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Découverte d’un traitement révolutionnaire qui stoppe la progression d’Alzheimer chez les souris…

Des chercheurs américains ont découvert un traitement capable d’inverser les effets de la maladie d’Alzheimer sur les souris en réduisant la production d’enzymes BACE1.

Bien que ce traitement expérimental ne soit pas prêt à d’éventuels tests sur l’Homme, il représente un immense espoir pour les millions de malades à travers le globe…

Découverte d’un traitement révolutionnaire qui stoppe la progression d’Alzheimer chez les souris

Bêta-amyloïde : le coeur d’Alzheimer

Nommée d’après le médecin qui l’a découverte en 1906, la maladie d’Alzheimer est une plaie que rien ni personne ne parvient à endiguer : elle a déjà infecté 36 millions de personnes dans le monde, et demeure encore aujourd’hui complètement incurable. Cette maladie neurodégénérative s’attaque au tissu nerveux, entraînant d’irréversibles dégâts au niveau des fonctions cognitives : perte de la mémoire, difficultés à se repérer, troubles du langage et des actions motrices…

Naturellement présente dans le cerveau, la bêta-amyloïde joue un rôle de premier plan dans le développement de la maladie d’Alzheimer. Pour des raisons encore mal définies, cette protéine peut à tout moment s’agglomérer et conduire à la formation de plaques amyloïdes dans le cerveau. Ces dépôts, particulièrement néfastes pour la communication neuronale, sont les premiers responsables des lésions nerveuses inhérentes à la maladie. Mais des chercheurs américains espèrent avoir trouvé un moyen de combattre ses effets en ciblant la source du problème : l’enzyme BACE1, qui stimule la production d’amyloïde.

Un traitement prometteur

Le 14 février 2018, une équipe de scientifiques américains détaillait les résultats d’un nouveau traitement contre la maladie d’Alzheimer dans les colonnes du prestigieux Journal of Experimental Medecine. Les neurologues et les généticiens du Lener Research Institute de Cleveland y expliquaient avoir réussi à inverser l’évolution de la maladie chez les souris, et même à leur faire recouvrer certaines facultés cognitives !

Pour attester de l’efficacité du traitement, les chercheurs ont créé deux groupes de rongeurs. Chez les souris du premier groupe, le gène à l’origine de la BACE1 a été modifié, afin qu’il diminue au fil de leur croissance ; chez les souris du second groupe, ce gène a été tout simplement désactivé. Les scientifiques se sont aperçus de deux choses : la première, c’est que les souris sans BACE1 souffraient d’importantes lésions nerveuses ; la seconde, c’est qu’aucune des souris ayant bénéficié du traitement n’avait présenté de signes de la maladie d’Alzheimer.

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Source daily geek show.

Maladie d’Alzheimer: Un médicament contre le diabète réduirait les troubles de la mémoire…

Un médicament contre le diabète de type 2 pourrait s’avérer efficace pour lutter contre le développement de la maladie d’Alzheimer…

Maladie d'Alzheimer: Un médicament contre le diabète réduirait les troubles de la mémoire

Un médicament de type agoniste triple, médicament habituellement prescrit dans le traitement du diabète de type 2, protégerait le cerveau de la dégénérescence liée à la maladie d’Alzheimer, selon une étude publiée mardi 2 janvier dans la revue scientifique Brain Research..

La substance aurait pour effet d’activer les récepteurs du glucagon, du GIP et du GLP-1. Or, la réception de ces hormones, qui favorisent la croissance cérébrale, est détériorée chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

Les scientifiques à l’origine de cette découverte ont administré le triple agoniste à des souris présentant une dégénérescence cérébrale avancée de type Alzheimer.

Ralentissement de la perte de cellules nerveuses

Les rongeurs ont obtenu de meilleurs scores que leurs congénères non-traités dans le cadre de tests d’apprentissage et de mémoire.

L’administration de l’antidiabétique a ainsi dynamisé un facteur de croissance cérébrale, causant un ralentissement de la perte de cellules nerveuses, un meilleur fonctionnement de ces dernières et une diminution de la formation dans le cerveau des plaques amyloïdes, un processus typique de la maladie d’Alzheimer.

Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer l’efficacité de ce processus sur l’homme.

Source 20 Minutes.

