Glyphosate – L’article à lire pour comprendre le débat sur le glyphosate, la star des herbicides… !!!! Un scandale sanitaire ????

Glyphosate –  L’Union européenne doit bientôt donner son accord, ou non, au prolongement de l’autorisation du glyphosate, le principe actif du célèbre désherbant Roundup, pour dix ans.  Pourquoi le sujet est brûlant????

Roundup - glyphosate

Quel avenir pour le glyphosate ? Cette molécule controversée, substance active de nombreux herbicides, est au cœur d’un vif débat au sein de l’Union européenne. Les Etats membres doivent se prononcer, mercredi 25 octobre, sur le renouvellement ou non de l’autorisation du glyphosate pour dix ans. Preuve que le sujet est sensible : le vote a déjà été reporté quatre fois.

Cinquante-quatre députés de La République en marche (LREM) ont demandé, dimanche 22 octobre, l’interdiction « le plus rapidement possible » du glyphosate dans l’UE, au nom de « la santé de tous ». De son côté, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a proposé, lundi sur RTL, une réautorisation, mais pour trois ans seulement. Pour cerner les enjeux de ce débat, franceinfo fait le point sur cette substance.

Le glyphosate, c’est quoi au juste ?

Le glyphosate est un puissant herbicide. La molécule a été inventée dans les années 1970 par des scientifiques de la firme américaine Monsanto. L’entreprise l’a commercialisée à partir de 1974, notamment sous la marque Roundup.

Au début des années 2000, la molécule est tombée dans le domaine public, ce qui a permis à d’autres sociétés de s’en emparer. Devenue bon marché, elle est désormais utilisée partout dans le monde. Outre le Roundup, on retrouve donc le glyphosate dans plus de 750 produits commercialisés par plus de 90 fabricants, répartis dans une vingtaine de pays, ajoute Le MondeL’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, recense 178 références dont l’utilisation est autorisée en France.

Ça fonctionne comment ?

« Le glyphosate, ou glycine phosphonate, s’installe dans le système central des plantes pour les détruire de l’intérieur, explique Carmen Etcheverry, agronome pour France nature environnement, à franceinfo. C’est une molécule systémique non sélective. » En clair, le glyphosate ne choisit pas ses plantes. Il détruit tout. C’est d’ailleurs pour cela qu’une entreprise comme Monsanto commercialise également des semences résistances au glyphosate.

Mais pour être actif et pénétrer dans la plante, le glyphosate a besoin d’un coup de pouce. « Les préparations commercialisées les plus courantes l’associent à d’autres substances pour améliorer son efficacité, détaille le site de la Glyphosate Task Force, qui rassemble les industriels. On trouve ainsi des formulations dites solides, comme des granulés solubles dans l’eau, et des formulations liquides, comme les concentrés solubles. »….

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Source France TV.

Cancer de l’ovaire: un scandale français…

Dans de nombreux pays, la chirurgie du cancer de l’ovaire a été réservée à des centres spécialisés. Pas en France, aux dépens des malades. Agnès Buzyn veut y remédier. Il était temps.

Agnès Buzyn - chirurgie du cancer de l'ovaire.

Le sujet est passé presque inaperçu dimanche lors de l’intervention d’Agnès Buzyn devant le grand jury RTL-Le Monde. Pourtant, l’air de rien, c’est une petite bombe qu’a lâchée la ministre de la Santé. Interrogée sur l’opportunité de fermer certains services de chirurgie, elle a rappelé que « quand on ne fait pas beaucoup certains actes chirurgicaux, on les fait mal ».

Elle a notamment cité le cas de la chirurgie du cancer de l’ovaire: « Une activité qui devrait être soumise à un seuil », a-t-elle précisé. Une formule technocratique pour dire, en clair, qu’il faudrait interdire à certains services hospitaliers trop peu actifs dans ce domaine de continuer à prendre en charge des patientes.

Des chances de survie gravement compromises

Il était temps qu’un ministre de la Santé se saisisse enfin de ce dossier. Car la situation de la France en la matière est aujourd’hui scandaleuse, pour ce type de cancer mais aussi pour d’autres, comme L’Express le révélait déjà voilà un peu plus d’un an.

