Alzheimer – La maladie d’Alzheimer pourrait bientôt être dépistée avant les premiers symptômes… !

Une équipe de chercheurs français est parvenue à découvrir sur des souris, les signes précoces de la maladie d’Alzheimer.

Alzheimer : pourrait bientôt être dépistée avant les premiers symptômes....

C’est une avancée considérable pour la recherche. Des chercheurs français sont parvenus à découvrir sur des souris, les signes précoces de la maladie d’Alzheimer. Une découverte qui pourrait révolutionner le traitement de la maladie chez l’homme, en la dépistant 10 ans avant que n’apparaissent les premiers symptômes. L’équipe de recherche est parvenue à analyser les caractéristiques biologiques de la maladie. Une avancée technologique permise par cinq ans d’études menées par les chercheurs de l’INSERM des universités Paris Sud, Paris Descartes, mais aussi du CNRS et du Commissariat à l’énergie atomique (CEA).

Aujourd’hui, le seul diagnostic de la maladie, c’est bien souvent celui de la famille, qui remarque des troubles de la mémoire, de l’humeur de leur proche. 900.000 personnes sont touchées par Alzheimer, en France. Grâce à cette avancée, et à la découverte de ces caractéristiques biologiques chez la souris, les chercheurs espèrent dans quelques années être en mesure de détecter la maladie dans sa phase précoce, chez l’homme, dix ans avant les premiers symptômes.

Il pourrait suffire d’une simple prise de sang à l’âge de 45 ou 50 ans. Un espoir pour les chercheurs, celui de pouvoir créer le traitement qui pourrait empêcher la maladie de progresser avant même l’apparition des premiers symptômes.

Source RTL.

Des physiciens de Rennes 1 ont percé le mystère de la dyslexie….

Physiciens à l’université de Rennes 1, Albert Le Floch et Guy Ropars ont découvert le secret de la dyslexie ou plutôt pourquoi des gens sont dyslexiques.

Leur étude est publiée mercredi, dans la prestigieuse revue de référence The Royal Society. Et si vous êtes dyslexiques, c’est d’abord une question de symétrie trop parfaite de vos taches de Maxwell qui se trouvent dans vos yeux. Explications.

C’est un trouble qui touche près de 10% de la population mondiale soit près de 700 millions de personnes: la dyslexie. Une de ses principales conséquences étant des difficultés à la lecture et à l’écriture (voir encadré ci dessous).

Deux physiciens de l’université de Rennes 1, Albert Le Floch et Guy Ropars, viennent de faire une découverte qui permet de mieux comprendre pourquoi des personnes sont dyslexiques et par conséquent de trouver de nouvelles voies pour les aider. Leur étude est publiée ce mercredi dans la prestigieuse revue scientifique The Royal Society.

« Dans chaque œil, nous avons ce que l’on appelle une tache de Maxwell, du nom d’un célèbre physicien du XIXe siècle » explique Albert Le Floch. Une tache qui a la particularité de ne pas laisser la lumière bleue. « Chez les gens non dyslexiques, ces taches ne sont pas les mêmes. Celle de l’œil directeur est parfaitement circulaire tandis que l’autre a plutôt une forme de patate diffuse. »

Une petite différence qui est loin d’être négligeable. « Si par exemple vous regardez la lettre « b », votre œil directeur va parfaitement l’imprimer dans une partie de votre cerveau tandis qu’une image inversée fantôme, donc un « d », sera stockée dans une autre partie. Mais le cerveau ne tiendra pas compte de cette lettre fantôme. »

Vers de nouveaux traitements

Sauf que les deux physiciens ont réussi à prouver que les dyslexiques ont, quant à eux, deux taches de Maxwell identiques et parfaitement symétriques. « Ils n’ont donc pas d’œil droit ou gauche directeur et l’image fantôme de la lettre ne va pas s’effacer. » Le cerveau ne sait plus donc quelle lettre sélectionner.

Ils ont mené leur étude sur deux cohortes. L’une sur 30 étudiants dyslexiques et l’autre sur 30 étudiants non dyslexiques. A chaque fois, les résultats sont conformes à leurs observations.

« Nous avons compris ce mécanisme et également mis au point un système de lampe de lecture qui permet de corriger cette anomalie. Nous espérons que ça pourra déboucher sur de nouvelles approches de traitement de la dyslexie. »

La dyslexie, qu’est ce que c’est ?