Vrai – Faux ? 1 enfant sur 2 autiste en 2025 ?

  • Une chercheuse américaine a projeté qu’« un enfant sur deux sera autiste » en 2025.

1 enfant sur 2 autiste en 2025 ?

  • Cette citation date de 2014, mais elle continue d’être reprise sur internet.
  • Pour la chercheuse, le coupable serait le glyphosate.
  • Elle a pourtant reconnu elle-même que le lien entre l’herbicide et la maladie ne peut pas être fait en l’état actuel des connaissances scientifiques.

« A ce rythme, d’ici 2025, un enfant sur deux sera autiste. » C’est le cri d’alarme lancé par une chercheuse américaine lors d’une conférence. Une citation choc qui est relayée sur les réseaux sociaux par plusieurs sites alternatifs, ce qui lui donne un fort impact.

Pour Stephanie Seneff, le grand coupable serait le glyphosate, que l’on retrouve dans le Roundup. « Elle a noté que les effets secondaires de l’autisme ressemblent de près à ceux provoqués par la toxicité du glyphosate. Elle a montré des résultats indiquant une corrélation remarquablement cohérente entre l’utilisation de l’herbicide Roundup sur les cultures (et la création de Roundup-Ready pour les semences OGM) et le développement de l’autisme », expliquent les sites  Les moutons rebelles et Corolles info.

Ces affirmations de Stephanie Seneff méritent d’être prises avec recul. Pour faire le lien entre glyphosate et augmentation des cas d’autisme, l’Américaine s’appuie sur une corrélation. Mais une augmentation parallèle des deux courbes ne signifie pas que les deux phénomènes sont liés. Une corrélation ne vaut pas causalité, comme Stephanie Seneff le reconnaît elle-même.

Ces articles des Moutons rebelles et de Corolles info sont en réalité la traduction d’un article de 2014 publié sur le site américain The alliance for natural health.

Depuis, la scientifique a écrit elle-même qu’il n’est pas prouvé qu’il existe un lien entre l’exposition au glyphosate par l’alimentation et l’autisme. « Nous reconnaissons que nous n’avons pas encore prouvé que l’exposition à travers la nourriture et les boissons au glyphosate et aux herbicides formulés à base de glyphosate peut causer l’autisme chez les humains », écrit en 2016 la chercheuse dans la revue Journal of Autism. Les publications de cette revue scientifique sont relues par d’autres chercheurs. Cela demande donc plus de rigueur que des déclarations faites lors d’une simple conférence…

Stephanie Seneff a écrit cet article avec James E. Beecham, un médecin pathologiste à la retraite. Les pathologistes sont chargés d’analyser les résultats des biopsies et des frottis. Stephanie Seneff est elle docteur en informatique et en ingénierie électrique. Elle est rattachée au labo d’informatique et d’intelligence artificielle du Massachusetts Institute of Technology (MIT). En 1968, elle a décroché l’équivalent d’une licence en biophysique. Elle est avant tout informaticienne et nullement spécialiste de la santé en général, ni des troubles du spectre autistique en particulier

Un enfant américain sur 68 atteint de troubles du spectre autistique

Selon les autorités de santé américaines, les troubles du spectre autistique, dont les manifestations sont diverses; se retrouvent dans un enfant américain sur 68. « Il n’y a jamais eu autant de personnes diagnostiquées avec ces troubles, détaillent les Centres pour la prévention et le contrôle des maladies. Il est difficile de dire quelle part de cette augmentation est due à une plus large définition de ces troubles et quelle part est due à de meilleurs efforts pour établir des diagnostics. » L’agence américaine note que cette augmentation est « probablement due à un mélange de ces deux facteurs. » Elle ne mentionne pas le glyphosate…

Source 20 Minutes.

Démence: Les jeux vidéo réduiraient le risque chez les personnes âgées…

S’adonner à des exercices mentaux sur ordinateur réduirait le risque de démence de près de 30 %…

Les jeux vidéo réduiraient le risque chez les personnes âgées

Jouer pour ne pas devenir fou. La méthode est efficace selon une étude publiée ce jeudi dans la revue Alzheimer’s and Dementia : Translational Research and Clinical Interventions. Des personnes âgées ayant fait quelques heures d’exercices mentaux sur un ordinateur auraient ainsi réduit de près de 30 % en moyenne leur risque de démence.

