Toulouse : une enseignante handicapée se bat pour obtenir un aménagement de poste…

A Toulouse, une professeure d’italien souffre d’une grave maladie dégénérative.

En poste sur deux établissements, elle demande un aménagement de service, qui lui est refusé. 

Toulouse : une enseignante handicapée se bat pour obtenir un aménagement de post

Marie-Line Tarrible souffre d’une grave maladie dégénérative. Toutes ses articulations sont touchées, elle ne peut pas marcher plus de cent mètres et doit se ménager si elle ne veut pas se retrouver en fauteuil roulant.

Cette professeure d’italien dispose de nombreux certificats médicaux et sa maladie a été reconnue par la maison départementale du handicap. Pour cette raison, elle demande un aménagement de poste. Actuellement, Marie-Line Tarrible travaille sur deux établissements scolaires : elle souhaite donc bénéficier d’une mutation sur un lycée unique. Ce qui lui a été refusé jusqu’à présent.

Cette semaine, un comité de soutien a manifesté devant le Rectorat. Lequel devrait recevoir Marie-Line Tarrible prochainement.

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Source FR3.

 

Normandie. Frappé, un homme handicapé succombe à ses blessures….

Une semaine après avoir été agressé devant un magasin, à Elbeuf, en Normandie, un homme est décédé dimanche.

Le parquet de Rouen a ouvert une enquête préliminaire pour violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Frappé, un homme handicapé est décédé des suites de ses blessures, près de Rouen.

Un homme handicapé est décédé dimanche, quelques jours après avoir été agressé devant un supermarché d’Elbeuf, près de Rouen. L’agression est survenue le 5 mars, en fin d’après-midi, devant un supermarché. Mardi, le parquet de Rouen a ouvert une enquête préliminaire pour violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Refus de donner une cigarette

Âgé de 60 ans, l’homme, qui se déplaçait avec une béquille, aurait refusé une cigarette à quatre hommes. L’un d’eux lui aurait alors porté un coup au visage, le faisant tomber, avant de le frapper à plusieurs reprises dans le dos. La victime a été hospitalisée en fin de semaine, où elle est décédée dimanche.

Le parquet n’a pas confirmé ces précisions, évoquant une agression par « un groupe d’individus ». Le magistrat s’est notamment basé sur les déclarations de la victime avant son décès, pour ouvrir une enquête préliminaire.

« Indignée et choquée »

La secrétaire d’État chargée du Handicap, Sophie Cluzel, a réagi dans un tweet mardi soir. « Indignée et choquée par cette agression barbare à #Elbeuf. Je condamne fermement cet acte odieux. Toutes mes pensées vont vers sa famille et ses proches. Tolérance zéro sur ces violences ignobles », a-t-elle écrit.

Selon la source syndicale policière, la victime n’a été hospitalisée que vendredi et elle est décédée dimanche à l’hôpital des Feugrais à Elbeuf. L’autopsie prévue mercredi « devrait permettre d’y voir plus clair sur les causes de la mort », a expliqué le procureur.

« Aucune interpellation n’a eu lieu » à ce stade, a-t-il en outre indiqué. Les policiers de la sûreté départementale, en charge de l’enquête, ont lancé un appel à témoin pour permettre l’identification des personnes qui auraient agressé l’homme handicapé.

Source OUEST FRANCE.

Handicap. Sablé sport santé lance un appel aux dons….

L’association a lancé une collecte en ligne. Elle cherche de nouvelles ressources pour pérenniser le poste de son éducatrice sportive et continuer à proposer ses activités.

Handicap. Sablé sport santé lance un appel aux dons

Sablé sport santé, la Sassa pour les intimes, existe depuis 1992. Cette association sportive fonctionne avec des licenciés, comme un club classique, mais s’adresse à un public bien spécifique.

Handicap et précarité

« Nos membres sont des personnes en situation de handicap psychique et mental ou de précarité sociale et financière. Nos activités sont ciblées dans un but de bien être physique, psychique et pour faciliter l’intégration sociale », explique Pierre Hérouin, le président depuis les débuts.