Or, depuis, rien n’a changé: selon les derniers chiffres disponibles, la majorité des 6000 patientes opérées l’an dernier d’une tumeur à l’ovaire l’ont encore été dans des centres trop peu spécialisés. Le problème? Il est très simple: cela compromet gravement leurs chances de survie. Dramatique, d’autant que ce constat est connu des autorités sanitaires et des experts médicaux depuis plus de dix ans, mais que les réformes nécessaires pour y remédier n’ont – jusqu’ici en tout cas – jamais été faites…

62% des patientes opérées dans des centres non spécialisés…

Une réglementation trop laxiste et peu respectée…

En France, le sujet est sur la table depuis longtemps. Depuis 2007, un volume minimal d’opération doit être réalisé pour qu’un établissement puisse maintenir certaines spécialités. Mais cette réforme avait été très difficile à faire passer auprès du corps médical et les autorités de l’époque avaient renoncé à être trop restrictives. « En gynécologie par exemple, ce plancher est de 20 opérations par an, mais cela regroupe plusieurs interventions très différentes: cancer de l’ovaire, mais aussi de l’utérus, des trompes, de l’endomètre, etc. » regrette un expert. Un dispositif qui ne permet donc pas de garantir la qualité des soins. Sans compter que ces seuils, déjà larges, ne sont même pas toujours respectés.

Il faudrait donc aller plus loin. « En instaurant un plancher à 10 opérations minimum, on passerait déjà de 568 établissements à 116. Mécaniquement, l’activité augmenterait dans ces structures. Ce serait déjà une première amélioration », plaide Jacques Meurette.

En réalité, l’Inca et la direction générale de l’offre de soins du ministère de la Santé planchent déjà sur ce sujet depuis plusieurs mois, avec pour objectif d’aboutir au plus tard pour 2019. Et pour cause: la question avait été inscrite dans le dernier plan cancer 2014-2019. Mais les résistances sont fortes, car les enjeux pour les chirurgiens comme pour les directions des hôpitaux concernés sont importants.

« Pour qu’une telle réforme puisse réussir, il faudra aussi que le tarif payé par la Sécurité sociale aux établissements ou aux chirurgiens soit réévalué, car cet acte, long et coûteux, est aujourd’hui trop peu valorisé. Et il faudra prendre garde à ne pas augmenter les délais d’accès au traitement, très délétères dans cette pathologie », avertit pour sa part Bertrand de Rochambeau, le président du syndicat des gynécologues et des obstétriciens de France. Une chose est sûre: une volonté politique forte sera nécessaire pour faire aboutir cette réforme.

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Source L’EXPRESS.

Cancer – La lettre bouleversante d’une maman aux infirmiers de sa fille malade …

Shelby Skiles a appris en mai dernier que sa petite Sophie, âgée d’à peine deux ans, était atteinte d’un lymphome.

La lettre bouleversante d’une maman aux infirmiers de sa fille malade

Cette maman texane, touchée par le travail et le dévouement des membres du personnel médical, leur a adressé une lettre bouleversante qu’elle a postée sur Facebook.

L’hommage est poignant. Une maman américaine a remercié, dans une longue lettre postée sur Facebook le 3 octobre dernier, les infirmiers qui se sont occupés de sa petite fille atteinte d’un cancer.

Après avoir fait un arrêt respiratoire, la fillette avait été admise au centre médical pour enfants de Dallas, au Texas. C’est là que les médecins ont découvert une tumeur importante dans sa poitrine. Pendant quatre longs mois, la petite Sophie a subi de lourds traitements. Sa maman a voulu remercier le personnel soignant pour son courage et son abnégation.