Définition de la fédération française des DYS: Il s’agit d’une altération spécifique et  significative de la lecture (dyslexie) et/ou de la production d’écrit et de l’orthographe (dysorthographie).

Ces troubles  apparaissent dès les premiers moments de l’apprentissage sous la forme d’une difficulté à maîtriser le stade dit alphabétique de l’apprentissage de la lecture.

Au stade suivant, le trouble se manifeste par une incapacité à mémoriser la forme visuelle des mots et à les reconnaître globalement (stade orthographique). Ceci entraîne une lecture généralement hésitante, ralentie, émaillée d’erreurs qui a pourtant exigé beaucoup d’efforts. L’orthographe, qui normalement se développe au fur et à mesure que s’automatise la reconnaissance globale des mots, est touchée.

La déficience liée à la dyslexie est d’intensité variable selon les individus. Elle peut être accompagnée de troubles du calcul, de la coordination motrice (et en particulier du graphisme) ou de troubles d’attention, avec ou sans hyperactivité.

Comment déterminer quel est votre oeil directeur?

Une petite expérience pratique et facile à réaliser expliquée en vidéo par le physicien Guy Ropars.

Plus d’information, découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source OUEST FRANCE.

Initiative – Loir et Cher – Les usages numériques pour les personnes âgées…

Des accès à développer... Les usages numériques : Le Conseil départemental du Loir-et-Cher a lancé cette année un appel à projet destiné à promouvoir les actions favorisant les accès numériques des personnes âgées de 60 ans et plus.

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Le but de cet appel était de recueillir des candidatures de projets à la recherche d’un financement durant l’année en cours. La clôture de la réception des dossiers était fixée au 15 septembre 2017. La loi concernant l’adaptation de la société au vieillissement, datée du 28 décembre 2015, prévoit dans chaque département «  […] une Conférence des financeurs de la prévention de la perte d’autonomie des personnes âgées […]. Cette initiative est destinée à établir un diagnostic concernant les personnes âgées de 60 ans et plus, afin de recenser les initiatives locales menées dans chaque département, pour établir un programme coordonné des actions de prévention, menées individuellement ou collectivement.

Ce programme est basé sur quatre thèmes centraux : le vieillissement et la fragilité, l’isolement, le logement et la santé. Pour répondre à ces problématiques, l’un des objectifs attendus et de prévenir la perte d’autonomie en facilitant l’accès des séniors vivant à domicile aux divers usages numériques. Cette action vise principalement à maintenir leur lien social et à lutter contre un risque possible d’isolement.

Les projets retenus sont ceux qui favorisent l’usage des divers outils numériques, adaptés aux personnes âgées (smartphones, ordinateurs, tablettes). Cette pratique peut notamment s’acquérir dans des ateliers d’apprentissage, qui peuvent alors être financés. Les échanges entre générations sont également encouragés, afin de mélanger les savoirs, par exemple au sein d’associations ou d’établissements scolaires.

L’objectif de créer des ateliers numériques, permettant une familiarisation avec l’usage d’Internet, est recherché, afin d’entretenir les liens avec les proches et de faciliter l’accès aux soins et aux activités culturelles.

Les projets mis en place devront cibler en priorité les régions où l’offre numérique est actuellement fragile (Beauce, Perche et Sologne).

L’aide financière fournit par le département s’effectuera sous forme de subvention. Son montant pourra atteindre la totalité du coût total d’un projet retenu. Le budget alloué par le Conseil départemental du Loir-et-Cher à cet appel à projet a été fixé à 200.000 euros.

Source Bulletin des Communes.

La RATP conseille les personnes en situation de handicap…

Depuis 2004, la RATP a entamé une action pédagogique favorable aux personnes en situation de handicap qui utilisent ses services.

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Afin d’aider ces personnes lors de leurs déplacements dans les transports en commun, la Régie Autonome des Transports Parisiens s’efforce de faciliter leur mobilité, surtout lorsqu’elles se déplacent seules. Ainsi, la Régie met à leur disposition des fiches pratiques, aisément utilisables, dans un but citoyen. Elles concernent toutes les personnes porteuses d’un handicap moteur, sensoriel ou psychique. Ces outils pédagogiques simples visent à améliorer l’autonomie de tous les publics, parfois amenés à voyager sans la présence d’une personne aidante. L’objectif des informations données est aussi de sensibiliser chacun aux difficultés fréquemment rencontrées par les personnes handicapées, en rappelant des règles de courtoisie élémentaire, facilitant l’autonomie de ces personnes, confrontées fréquemment à des obstacles.