L’association, unique en son genre dans le secteur, compte autour de 70 licenciés. Mais, plus de 120 personnes ont participé à ses ateliers l’année dernière. Car, en plus de participer à des compétitions de sport adapté, la Sassa anime aussi des activités dans les quartiers prioritaires de la ville, des interventions dans les Ehpad de Solesmes et Précigné

Diminution des subventions

Aujourd’hui, la Sassa dispose d’un budget d’environ 40 000 €. Sur cette somme, la très grande majorité (28 000 €) sert à rémunérer l’éducatrice sportive qu’emploie l’association.

« Nos frais de fonctionnement, hors emploi, ne représentent que 28 % de notre budget total », souligne Pierre Hérouin.

Comme beaucoup d’autres associations, Sablé sport santé est frappée par « une diminution constante » de ses subventions, de la part de l’Etat. Elle cherche donc de nouvelles ressources.

À moyen terme c’est le poste de son éducatrice sportive qui est menacé. « Sans cet emploi, nous ne pouvons plus encadrer et animer nos activités. Et l’association n’a plus les moyens d’exister, souligne Pierre Hérouin. Car dans notre secteur du handicap nous ne pouvons pas travailler avec des bénévoles, ils nous faut des professionnels diplômés. »

Collecte en ligne

Pierre Hérouin a fait son calcul : « Si on veut continuer à vivre, il nous faut 3 000 € en plus par an, pour l’instant. » Le président et les membres de l’association se sont donc mis au travail ces derniers mois pour trouver des sous. « Nous avons lancé des démarches pour dénicher de nouveaux mécènes. Nous négocions aussi avec la mairie pour voir si elle peut nous donner un petit coup de pouce. Nous réfléchissons aussi à organiser de petites actions pour collecter des fonds », détaille-t-il.

La Sassa a aussi lancé une collecte en ligne elle y fait appel à la générosité des Saboliens. « Tous vos dons serviront serviront à pérenniser le poste de notre éducatrice sportive », conclut le président.

Pour faire un don, rendez-vous à l’adresse : https://www.helloasso.com/associations/ sable-sport-sante/formulaires/1

Source OUEST FRANCE.

Bully-les-Mines : des abris de luxe pour chats errants, construits par l’APEI…

C’est lors d’ateliers menuiserie que les adultes en situation de handicap accueilli au Domaine de l’écureuil de Bully-les-mines ont pu réaliser des cabanes pour les chats errants.

Une opération en partenariat avec la fondation 30 millions d’amis.

Les personnes de l'APEI en train de construire leur cabane pour chats.

En raison d’un nombre important de chats errants sur la commune de Bully-les-Mines – 200 d’après la municipalité- la ville a signé une convention avec la fondation 30 millions d’Amis pour la mise en place d’une campagne d’identification et de stérilisation des chats sans propriétaires. Les chats stérilisés seront identifiés par tatouage et remis sur les sites où ils auront été attrapésEn échange, la commune s’est engagée à construire des logis pour abriter les chats.

Une construction solidaire

C’est l’APEI, association qui s’occupe de personnes en situation de handicap mental, qui s’est vue confier la responsabilité de créer ces cabanes, lors d’ateliers « bois » au foyer des Glycines et Grenay et au domaine des écureuils de Bully-les-Mines tous les mercredis. « L’idée c’est de fabriquer un prototype pour voir si la cabane est fonctionnelle », explique Sadek Deghima, chef de service du domaine des écureuils.  « Ensuite on verra comment cela fonctionne et on réévaluera ». Pour l’inst

 

Un des prototypes réalisés par les adultes de l'APEI.

Source FR3.

Ahurissant !…. Des personnes handicapées verbalisées pour des stationnements pourtant gratuits !

Depuis plusieurs mois, l’Association des Paralysés de France constate une recrudescence de contraventions reçues par des personnes qui possèdent une carte de « mobilité inclusion ».