« Vous sauvez nos bébés »

« Chers infirmiers et aides-soignants… Je vous vois. Je suis assise sur ce canapé toute la journée et je vous vois. Vous essayez tellement de ne pas vous faire remarquer par moi ou par ma fille. Je vois votre embarras quand elle vous voit et qu’elle pleure. Vous essayez de tellement de façons d’apaiser ses peurs et de gagner sa confiance… »

C’est par ces mots que commence le message de Shelby Skiles. Au cours des quatre mois pendant lesquels sa petite Sophie s’est battue contre le cancer qui la rongeait, elle estime qu’elle a rencontré entre 200 et 250 infirmiers et aides-soignants.

« Vous mettez de côté ce qui se passe dans votre vie pour vous occuper d’enfants gravement malades, ou parfois mourants… Vous appelez le médecin, la banque du sang, la pharmacie, autant de fois qu’il est nécessaire pour que ma fille reçoive à temps ce dont elle a besoin. Vous vérifiez si je vais bien autant de fois que vous vérifiez si elle va bien… Je vous vois. Nous tous, nous vous voyons… Vous sauvez nos bébés et nous ne pourrions le faire sans vous. Avec tout mon amour ».

Un message partagé 27 000 fois

C’est au cours de l’une de ses innombrables nuits sans sommeil que Shelby Skiles a listé tout ce qui l’avait touchée. Sa publication a déjà été partagée près de 27 000 fois sur Facebook. Elle explique que l’épreuve traversée par sa fille lui a « révélé l’immense responsabilité qui repose sur ces infirmiers… ».

Aujourd’hui, la petite Sophie n’est pas encore totalement sortie d’affaire mais après plusieurs chimiothérapies, « elle est quasiment débarrassée de son cancer ». Elle doit désormais bénéficier d’une greffe de cellules-souches.

Source OUEST FRANCE.

Anticancéreux : la nouveauté ne fait pas la qualité…

Anticancéreux – La majorité des nouveaux médicaments contre le cancer n’apporte que des bénéfices mineurs par rapport à ce qui est déjà prescrit.

Anticancéreux

Lorsqu’un nouveau médicament est commercialisé, la logique voudrait qu’il fonctionne mieux que le précédent. Pourtant, c’est loin d’être le cas pour la plupart des anticancéreux autorisés entre 2009 et 2013, selon une étude parue dans la revue British Medical Journal .

«Nos résultats suggèrent qu’il est extrêmement rare que les nouveaux médicaments contre le cancer soient efficaces sur les deux aspects les plus importants pour les patients: l’amélioration de leur survie et de leur qualité de vie», concluent les auteurs de l’étude, publiée le 4 octobre.

Ils ont constatés qu’au moment du feu vert de l’Agence Européenne des médicaments (EMA) – qui délivre les AMM (autorisation de mise sur le marché) – seuls 29 des 68 nouveaux traitements (soit 43%) apportaient la preuve significative d’une amélioration par rapport aux médicaments utilisés jusque-là, concernant la durée de vie ou la qualité de vie des patients. Après quelques années d’utilisation (trois à huit ans en fonction des produits), six autres traitements se sont finalement révélés utiles dans ces deux domaines, portant à 35 le nombre de produits efficaces (51% des traitements).

L’Agence européenne peu rigoureuse?

Contactée par Le Figaro, l’EMA, qui dit avoir «pris connaissance de l’étude», se défend en soulignant que les évaluations des médicaments contre le cancer «tiennent compte d’un large éventail de mesures, dont la survie et l’amélioration de la qualité de vie. Mais elles incluent également la survie sans progression (c’est-à-dire la période durant laquelle le cancer ne s’aggrave pas), le taux de réponse (par exemple le rétrécissement de la taille d’une tumeur) et enfin, la durée de la réponse.»

Et c’est bien cela le problème dans l’évaluation de l’EMA, selon Pr Christophe Le Tourneau, responsable des essais cliniques précoces et de la médecine de précision à l’Institut Curie. «En théorie, les seuls critères pertinents sont l’amélioration de la qualité et de la durée de vie», explique-t-il. Les chercheurs britanniques concluent d’ailleurs que leurs résultats devraient amener l’Agence européenne des médicaments à «revoir ses critères d’approbation des traitements anticancéreux.»

