Emploi Handicap – Metz – valoriser les candidatures de travailleurs handicapés…

Initiative originale à Metz. Cap Emploi publie sur les panneaux lumineux d’affichage urbain les demandes et CV de personnes handicapées en recherche d’emploi.

La recherche d’un emploi n’est jamais facile pour un demandeur d’emploi valide.

La présence d’un handicap accentue encore les difficultés à trouver un emploi.
Et pourtant, les travailleurs handicapés présentent les mêmes qualités professionnelles qu’un travailleur valide, et sont souvent hyper motivés.

Pour valoriser leurs compétences, Cap Emploi a décidé de frapper fort.
Quoi de plus attractif comme message que de diffuser candidatures et CV dans la rue ?

Ces profils sont tout bonnement affichés sur les panneaux lumineux d’affichage urbain.

En pleine ville, le message s’adresse à tous, principalement aux employeurs bien sûr, mais également à toute personne qui pourrait en parler, le bouche à oreille fonctionnant très bien dans le milieu de l’emploi.

30 candidatures et CV seront ainsi affichés, à raison de 5 par semaine, durant un mois et demi, sur les axes principaux de Metz.

Plus d’information, la Vidéo, cliquez ici.

Source France 3.

Handicap – Renforcer le maintien dans l’emploi des personnes handicapées….

À compter du lundi 1er janvier 2018, les organismes de placement spécialisé auront une mission de maintien dans l’emploi des personnes handicapées.

La loi Handicap du 11 février 2005 reconnaît aux organismes de placement spécialisés (OPS) une mission de service public dans le champ de l’insertion professionnelle des personnes handicapées en milieu ordinaire et leur participation au service public de l’emploi.

L’article 101 de la loi du lundi 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, modifiant l’article L. 5214-3-1 du Code du travail, vient renforcer le rôle de ces organismes en élargissant, à compter du lundi 1er janvier 2018, leurs missions au maintien dans l’emploi des personnes en situation de handicap.

« Cette disposition vise à sécuriser les parcours professionnels de façon à faciliter l’accès à l’emploi, prévenir les ruptures, gérer les transitions professionnelles et garantir le maintien dans l’emploi des personnes handicapées, fragilisées par un contexte économique qui rend le marché du travail plus sélectif », explique le ministère du Travail. Cette mesure a également pour objectif de simplifier et rendre plus lisible le service rendu, tant aux personnes handicapées – demandeurs d’emplois, salariés, agents des fonctions publiques, travailleurs indépendants – qu’aux employeurs.

La Direction générale de l’emploi et de la formation professionnelle (DGEFP) du ministère du Travail, l’AGEFIPH, le FIPHFP et Pôle emploi lancent donc un appel à projets en vue du conventionnement des futurs OPS. La date limite de dépôt des dossiers est fixée au mercredi 11 octobre 2017, à 12 heures.

Pour télécharger le dossier d’appel à projets, rendez-vous sur le site internet du ministère du Travail.

Source Rédaction WEKA.

Handicap – Versailles : une maison commune où cohabitent handicapés et valides…

Handicap – Deux « maîtresses de maison » épaulent au quotidien sept jeunes gens atteints de trisomie 21 dans ce logement social.

C’est la première du genre en France. La Maison de vie et de partage Saint Jean Paul II sera inaugurée ce jeudi à Versailles. Ce pavillon du quartier de Porchefontaine accueille sept jeunes handicapés, atteints de Trisomie 21 et âgés de 18 à 30 ans. Ils vivent en location avec deux valides, qui les épaulent au quotidien. La maison a ouvert ses portes en janvier 2017. « Ils paient entre 250 et 300 € de loyer mensuel hors charges car il s’agit d’un habitat social », témoigne Sonia Araujo, salariée de la Fondation pour le logement social (FLS) dont l’objectif est de rompre l’isolement et l’exclusion auxquels les personnes handicapées sont confrontées. Porteuse de ce concept innovant, la FLS a acquis la bâtisse et investi 1,2 M€ afin d’aménager les lieux pour recevoir ces jeunes trisomiques, tous ou presque issus des Yvelines.