Des personnes handicapées verbalisées pour des stationnements pourtant gratuits

C’est une situation absurde mais pourtant bien réelle : les personnes en situation de handicap, pour qui toutes les places de stationnement sont gratuites depuis le 18 mars 2015, voient depuis quelques mois pleuvoir les contraventions. « Certaines se retrouvent à devoir justifier de la gratuité de leur stationnement« , déplore Patrice Tripoteau, Directeur général de l’Association des paralysés de France (APF).

La carte de mobilité inclusion reste trop peu connue

En cause, la nouvelle carte de mobilité inclusion (CMI), qui rentre progressivement en vigueur depuis le 1er janvier 2017. Plus difficile à falsifier, cette nouvelle carte vient remplacer trois types de cartes jusque-là en vigueur : la carte d’invalidité, celle de priorité et celle de stationnement. Les agents missionnés pour contrôler le stationnement des véhicules dépendent d’entreprises privées, et certains ne connaissent pas cette CMI. Ils sanctionnent donc, de fait, l’absence de paiement de nombreuses personnes en situation de handicap. Pour Patrice Tripoteau, la communication entre les villes et ces entreprises privées, qui mandatent des agents, est loin d’être effective.

En outre, à cette non-connaissance de la CMI vient s’ajouter la hausse du prix des contraventions, appelées forfaits de post-stationnement (FPS). Originellement fixé à 17€, depuis 2018, il est choisi par les communes. Il monte même jusqu’à 50€ à Paris ! La facture peut donc grimper très vite pour les personnes en situation de handicap. « Elles utilisent leur véhicule au quotidien. Elle peuvent être verbalisées tous les jours ! » alerte Patrice Tripoteau, qui précise que « certaines d’entre elles ont de faibles ressources« .

Des démarches lentes et lourdes

France Inter diffusait le 12 mars le témoignage de Stéphane, habitant de Trappes se déplaçant à Paris tous les jours. Après avoir reçu plusieurs dizaines de FPS – alors qu’il avait placé sa CMI en évidence sur son pare-brise – Stéphane a effectué des recours auprès de l’autorité compétente. Sans réponse, il a dû faire appel à un avocat pour l’aider dans ses démarches. Un processus lent et lourd, auquel tout le monde ne peut avoir recours. « Certaines personnes ne savent même pas comment faire une réclamation« , ajoute Patrice Tripoteau.

« Nous avons alerté le ministère de l’Intérieur, mais nous n’avons pas eu de réponse à ce jour« , indique le Directeur général de l’APF, qui précise qu’aucun rendez-vous n’est programmé. Pourtant, « c’est un enjeu national« , selon Patrice Tripoteau. « Les personnes concernées sont inquiètes. C’est une situation critique. »

Source France TV.

La maladie X pourrait tuer des millions de personnes…

Une nouvelle menace appelée « maladie X » a été ajoutée à la liste des maladies de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Elle pourrait causer une épidémie planétaire, même si elle n’existe pas encore.

Elle tient les scientifiques éveillés. La maladie X, très mystérieuse pour le moment, a été ajoutée au plan d’action prioritaire de recherche et développement contre les maladies de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). « L’histoire démontre que la prochaine grande pandémie sera quelque chose qu’on n’a jamais vu avant », a annoncé John-Arme Rottinger, directeur général du Conseil norvégien de la recherche et conseiller scientifique à l’OMS, dans le quotidien britannique The Telegraph.

Les 6 et 7 février, l’OMS a convoqué un comité d’experts, à son siège de Genève (Suisse). Ensemble, ils ont dressé une liste des maladies qui pourraient potentiellement faire des millions de victimes dans le monde. En plus des huit maladies effrayantes mais déjà connues – citons Ebola, Zika et le Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) – la liste comprend une neuvième menace mondiale : la maladie X.

Qu’est-ce que la maladie X ?

C’est un pathogène nouvellement identifié, mais qui reste inconnu. Elle pourrait potentiellement provoquer la prochaine grande pandémie mondiale, relate le site d’information Slate. « La maladie X a été incluse dans la liste, pas pour nous terrifier, mais pour veiller à ce que la communauté mondiale de la santé soit prête à s’attaquer à toutes les menaces prévisibles et imprévisibles », a déclaré lOMS sur son site internet.