«C’est vrai que les autorités sanitaires peuvent manquer de rigueur dans leurs évaluations, et que certains médicaments ne devraient pas être autorisés car ils ne sont pas très efficaces», confirme le Dr Frédéric Pinguet, président de la Société française de pharmacie oncologique.

Des études difficiles

«Cependant, ce n’est pas toujours aussi simple», tempère le Pr Christophe Le Tourneau. En effet, lorsqu’un médicament est suspecté de fonctionner lors d’essais cliniques, il est ensuite donné, pour des raisons éthiques, à tous les malades qui ont participé à l’essai, «ce qui rend l’évaluation de l’amélioration de la survie difficile.»

De plus, «des médicaments qui ajoutent des années de vie à des patients cela n’arrive pas tous les jours», souligne Christophe Le Tourneau, prenant l’exemple du trastuzumab, qui a révolutionné le traitement du cancer du sein. Le Dr Pinguet rappelle que des médicaments, qui ont «au premier abord des résultats modestes», peuvent, en combinaison avec d’autres traitements, améliorer significativement la vie des patients.

«Pour les médicaments qui ne font gagner que quelques semaines de survie en moyenne, il y a souvent certains patients qui en réalité en gagnent beaucoup plus au milieu d’une majorité qui n’en bénéficient pas du tout», renchérit le Pr Christophe Le Tourneau, «La question est de savoir où il faut mettre le curseur.».

Source LE FIGARO.

Cancer – La Corse en retard dans le dépistage du cancer du sein…

Cancer –  En ce mois d’ »Octobre rose », l’ARCODECA, le centre régional de dépistages des cancers lance une nouvelle campagne de sensibilisation auprès des femmes de 50 à 74 ans. La région Corse est toujours en retard pour le dépistage des cancers du sein.

Le cancer du sein constitue la principale cause de mortalité par cancer chez les femmes. 52.000 femmes sont concernées par un cancer du sein en France et 12.000 en meurent, rappelle Franck Le Duff, directeur de l’ARCODECA, le centre régional de coordination des dépistages des cancers en Corse.

En Corse, le dépistage est encore loin d’être un réflexe. On n’a pas de bons résultats, on est à un peu plus de 37%, la moyenne nationale est à 45% et certaines régions font plus de 60%. Et pourtant, un cancer pris tôt est guéri dans la majorité des cas.

« Il y a une raison liée aux patientes elles-mêmes qui ne comprennent pas l’intérêt du dépistage, l’intérêt d’aller chercher la maladie très tôt pour être mieux soignée et pouvoir en guérir, explique Franck Le Duff. Il y a aussi des patientes qui ont peur de faire une mammographie parce que cela peut faire mal. »

L’un des objectifs de l’ARCODECA est d’augmenter la participation aux « dépistages organisés » pour les femmes entre 50 et 74 ans. C’est à cet âge qu’elles ont le plus de risques de développer un cancer du sein et que le dépistage est le plus efficace.

Un dépistage organisé propose un examen gratuit et une double lecture ce qui permet de faire relire les images par un autre radiologue et de récupérer des cas de cancers qui seraient passés inaperçus à la première lecture.

Une femme sur huit va être confrontée à un cancer dans sa vie. Il y a 300 nouveaux cas de cancer du sein chaque année en Corse…

Source FR3.

Corse – La Marie Do s’engage pour la recherche contre le cancer chez l’enfant…

Cancer – A travers activités sportives, jeux et conférences, l’association déjà très active aux côtés des malades et de leur familles, organisait ce dimanche une journée d’information et de collecte de fonds à destination de la recherche contre les cancers pédiatriques .

L’immortelle adoucit les hématomes, et à travers cette ballade-découverte du site de la Parata et de son patrimoine végétal, c’est aussi la journée des petits malades et de leur famille qui s’adoucit un peu. « Ca nous fait du bien d’être accompagnés dans cette épreuve » témoigne la maman d’un enfant atteint d’un cancer.

Association créée en 2007 à la mémoire de Marie-Dominique Versini, emportée à 35 ans par un mélanome, la Marie Do oeuvre depuis à soutenir les malades et leurs familles et à informer sur la maladie.