L’autre partenaire est l’association versaillaise Les Maisons Saint Joseph, chargée de l’animation. Deux de ses salariées, baptisées maîtresses de maison, vivent sur place et s’assurent chaque matin de la bonne tenue des lieux. Une bénévole, Mathilde, est venue partager ce mercredi un repas convivial avec les locataires. « L’échange est très enrichissant avec les jeunes qui ont besoin de nous. L’initiative de la maison revient aux parents de ces jeunes qui sont soucieux de leur donner une autonomie et un cadre de vie sûr. Ils sont également partie prenante dans son fonctionnement », indique-t-elle. Les Maisons Saint Joseph projettent l’ouverture en fin d’année, d’un grand appartement partagé du même type à Rambouillet puis d’autres maisons de vie et de partage à Lourdes (65) et Saint-Etienne (42).

L’un des locataires, Anthony, 20 ans, se dit « ravi » de vivre ainsi en cohabitation. « Tout se passe bien. Les maîtresses de maison sont gentilles », dit-il avant de rejoindre son travail dans un atelier artisanal. Tous les quinze jours, il rejoint sa famille pour le week-end.

Source LE PARISIEN.

 

Logement Handicap – Moins de normes et plus de places: Macron dévoile sa réforme du logement…

Le président de la République veut notamment augmenter la construction de logement neufs, grâce à limitation des normes environnementales et sociales.

Emmanuel Macron préconise un « choc de l’offre » pour résoudre la crise du logement.

Le président de la République veut notamment augmenter la construction de logement neufs, grâce à limitation des normes environnementales et sociales.

Quid des normes handicap actuelles ? Lesquelles dans le futur ?…..

Emmanuel Macron préconise un « choc de l’offre » pour résoudre la crise du logement. En déplacement à Toulouse, le chef de l’Etat a dévoilé ce lundi les grands axes de sa réforme du logement, destinée à accélérer la construction immobilière et baisser les loyers.

Le président de la République a ainsi annoncé la création de 50 000 places supplémentaires pour le logement d’urgence dans des pensions de famille ou le parc locatif, pour remplacer les nuitées d’hôtels.

« On va sortir d’une logique ou on fait que du traitement d’urgence (…) et on va plutôt essayer de les mettre dans du logement plus durable » a indiqué le chef de l’Etat, interpellé à la mi-journée par un membre de l’association Le Droit au Logement.

Ce volet, baptisé « Logement d’abord » et destiné aux personnes en grande précarité, fera l’objet d’une « mise en oeuvre accélérée dans 15 territoires volontaires dont Toulouse », a expliqué le président.

Efforts sur le logement neuf

Autre priorité: accroître la construction de logement neufs. Emmanuel Macron souhaite porter à 40 000 par an dès 2018 et « sur tout le quinquennat » la construction de logements « très sociaux » et faire augmenter « massivement » la construction dans le parc libre, grâce à « une réduction des exigences des normes » environnementales et sociales.

Dans le parc libre, « il faut construire davantage » car « on a besoin de plus de logements », a-t-il poursuivi. Le chef de l’Etat, opposé à un nouvel encadrement des loyers, juge que cette hausse de l’offre sera de nature à diminuer le coût du logement en France.

« Nous mettrons en place un vrai choc d’offre qui permettra sur des territoires donnés, où le prix du logement s’est envolé, sur un temps donné, une politique de libération du foncier public et privé, une politique de réduction des exigences des normes, de réduction des délais de recours, qui coûtent très cher pour pouvoir produire massivement en quelques années », a insisté le président de la République.

« Il faut du pragmatisme »

« Vous en entendrez parler, il y aura énormément de (gens) qui s’élèveront contre ça, tous ceux qui ont dit (que) ces normes (sont) sur tout le territoire pour tout le monde » : « on me dira que je ne respecte pas l’environnement, ou parfois le handicap, parfois ceci ou cela. Mais il faut du pragmatisme », car « c’est essentiel pour résoudre le problème du logement », a-t-il conclu.

