Montélimar : Ils redonnent le sourire aux enfants hospitalisés le jour de Noël …

Le père Noël est passé à l’hôpital de Montélimar aujourd’hui. Les enfants ne s’attendaient pas à recevoir sa visite. BD, coloriages et peluches étaient dans sa hotte.

Le père Noël est passé à l'hôpital de Montélimar.

« Oh regarde, regarde« , hallucine Alice, 5 ans, quand elle voit arriver le père Noël dans sa chambre d’hôpital. Bouche bée, les yeux écarquillés, elle n’arrive même pas à le remercier quand il lui offre un cahier de coloriage et des feutres.

Elle souffre d’une bronchiolite et doit se reposer à l’hôpital, sa grand-mère, Marie-Claude, est soulagée que le père Noël soit venu, « elle était triste de savoir qu’elle ne ferait pas Noël, elle était très affaiblie mais d’avoir vu le père Noël, je crois que ça a accéléré sa guérison« . Marie-Claude est venue porter sa petite-fille en urgence à l’hôpital, tous les cadeaux sont donc restés à la maison.

C’est dur de voir ces enfants hospitalisés le jour de Noël

Derrière la barbe du père Noël, de l’émotion. « C’est dur de voir ces enfants hospitalisés le jour de Noël. Ils préféreraient être ailleurs. C’est notre rôle de venir le jour de Noël là où il y a un besoin« , confie Franck Kandil, le père Noël du service pédiatrie de Montélimar, le restant de l’année Franck Kadil est rhumatologue. Le maire de Montélimar Franck Reynier est venu remercier le Kiwanis Club, le service de pédiatrie, des urgences, post-urgences et la maternité.  - Radio France

Le maire de Montélimar, Franck Reynier, est venu ce mardi remercier le service de pédiatrie et le Kiwanis club qui s’occupe des enfants malades et handicapés. Le père Noël fait partie de ce club depuis 15 ans. Avec cinq autres membres, ils sont venus apporter des cadeaux aux enfants hospitalisés. Le maire a notamment remercié le service des urgences, post-urgences et la maternité.

Source FRANCE BLEU.

Cancer : certaines perruques seront bientôt entièrement remboursées…

À compter du mois d’avril 2019, le remboursement des perruques des patients sous chimiothérapie passera de 125 à 350 euros.

Cancer : certaines perruques seront bientôt entièrement remboursées

Les perruques, accessoires bien souvent indispensables en cas de chimiothérapie, seront bientôt mieux remboursées pour les patients atteints de cancer, a annoncé sur son site Rose Magazine. Pour l’heure, les prothèses capillaires sont prises en charge à hauteur de 125 euros par la Sécurité sociale, soit le prix d’entrée de gamme pour une perruque en cheveux synthétiques. À compter du mois d’avril 2019, le remboursement des perruques passera de 125 à 350 euros. Une victoire pour les malades, qui auront accès à des perruques qualitatives sans aucun «reste-à-charge».

Cette évolution dépasse les engagements du troisième Plan Cancer, qui prévoyait de doubler les montants des remboursements. Elle est l’aboutissement de plusieurs mois de discussions entre les représentants des ministères de la Santé et de l’Économie, des associations de patients telles que Rose-Up (qui produit Rose Magazine) et les fabricants de perruques. Au terme de la négociation, ces derniers se sont engagés à réduire le prix de leurs perruques de 400 à 350 euros, afin qu’il n’y ait plus de reste-à-charge pour les patients.

Les prothèses de plus de 700 euros pas remboursées

La nouvelle grille tarifaire de remboursement prévoit également que les perruques de classe 2 et celles intégrant des cheveux naturels, vendues jusqu’à 700 euros, soient prises en charge à hauteur de 250 euros. Par contre, les perruques de plus de 700 euros ne seront pas remboursées. Elles représentent actuellement une part du marché inférieure à 8%.

Un avis entérinant ces nouveautés sera publié dans le Journal Officiel dans le courant de la semaine prochaine. Le nouveau remboursement devrait être effectif le 1er avril 2019, selon Rose Magazine. «Nous apprécions vraiment la volonté de la Ministre et la célérité du Comité économique des produits de santé, qui ont permis de faire aboutir ces négociations en moins de six mois», explique Céline Lis-Raoux, journaliste à Rose Magazine et cofondatrice de l’association Rose-Up.

Et pour cause: jusqu’en juin dernier, les négociations étaient bloquées depuis plus de trois ans. «C’est une revendication que notre association Rose-Up porte depuis des mois et qui connaît, enfin, une issue favorable», conclut-elle.