Les résultats préliminaires de cette étude, qui a duré dix ans, avaient été dévoilés en juillet 2016 à la conférence internationale annuelle de l’Association d’Alzheimer à Toronto au Canada.

Des exercices pour doper la capacité de réaction et de mémorisation

Financés par les Instituts nationaux américains de la santé, les travaux ont été menés avec plus de 2.800 participants en bonne santé âgés de 74 ans au début de l’expérience. Une partie, choisie au hasard, a été soumise à ces exercices mentaux appelés « double décision ». Ils consistent à identifier rapidement des objets sur ordinateur. Ce test vise à doper la capacité de réaction et de mémorisation.

Les autres participants ont été répartis en trois groupes. Le premier a effectué des exercices classiques de mémorisation, le second des exercices de raisonnement et le troisième a servi de groupe témoin.

Une étude controversée

Les scientifiques ont évalué comment les participants effectuaient leurs différentes tâches quotidiennes en les interrogeant. « La pratique du jeu de réactions mentales a entraîné une réduction de 29 % du risque de démence pendant les dix ans de l’étude comparativement au groupe de contrôle », a résumé Jerri Edwards, chercheur à l’Université de Floride du sud, le principal auteur. Aucune différence n’a été constatée dans les deux autres groupes.

Cependant, cette étude est remise en cause par de nombreux spécialistes parmi lesquels le professeur de psychiatrie Rob Howard de l’University College de Londres. « Ces résultats indiquant une réduction apparente du risque de démence après avoir effectué seulement quelques heures d’entraînement à des exercices cognitifs, sont plutôt surprenants et devraient être jugés avec réserve, estime-t-il. Je trouve invraisemblable qu’une pratique aussi brève de ces exercices mentaux puisse avoir eu cet effet ».

Source 20 Minutes.

Glyphosate – L’article à lire pour comprendre le débat sur le glyphosate, la star des herbicides… !!!! Un scandale sanitaire ????

Glyphosate –  L’Union européenne doit bientôt donner son accord, ou non, au prolongement de l’autorisation du glyphosate, le principe actif du célèbre désherbant Roundup, pour dix ans.  Pourquoi le sujet est brûlant????

Roundup - glyphosate

Quel avenir pour le glyphosate ? Cette molécule controversée, substance active de nombreux herbicides, est au cœur d’un vif débat au sein de l’Union européenne. Les Etats membres doivent se prononcer, mercredi 25 octobre, sur le renouvellement ou non de l’autorisation du glyphosate pour dix ans. Preuve que le sujet est sensible : le vote a déjà été reporté quatre fois.

Cinquante-quatre députés de La République en marche (LREM) ont demandé, dimanche 22 octobre, l’interdiction « le plus rapidement possible » du glyphosate dans l’UE, au nom de « la santé de tous ». De son côté, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a proposé, lundi sur RTL, une réautorisation, mais pour trois ans seulement. Pour cerner les enjeux de ce débat, franceinfo fait le point sur cette substance.

Le glyphosate, c’est quoi au juste ?

Le glyphosate est un puissant herbicide. La molécule a été inventée dans les années 1970 par des scientifiques de la firme américaine Monsanto. L’entreprise l’a commercialisée à partir de 1974, notamment sous la marque Roundup.

Au début des années 2000, la molécule est tombée dans le domaine public, ce qui a permis à d’autres sociétés de s’en emparer. Devenue bon marché, elle est désormais utilisée partout dans le monde. Outre le Roundup, on retrouve donc le glyphosate dans plus de 750 produits commercialisés par plus de 90 fabricants, répartis dans une vingtaine de pays, ajoute Le MondeL’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, recense 178 références dont l’utilisation est autorisée en France.

Ça fonctionne comment ?

« Le glyphosate, ou glycine phosphonate, s’installe dans le système central des plantes pour les détruire de l’intérieur, explique Carmen Etcheverry, agronome pour France nature environnement, à franceinfo. C’est une molécule systémique non sélective. » En clair, le glyphosate ne choisit pas ses plantes. Il détruit tout. C’est d’ailleurs pour cela qu’une entreprise comme Monsanto commercialise également des semences résistances au glyphosate.