D’où la maladie pourra-t-elle provenir ?

Pour l’OMS, la maladie a de grande chance de venir de sources animales. Environ 70 % des maladies découvertes au cours du siècle dernier proviennent d’animaux sauvages et domestiques. Le virus hémorragique Ebola est un exemple typique. Les experts pensent que la pandémie ouest africaine de 2013 à 2016 a commencé lorsqu’un garçon d’un an a été mordu par une chauve-souris infectée par le virus Ebola en Guinée. La maladie s’est propagée à sa mère, à sa sœur et à sa grand-mère. Puis à plus de 11 000 personnes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone.

Prévenir pour mieux guérir

Alors pourquoi se préoccuper d’une maladie qui n’existe pas encore ? « Nous voulons être sûrs d’être prêt à toutes les éventualités. Nous voulons créer des systèmes « prêts à l’emploi » qui s’adapteraient à n’importe quels types de maladies et qui nous permettraient de créer des contre-mesures le plus rapidement possible », a confié John-Arme Rottingen, toujours au Telegraph.

En améliorant la surveillance des maladies et en renforçant les capacités des systèmes de santé locaux à travers le monde, l’OMS veut prévenir une contamination précoce, la contenir et la tuer avant quelle ne se propage. Le Dr Nahid Bhadelia, directeur médical des pathogènes spéciaux au centre médical de Boston (États-Unis), a comparé ce système de prévention à une ville qui construit une série de barrages ou de digues pour se protéger des inondations. « Ne pas aider à renforcer les capacités de lutte contre les maladies infectieuses, c’est comme refuser de construire des barrages contre la marée et s’attendre à être protégé quand l’inondation survient. »

Source OUEST FRANCE.

Périgueux : belles et handicapées…

La beauté est dans l’oeil de celui qui regarde.

Et si les handicapés se trouvent beaux, le regard sur le handicap changera. Pour le mois des droits de la femme, l’Association des Paralysés de France a organisé samedi une soirée « Belles avec nos différences ».

Périgueux : belles et handicapées

À l’occasion du mois des droits de la femme, l’Association des Paralysés de France a organisé samedi dernier une soirée « Belles avec nos différences » à la Filature de l’Isle de Périgueux.

L’APF souhaite toujours faire tomber les barrières autour du regard sur le handicap, de l’image de soi et du regard des autres. Etaient proposés par exemple les méthodes pour prendre soin de soi, comment communiquer, rencontrer et échanger avec l’autre, comment parler de soi et décrire ses passions, ses loisirs. Pour cela des ateliers, des espaces soin bien-être, expérimentation de la relaxation, de l’hypnose, de la méditation et des technique de communication, speed-dating, le programme était riche et à la hauteur de l’ambition affichée.

Point d’orgue, le défilé de mode « belles avec nos différences »… Pour Monique, l’occasion d’être belle aux yeux de tous, à commencer par ceux de son mari et les siens propres.

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Source FR3.

Clermont-Ferrand : une signalétique pour les personnes autistes à l’Adapei…

L’ADAPEI 63 a doté l’un de ses services d’accueil de jour d’une signalétique adaptée aux 12 adultes autistes accueillis.

C’est avec une entreprise de graphisme clermontoise que l’Adapei a développé ce nouvel outil qu’elle compte installer dans tous ses services d’accueil.

une signalétique pour les personnes autistes

Travailler avec des visuels, les éducateurs de l’ADAPEI du Puy-de-Dôme l’ont toujours fait. Grâce à la collaboration avec des graphistes, c’est une journée type qui est mise en illustration.
« Le problème des personnes autistes, c’est de se repérer dans le temps et dans l’espace. Cet outil ça leur permet d’avoir toutes les informations sur les activités de la journée qui va se dérouler pour eux. Ca les rassure et ils ont beaucoup moins d’angoisses au quotidien », explique Francis Puvinel, éducateur spécialisé.
Par exemple se brosser les dents : avec les images ils peuvent savoir à quelle étape ils sont, qu’est-ce qu’il y a à faire après, qu’est-ce qu’il faut comme matériel pour réaliser l’action et du coup les personnes vont pouvoir retrouver toutes les étapes nécessaires pour réaliser l’activité.