« On peut créer tout le logement social de la Terre » mais « dans toutes les zones où le prix a monté on ne sort pas du logement social. C’est pour cela qu’il faut pouvoir construire plus dans le (parc de logements) libre ».

Antidépresseurs et grossesse : quel risque ?…

Il n’y a pas de lien entre la prise de ces médicaments et la survenue d’un déficit intellectuel.

Souvent diagnostiqué dans l’enfance, le déficit intellectuel toucherait entre 0,7 et 2 % de la population. Parmi les causes connues, la prise de certains médicaments antiépileptiques, et notamment du valproate de sodium, est bien démontrée. Mais est-ce que la prise d’antidépresseurs pendant la grossesse peut également être un facteur de risque?

C’est la question à laquelle ont souhaité répondre les chercheurs de l’université de médecine Mount Sinai à New York. Pour étudier leur hypothèse, ils se sont penchés sur une cohorte de 179. 000 enfants nés en Suède en 2006 et 2007. Les scientifiques ont comparé un groupe de 4 000 de ces enfants exposés à des antidépresseurs et autres médicaments psychotropes pendant la grossesse à un groupe de plus de 23 .000 enfants dont les mères, diagnostiquées dépressives ou anxieuses, n’ont pas été traitées par antidépresseurs pendant la grossesse.

«Certaines femmes en situation de souffrance importante le seront encore plus si elles prennent un traitement qui va les stresser»

Antoine Pelissolo, psychiatre au CHU de Créteil

Leur conclusion, publiée en ligne sur le site de la revue spécialisée Jama Psychiatry, est rassurante: il n’existe aucun lien entre la prise d’antidépresseurs et psychotropes pendant la grossesse et l’apparition d’un déficit intellectuel. «Le léger surrisque observé est principalement lié à l’âge des parents ou au trouble psychiatrique sous-jacent dont souffre la mère», précisent les auteurs de1 l’étude….

Antidépresseurs et grossesse

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Source 20 Minutes.

Autisme – Grossesse: La vitamine B9 protégerait contre le risque d’autisme chez le bébé…

Pour les futures mères, la vitamine B9 pourrait constituer un moyen de contrer les effets négatifs des pesticides sur le bébé, notamment le risque d’autisme…

La vitamine B9 ou acide folique (folates) est essentielle au développement du fœtus. Une étude publiée dans Environmental Health Perspectives démontre qu’elle permet aussi de protéger les bébés du risque d’ autisme, surtout si les femmes vivent dans un environnement riche en pesticides.

Carence en folates et pesticides : danger !

Les chercheurs américains de l’université de Californie à Davis, ont examiné 516 enfants, âgés de 2 à 5 ans, dont 220 atteints de trouble du spectre autistique (TSA). Les mères ont été interrogées sur leur prise d’acide folique et leur éventuelle exposition aux pesticides domestiques.

Les données recueillies montrent que les enfants dont les mères ont pris 800 microgrammes ou plus de folates présentent un risque plus faible de développer un TSA, même en cas d’exposition à des pesticides domestiques ou agricoles.

A contrario, les chiffres montrent aussi qu’une trop faible consommation d’acide folique augmente le risque d’autisme, surtout si elle est associée à une exposition.

Supplémentation recommandée

Mais les futures mères ne peuvent pas toujours éviter les pesticides, surtout lorsqu’elles habitent près de zones agricoles. Dans ce cas, la prise d’acide folique pourrait constituer « un moyen de contrer ces effets négatifs », explique Rebecca J. Schmidt, professeure et première auteure de l’enquête.

Compte tenu des besoins importants en folates occasionnés par la grossesse, les médecins recommandent aux futures mères la prise d’un supplément médicamenteux. Mais on trouve également de l’acide folique dans l’alimentation quotidienne : noisettes, noix, amandes, épinards, châtaigne, melon et œufs en contiennent.

Femme enceinte - Autisme

Source 20 Minutes.