Mais pour être actif et pénétrer dans la plante, le glyphosate a besoin d’un coup de pouce. « Les préparations commercialisées les plus courantes l’associent à d’autres substances pour améliorer son efficacité, détaille le site de la Glyphosate Task Force, qui rassemble les industriels. On trouve ainsi des formulations dites solides, comme des granulés solubles dans l’eau, et des formulations liquides, comme les concentrés solubles. »….

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Source France TV.

Honteux – Scandaleux !!! Honte à l’agence Européenne ! – Un document interne de Monsanto établit un lien entre glyphosate et cancer… !

Monsanto – Un fichier PowerPoint interne à la firme Monsanto a été révélé par deux médias flamand et néerlandais. Il évoque un lien entre le glyphosate contenu dans le Roundup et le risque de cancer.

Un document interne au géant américain Monsanto, datant de 2008, a été révélé ce mardi 10 octobre par le magazine flamand Knack et le journal néerlandais OneWorld,

Ce fichier PowerPoint censé rester secret expose un lien entre le glyphosate que contient le Roundup et le cancer. On y lit notamment que « le Roundup influence une des phases cruciales de la division cellulaire ce qui pourrait à long terme mener au cancer« 

Le Roundup est le produit phare de l’entreprise agroalimentaire Monsanto. Le glyphosate est d’ailleurs la substance herbicide la plus utilisée au monde, et son usage est défendu par un certain nombre d’agriculteurs.

Le document cite notamment le nom du biologiste français Robert Bellé, qui assurait en 2002 dans le magazine Chemical Research in Toxicology que le Roundup pouvait endommager l’ADN des cellules.

En mars 2015, un groupe d’experts de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) ont conclu que le glyphosate contenu dans le Roundup était « probablement cancérigène » pour l’homme.

Cette conclusion, qui a fait grand bruit, n’a pas été suivie par l’Agence européenne de la sécurité alimentaire ni par l’Agence européenne des produits chimiques. L’Union européenne s’apprête à renouveler pour dix ans la licence du glyphosate. 

Source FR3.

Rennes – Cancer. Une voie d’espoir contre un cancer du cerveau …

Cancer – Des chercheurs rennais ont découvert un possible traitement contre un cancer agressif du cerveau. Ils espèrent lancer un essai thérapeutique à condition de trouver un financement.

On pourrait le qualifier de sacrée vacherie. Un cancer cérébral, le glioblastome qui, une fois le diagnostic établi, ne laisse qu’une espérance de vie de quelques mois. « Sa caractéristique est d’être hyper invasif et de se répandre rapidement dans le cerveau » explique Tony Avril, ingénieur biologiste au laboratoire Chimie, oncogenèse, stress et signalisation (Inserm/Université de Rennes 1) implanté au sein du centre de lutte contre le cancer Eugène Marquis de Rennes.

« Ce type de cancer ne peut pas être traité par la chirurgie ni par la radiothérapie ou la chimiothérapie. » Une cinquantaine de cas sont recensés en France chaque année. « Le problème, c’est qu’on le détecte, en général, à l’apparition des premiers symptômes. Mais il s’est déjà répandu dans le cerveau. »

Un travail titanesque

L’une des missions du laboratoire où travaille l’ingénieur biologiste est justement de comprendre comment les cellules cancéreuses se multiplient et quels mécanismes leur permettent de contaminer leur environnement et de se propager. « Si on arrive à mieux comprendre ses mécanismes, on peut essayer de trouver des moyens de bloquer cette prolifération ou de proposer de nouvelles approches thérapeutiques » précise Eric Chevet, directeur de recherche. Un travail titanesque mais aux promesses intéressantes dont les patients seront les premiers bénéficiaires.

C’est dans cette logique que Tony Avril a fait une découverte plus que prometteuse. « En collaboration avec la Mayo Clinics aux USA (une fédération de cliniques), nous avons démontré que la protéine CD90 est associée à cette forme très invasive de cancer cérébral. » Une protéine très connue qui joue le rôle d’un marqueur facilement identifiable. Comme une espionne au cœur du cancer qui permet de mieux appréhender son mode de prolifération.