Une signalétique mise en images avec une entreprise clermontoise 630°EST.
« Ce sont des illustrations simplifiées donc des choses très concrètes, on supprime les éléments qui n’ont pas d’intérêt pour eux, pour transmettre le message. J’ai repris la communication visualisée et les professionnaliser », continue Anne Perriaux, graphiste designer – 630°EST

Un service d’accueil à Clermont-Ferrand, mais aussi celui de Saint-Eloy-les-Mines qui travaillent déjà avec cet outil. Celui de Vertaison devrait bientôt en bénéficier.

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Source FR3.

Un « Carnage »… Carcassonne : un aide-soignant accusé de viol sur personne vulnérable devant les Assises…

Un sexagénaire est jugé depuis vendredi matin aux Assises de l’Aude pour un viol commis sur une personne vulnérable en 2014.

Il s’agit d’un ancien aide-soignant d’un Ehpad de Carcassonne. Il aurait abusé d’une pensionnaire lourdement handicapée. Le procès se poursuit samedi et lundi.

Carcassonne : un aide-soignant accusé de viol sur personne vulnérable devant les Assises

« Un carnage », c’est ainsi que l’aide-soignante qui a découvert la victime, a qualifié la scène du viol supposé.

L’affaire a eu lieu dans la nuit du 28 au 29 septembre 2014, dans la maison de retraite des Rives d’Ode à Carcassonne.
Au petit matin, une aide-soignante surprend un de ses collègues alors qu’il sort de la chambre d’une patiente grabataire et paralysée des quatre membres. La tenue de cet homme est maculé d’excréments et de nombreux effets personnels de l’accusé sont retrouvés sur le lit de la victime.

Ce vendredi, à l’audience, l’aide-soignant a nié avoir violé la pensionnaire. Il dénonce le nettoyage de la scène du viol supposé et l’alerte de la police donnée 6 heures après les faits dont on l’accuse.

C’est toute la difficulté de ce procès. Les collègues de l’accusé ont prévenu la direction de l’établissement, 4 heures après les faits. Et les policiers n’ont été prévenus par l’hôpital qu’à midi, soit encore environ 2 heures plus tard.
Entre-temps, la scène du crime supposé a été entièrement nettoyée, ce qui n’a pas facilité la tâche des enquêteurs. L’accusé,un  sexagénaire, a d’abord avoué en garde-à-vue, mais s’est finalement rétracté.

Le procès se poursuit ce samedi avec l’audition des témoins. Le réquisitoire, les plaidoiries et le verdict sont attendus lundi prochain.

Source FR3.

Handicap. Le petit garçon malade aura bien son fauteuil….

Un concert caritatif était organisé, samedi à Solesmes, par le club Kiwanis pour permettre d’acheter un fauteuil médicalisé à un petit garçon malade. Un objectif atteint.

Handicap. Le petit garçon malade aura bien son fauteuil

Handicap. Le petit garçon malade aura bien son fauteuil

Avant même le début du spectacle de samedi soir à la salle des fêtes, Philippe le Hors, le président actuel du club des Kiwanis, l’affirmait : « Le fauteuil se fera, notre engagement sera ferme. » Le fauteuil auquel il faisait référence est celui que le club souhaite offrir au jeune Willow. Cet enfant sarthois souffre d’une maladie rare qui limite fortement son autonomie.

5 000 € pour le fauteuil

Ce samedi, une centaine de personnes ont assisté au concert de deux jeunes groupes sarthois Happy together et À part 3, participant ainsi au financement de ce fauteuil « qui coûte 5 000 €. »Des fonds ont aussi été collectés auprès d’entreprises locales et des particuliers ont fait des dons. Philippe le Hors de rappeler la devise des Kiwanis : « Servir les enfants du monde. Et la règle de faire à autrui ce qu’on voudrait qu’on te fasse. »

Source OUEST FRANCE.