Ces outils pédagogiques présentent des conseils pratiques, classés en fonction des différents types de handicaps. Ils utilisent divers supports : fiches pratiques imprimées ou numériques, à consulter dans les transports ou en ligne, ainsi que des petits films, à regarder seul ou en groupe, notamment dans les établissements médico-sociaux, sensibles à l’amélioration de la mobilité dans les transports assurés par la RATP.

Actuellement, la Régie propose quatre 4 vidéos différentes, adaptées à des situations handicapantes classiques, dont une, « Je prends le bus », destinée plus particulièrement aux personnes âgées. Ce film court rappelle les règles basiques de courtoisie à adopter par les voyageurs, et montre le rôle utile que peuvent jouer les conducteurs dans l’accueil des voyageurs âgés, ou lorsqu’ils sont confrontés à des personnes se déplaçant en fauteuil roulant.

Cette vidéo montre que les personnes valides peuvent faciliter l’usage des transports en appliquant des principes simples, comme celui de laisser libre les espaces réservés aux voyageurs en fauteuil. Il suffit en effet de les laisser monter dans le bus, et de ne pas les gêner quand ils utilisent la rampe d’accès, pour entrer ou sortir. Une autre vidéo, « Je prends le RER », est destinée aux personnes handicapées qui utilisent cet autre moyen de transport spécifique en fauteuil roulant. Un autre film, « Je prends le métro », s’adresse plus spécifiquement aux personnes en situation de handicap mental.

Ces divers outils pédagogiques ont été élaborés en collaboration avec différents organismes, comme l’Association Française des Aidants et la Compagnie des Aidants. Ils mettent en scène, outre la Régie Autonome des Transports Parisiens, d’autres acteurs sociaux importants, comme le service INFOMOBI, la société de transport FlexCité, ou l’association Les Compagnons du Voyage, qui met à disposition des aidants pour les personnes fragilisées ayant besoin de se déplacer.

Source Le Bulletin des Communes.

Santé : des pictogrammes sur les médicaments pour avertir les femmes enceintes…

À partir de ce mardi 17 octobre, de nouveaux pictogrammes ont fait leur apparition sur les boîtes de médicaments. Ils sont censés avertir les femmes enceintes sur les produits qui pourraient mettre leur grossesse en danger. 60% des médicaments sont concernés.

pictogrammes sur les médicaments pour avertir les femmes enceintes

Avant, en cas de grossesse, pour connaître les effets secondaires ou les dangers d’un médicament, il fallait lire la notice. Aujourd’hui, dès l’emballage, les indications seront présentes. Si ces logos font leur apparition, c’est en partie grâce à Marine Martin, une mère de famille dont les deux enfants sont victimes de la Dépakine, un antiépileptique pris pendant ses grossesses.

Difficile pour les futures mamans de se soigner

Ne plus consommer sans savoir. Pour alerter les femmes enceintes, deux pictogrammes : un pour les médicaments interdits, un autre pour les médicaments dangereux. En effet, pendant la grossesse, il n’est pas toujours évident de savoir comment se soigner. Des logos présents sur les médicaments délivrés sur ordonnance contre la dépression, l’hypertension, le cholestérol, mais pas seulement. Les pictogrammes apparaîtront aussi sur les médicaments en vente libre. Au total, 60% des médicaments seront siglés.

Grossesse : des pictogrammes sur les boîtes de médicaments dangereux

Des pictogrammes représentant une femme enceinte seront désormais apposés sur les boîtes des médicaments dont la prise comporte des risques pendant la grossesse. Le but : offrir « une meilleure visibilité de l’information relative à ces risques déjà signalée dans la notice du médicament« , a souligné la DGS.

Ce pictogramme est constitué d’un triangle rouge sur fond blanc d’au moins un centimètre de côté dans lequel se trouve une femme enceinte en noir. À sa droite ou en dessous, figure le libellé : « [NOM DE LA SPECIALITÉ] + GROSSESSE = DANGER », accompagné du message suivant : « Ne pas utiliser chez [mentionner les personnes concernées] sauf en l’absence d’alternative thérapeutique ».

