inglis, qui a accompli cette prouesse en 2006.

La traditionnelle saison de printemps bat actuellement son plein sur l’Everest. La météo y offre une petite fenêtre de conditions moins extrêmes que le reste de l’année.

La journée de dimanche a vu les premiers alpinistes de la haute saison parvenir au sommet. En tout, près de 700 personnes tenteront de s’y hisser au cours des prochaines semaines.

Source LE SOLEIL.

Cinéma : « Monsieur je-sais-tout » aborde l’autisme avec humour et sensibilité…

Mercredi 9 mai sort au cinéma une comédie comme on sait les faire en France. « Monsieur-je-sais-tout » nous parle d’autisme à travers une belle rencontre entre un entraîneur de football bourru et un jeune adolescent.

Max Baissette de Malglaive et Arnaud Ducret dans "Monsieur Je sais tout"

Il est sans attache, solitaire, et voit débarquer dans sa vie un enfant atypique, son neveu. Tout les oppose, et pourtant. Arnaud Ducret, Vincent dans le film, aborde un rôle plus sérieux que ceux auxquels il nous avait habitués. Monsieur je-sais-tout rappelle les défis auxquels l’autisme peut se confronter, dont les difficultés pour s’intégrer.

Un message d’espoir

Monsieur je-sais-tout est le cousin de Rain Man, l’un des premiers films à évoquer aussi frontalement le problème de l’autisme. Le syndrome d’Asperger est une forme légère de l’autisme. Ceux qui en sont atteints sont souvent brillants, voire surdoués. Monsieur je-sais-tout, c’est une histoire d’amour, la rencontre de deux êtres qui se font du bien. Ce film donne une vision positive de cette maladie. Un message d’espoir.

Plus d’information, cliquez ici.

Source France TV.