Source LE FIGARO.

Les cures détox, vraiment utiles après les fêtes?…

Lors de sa dernière émission Toc Toc Docteur, Le Figaro est revenu sur l’intérêt de ces cures supposées débarrasser le corps de ses «toxines».

Les cures détox, vraiment utiles après les fêtes?

Après les fêtes de fin d’année, certains entendront sans doute parler par des personnes de leur entourage des bienfaits présumés des cures détox. Algues, queue de cerises, jus de fruits, ampoules dépuratives à base d’artichaut ou de radis noir, vitamines, tisanes, produits diurétiques «drainants»… Tous ces produits sont censés purifier notre corps de l’intérieur en expulsant les toxines, en décongestionnant le foie ou les reins. Mais que valent vraiment ces remèdes miracle?

En 2015, deux chercheurs australiens ont fait la synthèse de toutes les données scientifiques sur ce sujet, soit près de 100 études au total. Leur travail a été publié dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics. Et selon eux, il n’existe à l’heure actuelle pas d’étude rigoureuse sur les régimes détox. En effet, les rares qui ont été réalisées souffrent d’importantes limites. La majorité d’entre elles ont été effectuées sur des souris, sans groupe contrôle, avec divers biais dans la méthodologie. Quant à celles menées chez l’homme, elles reposent sur des questionnaires, et non sur des mesures biologiques.

Par ailleurs, aucune étude scientifique n’a exploré l’efficacité des régimes détox dans la perte de poids. En conclusion, les chercheurs écrivent «Il n’y a pas de doute que des habitudes saines durables présentent plus de bénéfices au long terme que les solutions rapides et éphémères qu’offrent les régimes détox commerciaux». En clair, nul besoin de prendre des produits détox pour aider le corps à se «détoxifier» après les fêtes.

Quelques conseils simples et réalisables à moindre coût peuvent toutefois être suivis. Après un repas copieux, il est recommandé de s’hydrater correctement. Eau, potages, bouillons et tisanes ne doivent pas être délaissés! Ensuite, il faut veiller à bouger. En effet, être debout aide à la digestion. Au contraire, il est déconseillé de s’allonger dans les trois heures suivant un important repas, afin de ne pas entraver l’action du tractus intestinal. Autre astuce: le bicarbonate de soude peut partiellement soulager les remontées acides.

Enfin, après un excès alimentaire, rien ne vaut un retour à la normale: des repas équilibrés en quantité raisonnable !

Source LE FIGARO.

Le département de l’Eure lance le livret individuel d’accompagnement…

Retrouver les coordonnées d’un médecin, connaître les dernières volontés de ses proches… Des informations souvent difficile à trouver lorsque l’on est aidant d’un parent malade.

Pour faciliter ces démarches, le département de l’Eure lance le livret individuel d’accompagnement.

Le département de l'Eure lance le livret individuel d'accompagnement. Il sera disponible en janvier 2019 / © Département de l'Eure

Un document pour les aidants

Tous ceux qui s’occupent d’un parent malade, en fin de vie ou qui ont malheureusement perdu un proche le savent: il est parfois compliqué de réunir toutes les informations nécessaires aux soins ou à une inhumation par exemple.
Il est souvent difficile pour les personnes âgées, malades de regrouper tous les papiers utiles et de tenir à jour son dossier médical.
Le Conseil départemental pour la citoyenneté et l’autonomie de l’Eure lancera donc en janvier prochain le livret individuel d’accompagnement.

Quelle est son utilité ?

Il permet de regrouper tous les renseignements personnels, modifiables et indispensables à l’aidant ou à toute personne chargée de régler des formalités en son nom.
Dans ce livret, les aidants pourront trouver tous les renseignements personnels et sur la vie quotidienne de leur proche, les prestations sociales dont il bénéficie mais aussi des informations médicales.
Le parent peut aussi informer de ses intentions sur les mesures de protections ainsi que ses volontés anticipées.

Comment se procurer le livret individuel d’accompagnement ?

  • en format papier au Conseil départemental de l’Eure (à l’Hôtel du Département à Évreux,
    14 boulevard Georges-Chauvin  ou dans les CLIC de Vernon, Bernay ou Évreux-La Madeleine);
  • à télécharger sur internet >  www.eure-en-ligne.frcivilemental

Source FR3.

Handicap : des prothèses gratuites pour courir….

Une association du Pas-de-Calais permet aux enfants amputés de pratiquer un sport. Elle a permis d’équiper une quarantaine d’enfants en deux ans.