 

Auvergne-Rhône-Alpes: Un plan pour lutter contre les déserts médicaux…

Laurent Wauquiez a présenté lundi plusieurs mesures pour endiguer le phénonème…

 

  • Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a présenté lundi plusieurs mesures pour endiguer les déserts médicaux.
  • Elle est la région de France la plus touchée par le phénomène

De jeunes médecins qui peinent à s’installer dans les campagnes, des praticiens en âge de partir à la retraite et qui ne sont pas remplacés, faute de prétendants. La France va devoir faire face, dans les années à venir, au problème des déserts médicaux. La région Auvergne-Rhône-Alpes, où un médecin sur cinq a plus de 60 ans, est d’ailleurs la plus touchée par ce fléau dans l’Hexagone.

En Auvergne par exemple, le taux d’accès aux soins est deux fois plus long que dans la moyenne nationale. Et dans le Cantal, un médecin sur trois n’a pas été formé sur le territoire national.

Pour endiguer le phénomène, Laurent Wauquiez, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a dévoilé lundi plusieurs mesures phares. A commencer par une enveloppe plus importante accordée à la création de maisons de santé ou des centres de santé en zones reculées. 200.000 euros contre 100.000 auparavant.

Ne « pas donner l’argent sur la base du copinage »

« Le développement des maisons de santé, où se regroupent plusieurs professionnels de santé est une solution que l’on prône depuis plusieurs années. Car elles permettent d’échanger entre nous et d’adapter plus facilement notre temps de travail », réagit Sophie Augros, présidente du syndicat ReAGJIR en Auvergne-Rhône-Alpes. Exerçant en Savoie, elle reste toutefois vigilante.

« L’idée est bonne mais il faut veiller à ce que l’argent soit attribué correctement, qu’il aille aux maisons dont les critères correspondent au cahier des charges établi par l’Agence régionale de la santé, et non qu’il soit donné sur la base du copinage politique ».

La Région a également décidé d’augmenter le montant des bourses délivrées aux futurs médecins afin de les « encourager à effectuer leurs stages dans les déserts médicaux ». Le principe existait déjà mais l’aide passera de 400 à 500 euros et le nombre de bourses de 100 à 150 par an…

Déserts médicaux

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Source 20 Minutes.

 

 

Handicap – Seine-et-Marne : la bataille du rail accessible…

Handicap – Transport SNCF – En Seine-et-Marne, la SNCF a réussi à faire l’unanimité contre elle en reportant de quatre ans les travaux de mise en accessibilité de trois gares. Dont celle desservant la MDPH. Les élus locaux, l’APF et même le principal financeur des travaux demandent à ce que le chantier soit maintenu.

Un étonnant carton d’invitation a circulé sur les réseaux sociaux. Une invitation à manifester à l’appel de la Mairie et du Conseil municipal de Savigny-le-temple, de l’Association des Paralysés de France (APF) et de la Fédération des usagers des transports et des services publics. Élus, personnes handicapées et voyageurs, même combat ! Le mot d’ordre : « Pourquoi pas moi ? Je veux une gare accessible. »

Vendredi 8 septembre, en fin d’après-midi, quelque 150 personnes se sont donc retrouvées devant la gare de Savigny-le-Temple, une ville de 30 000 habitants en Seine-et-Marne. En cause, la décision de la SNCF, SNCF Réseau plus exactement, de reporter de quatre ans la mise en accessibilité de trois gares desservies par le RER D. Dont celle de Savigny-le-Temple, située à 400 mètres de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) du département.

Des travaux pas avant 2021 au lieu de 2017

Ces travaux figurent pourtant dans l’agenda d’accessibilité programmée (SDA-Ad’ap), adopté en juillet 2015 par le syndicat des transports d’Île-de-France, l’autorité organisatrice des transports collectifs dans cette région, devenu depuis Île-de-France mobilités. En novembre 2016, lors d’une réunion, SNCF Réseau avait même présenté aux élus de Savigny-le-Temple les travaux d’accessibilité qui devaient démarrer à l’été 2017.

Et puis, quelques mois plus tard, changement de programme. SNCF Réseau décide, unilatéralement et sans en informer les associations de personnes handicapées, de reporter le chantier à « 2021 pour une mise en service en 2022 ». Un article du Parisien, paru fin juillet, dans lequel Marie-Line Pichery, la maire de Savigny-le-Temple, fait part de sa colère et alerte les représentants départementaux de l’APF.

