La chambre régionale des comptes de Bretagne publie un rapport d’observations sur la gestion 2014-2018 de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) du Finistère, à Quimper.
Cette dernière aurait une organisation « dépassée » et mériterait de gagner en autonomie.
Placée sous « la tutelle administrative et financière » du département, la MDPH du Finistère employait, en 2017, 84,6 agents équivalents temps plein. La structure accuse un déficit récurrent, jusqu’à présent absorbé grâce un excédent historique.
Un appel à « évoluer en profondeur »
La chambre régionale des comptes estime que « malgré la mobilisation du personnel, les conditions d’examen des dossiers par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) ne sont pas satisfaisantes. […] ». La MDPH du Finistère emploierait « une forte mobilisation humaine pour de nombreuses décisions souvent simples […] », et appelle l’organisme à « évoluer en profondeur » ainsi qu’à mettre en œuvre la réponse accompagnée pour tous (RAPT). À ce jour, la MDPH du Finistère traite dans ce cadre « une trentaine de dossiers par an, alors que plusieurs centaines en relèveraient. »
Par ailleurs, la chambre régionale souligne que l’autonomie de l’organisme « mériterait d’être renforcée afin d’augmenter sa réactivité. »
La chambre régionale des comptes de Bretagne publie un rapport d’observations sur la gestion 2014-2018 de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) du Finistère, à Quimper, qui traite les demandes des personnes en situation de handicap.
Placée sous « la tutelle administrative et financière » du département, la MDPH du Finistère employait, en 2017, 84,6 agents équivalents temps plein. La structure accuse un déficit récurrent, jusqu’à présent absorbé grâce un excédent historique.
Un appel à « évoluer en profondeur »
La chambre régionale des comptes estime que « malgré la mobilisation du personnel, les conditions d’examen des dossiers par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) ne sont pas satisfaisantes. […] ». La MDPH du Finistère emploierait « une forte mobilisation humaine pour de nombreuses décisions souvent simples […] », et appelle l’organisme à « évoluer en profondeur » ainsi qu’à mettre en œuvre la réponse accompagnée pour tous (RAPT). À ce jour, la MDPH du Finistère traite dans ce cadre « une trentaine de dossiers par an, alors que plusieurs centaines en relèveraient. »
Par ailleurs, la chambre régionale souligne que l’autonomie de l’organisme « mériterait d’être renforcée afin d’augmenter sa réactivité. »
Source OUEST FRANCE.