Raphaël est né sans péroné. Pour pouvoir marcher normalement il a été amputé à neuf mois et pour mieux courir, c’est un athlète de haut niveau qui lui donne des conseils. C’est l’association Lames de Joie qui fournit gratuitement sa prothèse à Raphaël. Les prothèses de marche sont remboursées par la sécurité sociale, mais pas celles destinées au sport. Une lame coûte 2 500 euros et peut monter jusqu’à 10 000 euros accompagnée d’un genou sportif. L’association soulage donc les familles dans la prise en charge de ces dispositifs.

40 enfants ont bénéficié de lames gratuites

Les lames de course sont fabriquées en fibre de carbone, un matériau léger et résistant. En sport, Raphaël pratique les mêmes activités que ses camarades et rien ne le rebute. En fonction de sa croissance, la prothèse de l’enfant sera prêtée à une autre personne. Depuis deux ans, 40 enfants ont déjà été appareillés. En 2019, une centaine intégreront le programme de Lame de Joie.

Découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source FR3.

Longwy : comprendre la réalité du handicap à travers le sport…

Durant une matinée, une soixantaine d’élèves de seconde du lycée Darche, à Longwy, ont pu se mettre dans la peau des personnes handicapées.

Ils ont découvert différentes disciplines du handisport.

Fabrice Redin (à gauche) a enseigné les rudiments du handibasket à une soixantaine d’élèves de seconde ASSP (Accompagnement, soins et services à la personne) au lycée Darche, à Longwy.  Photo RL

En fauteuil roulant, les élèves se passent la balle et tentent d’avancer jusqu’au panier. Les mouvements sont hésitants mais il faut dire que pour la plupart d’entre eux, c’est une première. Aucun de ces lycéens n’est réellement handicapé. Ils participent seulement à une matinée de sensibilisation à travers le handisport. L’initiative vient de leur prof d’EPS, Christiane Zasadzinski, à qui ce projet tient à cœur. « Cela fait cinq ans qu’il existe. Chaque année, on organise plusieurs manifestations avec l’Association sportive du lycée Darche. »

Créer du lien social

Lundi, ce sont deux classes de seconde du lycée professionnel longovicien qui ont découvert le quotidien des handicapés. « Les jeunes suivent un cursus ASSP (Accompagnement, soins et services à la personne). Ça fait partie de leur formation et ça nous permet de changer leur regard sur le handicap. » Pour des élèves qui seront sans doute confrontés plus tard à des personnes en situation de handicap, la matinée a un intérêt pédagogique. Mais le but premier est avant tout de pousser valides et handicapés à se rencontrer et à interagir ensemble. Intitulé « Si la différence ne rencontrait pas l’indifférence », le projet est là pour créer un lien social à travers le sport.

« Il y a de l’appréhension »

Durant la matinée, cinq ateliers attendaient les lycéens. Sarbacane, curling, volley-ball assis et handibasket leur ont permis de se mettre dans la peau de personnes handicapées. « Ils étaient très motivés et à l’écoute », souligne Fabrice Redin. Basketteur handisport à l’US Jarny, c’est lui qui leur a appris le maniement du fauteuil roulant. « Il y avait une bonne cohésion, c’est à refaire ! »

Une fois les fauteuils rangés, un petit débat a conclu la matinée et a permis de répondre aux interrogations des élèves sur le handicap. « Il y a de l’appréhension par rapport à celui-ci. Ça peut être difficile de se mettre à la place de la personne en fauteuil. Le sport permet de mieux comprendre leur situation et leur quotidien », précise Christiane Zasadzinski. Elle compte bien continuer ces rencontres. Le prochain rendez-vous permettra à des élèves de première de s’initier au goalball, une discipline réservée aux déficients visuels.

Source LE REPUBLICAIN LORRAIN.

Un Mosellan a offert le fauteuil de son épouse décédée à une Lunévilloise qui s’était fait voler le sien…

François Erb a donné le fauteuil de son épouse disparue à Valérie Lescasse, privée d’autonomie pendant deux mois suite au vol du sien.

Un Mosellan a offert le fauteuil de son épouse décédée à une Lunévilloise qui s’était fait voler le sien

« C’est grâce à l’article paru dans le journal que nous sommes là », confie François Erb, appuyé sur sa canne, tout juste sorti de la voiture conduite par son ami Armand Schweitzer. Les deux hommes sont arrivés ce jeudi matin d’Illange (Moselle) après une heure trente de route sous une pluie battante. Ils ont stoppé au 5 rue du château. Dans le coffre du véhicule : un fauteuil roulant électrique, des roues de rechange, une batterie et un chargeur.