Un second modèle de pictogramme est proposé pour les produits strictement interdits aux femmes enceintes ou aux femmes en âge de procréer qui ne recourent pas à une contraception. Il s’agira d’un rond rouge barré, sur fond blanc, « d’au moins un centimètre de diamètre » dans lequel se trouve une femme enceinte en noir. À sa droite ou en dessous, figurera le libellé « [NOM DE LA SPECIALITE] + GROSSESSE = INTERDIT », accompagné de la mention « Ne pas utiliser chez [mentionner les personnes concernées] ».

Ne pas arrêter ses traitements sans avis médical !

Cette mesure concernera « une large part de la pharmacopée » pour rappeler que « l’utilisation de médicaments pendant la grossesse n’est pas banale et nécessite l’avis d’un professionnel« , selon la DGS. Environ trois médicaments sur cinq comporteront un pictogramme grossesse, dont un tiers le pictogramme « interdit » et deux tiers le pictogramme « danger ».

Les femmes qui prennent ces médicaments ne doivent « en aucun cas » arrêter les traitements ou modifier les doses prescrites sans avis médical (médecin, sage-femme, pharmacien…), même après la découverte d’une grossesse, rappelle la DGS.

L’association d’aide aux parents d’enfants souffrant du syndrome de l’anticonvulsivant (Apesac) qui réclamait l’apposition de tels pictogrammes sur les médicaments contenant du valproate, nocifs pour les foetus et auxquels des dizaines de milliers de femmes ont été exposées depuis les années 60.

Source France Info TV.

Santé – « Près de 40% des malades du cancer devraient bénéficier d’un traitement antidouleur »…

Traitement antidouleur – Dans son livre blanc, la Société Française d’Etude et de Traitement de la Douleur (SFETD) s’alarme de l’insuffisance de la prise en charge de la douleur en France.

Douze millions de Français souffrent de douleurs chroniques. Pourtant, 70% d’entre eux ne reçoivent pas un traitement approprié. Les explications du président de la SFETD, le Pr Serge Perrot, spécialiste de la douleur à l’hôpital Cochin – Hôtel Dieu à Paris.

  • Pourquoi la douleur n’est-elle pas bien prise en charge par les médecins ?

Pr S. Perrot : « La douleur reste un symptôme, une maladie qui n’est pas encore suffisamment prise en charge pour plusieurs raisons. D’abord, parce qu’elle n’est pas reconnue. La douleur est une expérience invisible donc il faut se plaindre. Il faut que les médecins et les professionnels du soin l’entendent. Ensuite, il faut l’évaluer. Enfin, il faut la traiter et on a peu de traitements. Les médicaments ne sont pas toujours efficaces. Les approches non médicamenteuses ne sont pas toujours disponibles. »

  • Pourquoi les médecins sont-ils encore réticents à utiliser des médicaments morphiniques pour traiter les douleurs liées au cancer ?

Pr S. Perrot : « Dans la douleur des cancers, on estime qu’il y a encore près de 40% des patients qui devraient bénéficier d’un traitement par la morphine et qui n’ont pas accès à ces traitements. Je pense que c’est d’abord un manque de temps. Les cancérologues sont débordés. C’est aussi un manque de connaissances. Prescrire de la morphine est compliqué en terme d’efficacité, de suivi des effets indésirables. Souvent, on préfère ne pas en donner parce qu’on serait embêté par les effets indésirables, pour éviter le suivi. Il y a une vraie carence dans ce domaine. »

  • Au-delà du bien-être du patient, la prise en charge de la douleur est aussi un enjeu économique. Quelles sont les conséquences sur notre système de santé ?

Pr S. Perrot : « La douleur chronique coûte très cher. Quand vous avez mal, vous avez un défaut de productivité, un plus fort d’absentéisme… Il y a aussi du présentéisme, c’est-à-dire que vous allez au travail mais vous n’êtes pas capable de faire tout ce que vous devriez faire. Ça coûte très cher. On estime qu’il y a environ 80 millions de journées perdues à cause de la lombalgie par exemple. La migraine, la fibromyalgie c’est pareil. Toutes les maladies douloureuses représentent un coût énorme. Prendre en charge la douleur permettrait de faire des économies en terme de santé publique et de productivité. »

  • Comment améliorer l’enseignement du traitement de la douleur aux futurs médecins ?

Pr S. Perrot : « On milite pour qu’il y ait des professeurs de médecine de la douleur. La douleur est une vraie spécialité, avec un corpus scientifique, avec des connaissances précises. À l’heure actuelle, il n’y a que 20 heures d’enseignement dédié non seulement à la douleur mais aussi aux soins palliatifs en six ans d’études de médecine. C’est vraiment trop peu pour un problème qui touche près de 80% de la population. »

Source France Info TV.