Pas assez de personnels pour mener à bien les chantiers !!!

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Source FAIRE FACE.

Handicap – Auvergne – Rhône Alpes – De nouvelles aides pour les lycéens en situation de handicap…

Handicap – Il y a une semaine, le président d’Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, présentait son plan régional du handicap qui passera notamment par l’innovation technologique.

Aujourd’hui, la conseillère régionale Iséroise Sandrine Chaix, en charge justement de cette thématique, revient sur les nouveautés de la rentrée pour les lycéens en situation de handicap.

Quels sont ces dispositifs et quel est leur but ?

Ils ont été pensés pour faciliter la rentrée scolaire des lycéens en situation de handicap. En coordination avec Béatrice Berthoux, vice-présidente aux lycées, et Marie-Camille Rey, vice-présidente à la jeunesse, on les a intégrés dans la nouvelle carte jeune, le Pass’Région. Ils sont au nombre de trois. Le premier concerne le problème du poids des livres que toutes les familles connaissent bien. Or, quand on se déplace en fauteuil, leur transport est encore plus difficile. Donc, nous avons décidé de doubler l’aide financière pour les manuels scolaires pour les lycéens en situation de handicap. Ainsi, pour des élèves de seconde par exemple, on passe de 100 à 200 euros, afin qu’ils puissent acheter un second jeu de bouquins. Le premier reste au lycée, le second à la maison. Cela évite de trop charger les jeunes, dont certains doivent déjà transporter d’autres sacs pour leurs soins durant la journée.

Le deuxième dispositif concerne les livres numériques ?

Oui, toujours dans le Pass’Région, nous avons intégré pour la première fois une aide aux livres en format numérique. En fait, tout est parti d’une lettre que j’ai reçue l’an passé. Une maman de Savoie me disait qu’elle n’avait pas pu obtenir d’aide de la Région pour l’achat des livres numériques, car le dispositif installé ne concernait que les manuels “papier”…..

Aide lycéens en situation de handicap - Auvergne-Rhône-Alpes.

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Source LE DAUPHINE LIBERE.

Handicap – Saint-Philibert (Morbihan). Un biathlon pour rapprocher valides et handicapés…

Handicap – Samedi, aura lieu le Biathlon d’été, initiative lancée par l’associaton L’Ultra marin, avec comme épreuves de la marche nordique et du tir, sur le site de La Trinitaine, impliquée dans l’événement. Il y aura, sur la base du duo, la possibilité de mixer les pratiques.

L’initiative proposée par l’association L’Ultra marin, samedi prochain, sera intéressante à plusieurs titres. L’épreuve de biathlon d’été va se dérouler autour du site de La Trinitaine. Ni ski, ni carabine pour ce biathlon particulier. Il va bien être constitué de deux pratiques sportives : la marche nordique et le tir à l’arc.C’est l’esprit que les organisateurs veulent insuffler qui va apporter un supplément d’âme à l’épreuve, car elle va associer des athlètes valides à des athlètes handicapés.

La course en fauteuil roulant

« Il y aura, sur la base du duo, la possibilité de mixer les pratiques. Il sera ainsi possible de se mettre en situation en réalisant la course en fauteuil roulant et ainsi d’assimiler les contraintes rencontrées par les handicapés », explique Bernard Landrein.Une démarche qui s’intègre bien dans la philosophie que veut promouvoir l’entreprise La Trinitaine en matière sportive. « Nous sommes partenaire de l’Ascof, Association des coureurs en fauteuil de l’ouest. Nous essayons chaque année de la mettre en lumière, alors ce biathlon est une bonne opportunité », commente Annabelle Cantin…

Samedi 16 septembre, Biathlon d’été, sur le parking de La Trinitaine. Initiation de 10 h à 10 h 30 et épreuves à partir de 14 h 30, avec départs échelonnés par groupe toutes les heures.

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Source OUEST FRANCE.