Après avoir déchargé l’ensemble, Armand Schweitzer le transporte jusqu’à l’appartement de Valérie Lescasse, avec le renfort de l’aide à domicile de la jeune femme. Dans la pénombre de l’entrée, les deux Mosellans l’aperçoivent un sourire aux lèvres, assise dans un fauteuil classique. Tous se retrouvent dans le petit salon où François Erb offre alors de manière officielle le fauteuil à Valérie Lescasse. « Voilà un beau cadeau de Noël », s’exclame le groupe.

La Lunévilloise s’était fait voler le sien en octobre dernier au moment de partir pour un rendez-vous médical lorsqu’elle résidait encore rue Chanzy. « Merci Monsieur, après deux mois, je vais enfin retrouver de l’autonomie », dit-elle soulagée. François Erb place la batterie puis invite Valérie Lescasse à s’asseoir dedans. L’assise manque un peu de largeur et il faudra changer la manette de pilotage de côté. « Je suis droitière », glisse-t-elle avant d’effectuer un petit test avant arrière.

En dépannage seulement

« Le fauteuil appartenait à l’épouse de François décédée en avril dernier. Il est en parfait état », explique Armand Schweitzer. « Autant qu’il profite à quelqu’un. De plus, ce don entre dans le cadre de notre action Illange dans la lumière de Noël », poursuit celui qui préside cette association (association illangeoise contre les nuisances industrielles).

« Je remercie encore ces messieurs, j’apprécie beaucoup leur geste », assure Valérie Lescasse. Toutefois, ce fauteuil ne pourra servir que de dépannage en attendant un nouveau plus adapté à sa morphologie. Elle pourrait l’obtenir en février : « Equiper celui-ci reviendrait aussi cher que d’en avoir un neuf ». Une fois le nouvel équipement arrivé, la jeune femme sera prête à rendre le fauteuil offert ou à le donner à l’APF (Association des paralysés de France).

Source OUEST REPUBLICAIN.

 

Le risque d’infarctus augmente le soir du réveillon de Noël, avec un pic à 22 heures…

Une étude suédoise a mis en évidence une explosion de 37 % des cas d’infarctus au moment de Noël…

Le risque d'infarctus augmenterait à Noël notamment à cause des excès liés à l'alcool ou l'alimentation.

Bonne année, et surtout bonne santé. La période des fêtes serait mauvaise pour notre cœur, à en croire les conclusions peu réjouissantes d’une étude suédoise publiée le 12 décembre dans le British Medical Journal et relayée ce mercredi par Le Figaro.

Selon les chercheurs des universités de Stockholm, Uppsala, Lund et Orebro, le risque d’infarctus du myocarde, ou « crise cardiaque », augmenterait le jour de Noël de 37 %. On noterait même un « pic » d’infarctus dans la soirée, aux alentours de 22 heures.

Deux pics d’infarctus à Noël et Nouvel an

Pour parvenir à cet inquiétant résultat, les scientifiques ont épluché la base de données nationale SwedeHeart, qui recense les dossiers médicaux de 283.000 patients admis à l’hôpital pour un infarctus du myocarde entre 1998 et 2013.

En étudiant ces données, les chercheurs ont mis en évidence une augmentation générale de 15 % des accidents cardiaques au moment des fêtes de Noël et du Nouvel an. Ils ont identifié deux pics d’infarctus, le 24 décembre donc (+37 %) mais aussi le 1er janvier (+20 %).

Le stress de la période des fêtes

Plusieurs hypothèses seraient susceptibles d’expliquer ce phénomène. A commencer par le stress, bien présent en cette période mouvementée de l’année. Les scientifiques pointent également du doigt les excès liés « à l’alcool ou l’alimentation » et « à l’exposition aux températures froides et au manque de sommeil ».

Enfin, ils recommandent une vigilance toute particulière envers les personnes âgées. « L’association d’un risque accru à Noël est plus prononcée pour les personnes âgées de plus de 75 ans, celles qui ont un diabète connu ou une maladie coronarienne », concluent-ils.

Des signaux d’alerte parfois discrets

L’infarctus du myocarde fait chaque année près de 18.000 victimes en France, selon l’Inserm. Il se manifeste par des signes typiques, comme une douleur aiguë dans la poitrine qui peut irradier vers le bras gauche, la mâchoire ou le dos. On peut également observer un malaise, des nausées accompagnées ou non de vertiges.