« Nous avons réussi à démonter par des essais sur des souris, qu’une molécule déjà utilisée dans le traitement de certaines leucémies, le Dasatinib, parvient à bloquer la migration des cellules de glioblastome dépendantes de CD90 ». Non seulement bloquer sa prolifération mais aussi réduire dans des proportions importantes sa taille. « Ça ouvre la voie de nouveau à un traitement chirurgical ou par radiothérapie et chimiothérapie. On peut alors espérer prolonger l’espérance de vie des patients à une trentaine de mois. »

Des travaux qui ont été publiés dans la prestigieuse revue Cancer Clinical Research. « Nous voulons maintenant lancer un essai thérapeutique » espère Eric Chevet. À condition de trouver le financement et des partenaires prêts à prendre des risques. La lutte contre le cancer passe aussi par là !

Source OUEST FRANCE.

Gravissime ! Une entreprise sur deux touchée par l’illettrisme et tout le monde (ou presque) s’en fout.. !

Illettrisme – Un sondage inédit, réalisé par CSA Research pour le compte de la délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale, indique que ce phénomène touchant 1,5 million de personnes en emploi est sous-estimé et que les correctifs font défaut. Un scandale, surtout à l’ère de la révolution numérique.

Un scandale, une honte, un fléau… L’illettrisme, néologisme inventé en 1981 par ATD Quart-Monde pour qualifier les personnes qui ont été scolarisées en France mais n’ont pas une maîtrise suffisante de la lecture, de l’écriture et du calcul pour être autonomes dans la vie, est plus répandu qu’on ne le croit. Et ce, bien que l’illettrisme a été érigé en grande cause nationale en 2013. Les rares chiffres disponibles, qui remontent au début de la décennie et sont tirés de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme, permettent de simplement effleurer l’ampleur du phénomène: 7% des Français de 15 à 65 ans concernés, soit 2,5 millions de personnes dont 1,5 a un emploi; 10% dans l’agroalimentaire, 8% dans l’agriculture et l’industrie, 5% dans le commerce; 9% des hommes, 6% des femmes et 10% des chômeurs; 53% ont plus de 45 ans et 4% entre 18-25 ans; 90% ne vivent pas dans les quartiers ciblés par la politique de la ville mais en zone rurale…

Entreprises - Emploi - Illettrisme

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Source LE FIGARO.

La prise en charge du handicap est-elle la grande oubliée du débat présidentiel ?

La prise en charge du handicap est-elle la grande oubliée du débat présidentiel ?

Vivre décemment, chez soi, dans un logement adapté et en toute autonomie. C’est ce dont bénéficient une majorité de Français qui, sans rouler sur l’or, arrivent à tout le moins à cocher ces cases. Mais nombreux sont ceux qui n’y parviennent pas parmi les plus de 12 millions de personnes en situation de handicap vivant en France. Si les questions liées à une meilleure prise en charge du handicap concernent donc une personne sur cinq directement (sans compter les aidants familiaux), elles n’ont pas eu de visibilité dans le débat présidentiel.

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Source 20 MINUTES.

Droit du travail

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DEFINITION

Le droit du travail est un ensemble de règles régissant les rapports entre employeurs et salariés, c’est-à-dire la relation entre celui qui est bénéficiaire d’un travail et celui qui met sa force de travail physique et intellectuelle à sa disposition.

RÔLE DU DROIT DU TRAVAIL

Le droit du travail a pour vocation en principe de protéger une partie faible (le travailleur) contre une partie forte (l’employeur) sous la subordination duquel il se place. Son objectif est de rétablir, de corriger cette inégalité inhérente à la relation de travail. Cela concerne l’ensemble des salariés mais une protection renforcée est prévue pour certains salariés particulièrement vulnérables à l’arbitraire patronal : par exemple, les femmes enceintes, les travailleurs handicapés, les élus et mandatés dans l’entreprise, etc.

Le droit du travail organise les relations individuelles entre salariés et employeurs, c’est-à-dire tout ce qui a trait au contrat de travail (embauche, exécution, rupture du contrat), mais aussi les relations collectives du travail, c’est-à-dire les règles relatives à la négociation collective, les droits syndicaux et les institutions représentatives du personnel

Handicap Info a réalisé la rubrique DROIT DU TRAVAIL en prenant soin de vous apporter une information la plus complète possible.

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