Emploi Handicap – Job pour tous : créer du lien entre candidats et employeurs locaux du 6 au 17 novembre…

Job pour Tous – L’association Hanploi CED, premier acteur à avoir lancé un site de recrutement dédié aux personnes en situation de handicap dès 2005, a de nouveau souhaité se saisir de la question du numérique.

En partenariat avec le réseau national des Cap emploi, elle lance le salon virtuel Job pour tous, à l’occasion de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées (SEEPH).

 

Job pour tous : créer du lien entre candidats et employeurs locaux

 

Du 6 au 17 novembre, dix jours pour être recruté(e) près de chez vous

« Développé en région, l’atout phare de ce salon de recrutement virtuel est de permettre à chaque candidat de se positionner sur les offres des employeurs locaux de sa région ou de son département. Avec Job pour tous, nous souhaitons affirmer notre volonté de créer le lien entre les employeurs locaux handi-engagés et les candidats en situation de handicap de leur département, dans le but de dynamiser l’emploi dans chaque région de France », indique Franck Seurin, son directeur général.

Une réponse complémentaire aux besoins des employeurs et des candidats

Grâce au soutien de l’Agefiph, du FIPHFP, de l’OETH ainsi que d’entreprises handi-engagées, Hanploi CED offre la possibilité aux entreprises de déposer gratuitement leurs offres sur Job pour tous.

Une démarche inédite qui permettra au candidat de :

– découvrir les entreprises de sa région souhaitant recruter des travailleurs en situation de handicap,

– postuler à des offres d’emploi de tous secteurs d’activité (CDI, CDD, intérim, stage, contrat en alternance) et de tous niveaux de qualification,

– mener des entretiens en ligne (téléphone, visio ou chat) avec les employeurs,

– bénéficier, s’il le souhaite, d’une solution de matching lui permettant d’évaluer sa compatibilité aux offres avant de postuler.

Le candidat garde la main sur ses résultats, lui indiquant, via une jauge, si son profil est en phase avec le projet de l’entreprise et son organisation. Ainsi, son “score” ne sera visualisable par le recruteur qu’avec son accord.

Cette solution est un atout supplémentaire pour optimiser la rencontre entre le candidat et le recruteur au-delà du CV.

Plus d’information, vous inscrire dès maintenant, découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source Faire Face.

Paris – Transport adapté : uberAccess fait son entrée sur le marché…

Vous connaissez les uberX et autres uberPOOL ? Voici un nouveau venu dans la galaxie : uberACCESS, lancé ce mardi 17 octobre. Comme son nom l’indique, son rôle sera de permettre le transport adapté de personnes en situation de handicap.

Uberaccess

Un espace réservé au fauteuil roulant et quatre places assises. La flotte de vingt-cinq véhicules adaptés d’Uber sillonnent Paris et la proche banlieue depuis ce matin. La célèbre entreprise de transport à la demande a lancé ce nouveau service, uberACCESS, en partenariat avec la société de transport adapté JLI.  Présent sur l’application comme toutes les autres prestations, le service propose des courses au prix de celles en uberX, les trajets individuels classiques.

Des chauffeurs volontaires et formés

Les chauffeurs ont été choisis, assure-t-on au service communication, parmi les mieux notés et tous sont volontaires. Ils ont reçu une formation d’une journée dispensée par JLI. Leur a été notamment enseignée l’aide à la personne pour descendre du trottoir ou y monter, pour s’installer dans le véhicule si transfert il y a, etc.

Mais tout cela prend du temps. Comment garantir aux chauffeurs une rentabilité sur de telles courses ? Uber répond qu’elle « investit pour faire de ce projet un service attractif pour les chauffeurs et bénéfique pour les passagers qui en ont besoin ». Hors de question pour la société de communiquer le moindre chiffre sur un dédommagement des chauffeurs accompagnateurs. Il s’agira, dit-on, de leur « assurer une rentabilité similaire à celle observée sur les autres services ».

Un service à tester et commenter

Uber, qui propose déjà ce service à Londres depuis mai 2016, du moins tant que la suspension de sa licence d’exploitation fait l’objet d’un appel, souhaite avoir des retours d’utilisateurs afin de développer et modifier le dispositif. A suivre…..

Source FAIRE FACE.

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Source URSSAF.