Rappelons enfin que les symptômes de la crise cardiaque sont plus discrets chez la femme. Selon la Fédération Française de cardiologie, près de la moitié des femmes victimes d’un infarctus n’ont pas eu les symptômes classiques annonciateurs de la pathologie. Homme ou femme, au moindre doute, n’hésitez pas à contacter le 15.

Source 20 Minutes.

Les mutuelles s’engagent à ne pas augmenter leurs tarifs en 2019…

POUVOIR D’ACHAT Les mutuelles ont également proposé d’accélérer la réforme de la santé portée par la ministre Agnès Buzyn…

Les mutuelles s'engagent à ne pas augmenter leurs tarifs en 2019

Face à la crise sociale et à la pression du gouvernement, les complémentaires santé ont annoncé qu’il n’y aura d’augmentation de leurs tarifs en 2019.

« Les complémentaires santé adhérentes à la Fédération Française de l’Assurance ont décidé de marquer leur solidarité envers leurs assurés dans le contexte d’urgence économique et sociale », a annoncé la fédération dans un communiqué. Un engagement « à titre exceptionnel », précise les assureurs. « Il ne sera procédé à aucune augmentation de tarif liée à la réforme du « 100 % santé » pour l’année 2019. Les acteurs qui auraient anticipé une telle évolution s’engagent à la corriger », indique le communiqué.

Accélérer la réforme du « reste à charge zéro »

Même engagement pour la Mutualité française. « Les complémentaires santé contraindront leurs frais de gestion dès 2019 : il ne sera procédé à aucune augmentation de taux à ce titre pour l’an prochain. » Les mutuelles prévoient également d’accélérer la mise en place de la réforme du reste à charge zéro en 2019.

Les complémentaires santé (assureurs et mutuelles) avaient été reçues mardi par Emmanuel Macron, qui les a priées de geler leurs tarifs en 2019 et leur a donné 48 heures pour faire des propositions en ce sens. A l’issue de la réunion, elles avaient seulement accepté de s’abstenir d’augmentations liées au « reste à charge zéro » pour des soins dentaires, optique et auditifs.

Le président de la Mutualité française, Thierry Beaudet, déplore dans le communiqué des « critiques excessives » envers les mutuelles, récusant le terme de « sabotage politique » utilisé la semaine dernière par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Cette dernière avait accusé certaines mutuelles de « saboter » sa réforme sur le « reste à charge zéro ». Elle avait rappelé mardi aux complémentaires santé leurs « engagements », en particulier celui de ne pas utiliser cette réforme pour justifier des hausses de prix.

Source France Bleu.

Alerte – Noël: 75% des produits vendus en ligne représentent un danger pour la santé…

La Direction générale de la concurrence alerte sur 46 objets qu’elle a achetés et analysés en laboratoire…

Noël: 75% des produits vendus en ligne représentent un danger pour la santé. Photo d'illustration

Quatre produits de Noël sur dix vendus sur Internet présentent un danger pour les consommateurs. C’est le résultat d’une enquête de la Direction générale de la concurrence (DGCCRF) publiée ce jeudi.

La DGCCRF a acheté 46 objets en tant que « client mystère » sur sept plateformes de vente en ligne (Amazon, Cdiscount, Ebay, Fnac, Rakuten-Priceminister, AliExpress et Wish) et les a passés au peigne fin. Résultat : 75 % étaient « non conformes » et 39 % présentaient un danger réel.

Le gouvernement appelle à la vigilance

De la substance cancérogène dans une oie en caoutchouc aux phtalates présents dans une licorne gonflable, les risques sanitaires sont multiples. Face à ce constat, la DGCCRF a indiqué sur son site, dans la rubrique « rappels de produits », la liste des produits dangereux pour la santé. Cette dernière sera actualisée lorsque d’autres analyses auront été menées.

L’instance a par ailleurs demandé aux plateformes concernées de retirer « le plus rapidement possible les annonces de produits dangereux ». Elle les incite à travailler « avec les vendeurs à l’étranger pour opérer les rappels des produits déjà vendus » et à respecter le code de conduite édicté par la Commission européenne sur la sécurité des produits non alimentaires vendus en ligne.

Dans le même temps, le secrétaire d’Etat chargé du Numérique Mounir Mahjoubi a appelé les consommateurs à « la plus grande vigilance ». « Un prix excessivement attractif doit être vu comme un signal d’alerte, qui justifie une attention particulière avant d’acheter », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Source 20 Minutes.