Et l’association s’engage désormais aussi en faveur de la recherche sur les cancers pédiatriques. Elle accompagne financièrement à hauteur de 60 000 euros sur 3 ans le centre de recherche en oncologie de l’hôpital la Timone à Marseille.

En France chaque année les cancers pédiatriques touchent 2500 enfants, et 500 d’entre eux n’y survivent pas.

Dépistage du cancer du sein : un nouveau livret pour s’informer et décider…

Ce nouveau livret conçu par l’Institut National du Cancer revient sur plusieurs points essentiels concernant les cancers du sein et leurs facteurs de risque : l’âge, le mode de vie et les antécédents médicaux.

Dans le cadre de la modernisation du programme de dépistage organisé et de la proposition d’un suivi personnalisé pour toutes les femmes, l’Institut national du cancer (INCA) publie un nouveau livret d’information qui répond aux principales interrogations liées au cancer du sein. Le document prend soin d’expliquer les principaux facteurs de risque.

En effet, le premier facteur de risque est l’âge : près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. « Certains traitements hormonaux de la ménopause, une puberté précoce, une ménopause tardive, l’âge de la première grossesse et la durée d’allaitement peuvent également avoir une influence sur l’apparition d’un cancer du sein », explique le document.

La consommation d’alcool et de tabac, le surpoids ainsi que le manque d’activité physique sont également des facteurs de risque. Ainsi, des études de référence attribuent 17% des cancers du sein à la consommation d’alcool régulière, même modérée.

Les antécédents médicaux personnels ou familiaux sont également à prendre en compte. Les femmes qui ont déjà été touchées par un cancer du sein, des ovaires ou de l’endomètre, qui ont développé certaines affections du sein ou dont un parent a développé un cancer, ont plus de risques de développer un cancer du sein.

L’ensemble des éléments d’information et des questions, liés au programme de dépistage sont exposés dans le document : la temporalité ; la fiabilité du dispositif national ; les risques de ce dépistage, les risques de surdiagnostics ; les cancers radio-induits et les risques à ne pas réaliser le dépistage.

Enfin, d’ici la fin de l’année 2017, un nouvel outil web personnalisé sera mis en ligne sur le site de l’INCA comme outil supplémentaire d’information sur les cancers du sein et le programme de dépistage.

Zika, arme potentielle contre le cancer du cerveau …

Le virus du Zika, qui peut avoir des effets dévastateurs sur le développement des tissus cérébraux du foetus, pourrait devenir une arme contre le glioblastome, un cancer agressif du cerveau, révèle une étude publiée mardi.

Cette tumeur cérébrale la plus fréquente, qui frappe environ 12.000 personnes par an aux Etats-Unis et qui a été récemment identifiée chez le sénateur républicain John McCain, est fatale pour la plupart des malades dans les deux ans suivant le diagnostic.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont les traitements classiques après, quand cela est possible, une ablation chirurgicale de la tumeur.

« Nous avons montré que le virus du Zika pouvait détruire les cellules du qui sont résistantes aux thérapies actuelles et rendent ce cancer aussi agressif », explique le Dr Michael Diamond, professeur de médecine à l’université Washington à St. Louis (Missouri).

Pour cette étude dont les conclusions sont publiées dans le Journal of Experimental Medicine, les chercheurs ont injecté le Zika ou un placebo d’eau salée dans les tumeurs du cerveau induites de 33 souris.

Deux semaines plus tard, les tumeurs étaient nettement réduites dans le groupe de rongeurs traités avec le virus par rapport à ceux ayant reçu le placebo. Et ces souris ont également survécu nettement plus longtemps que celles du groupe témoin, ont ajouté les chercheurs…

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Source LE FIGARO.

La FDA approuve une thérapie génique révolutionnaire pour le cancer…

Une thérapie révolutionnaire du cancer qui utilise des cellules immunitaires génétiquement modifiées a été approuvée par la Food and Drug Administration des États-Unis, inaugurant une nouvelle ère de traitement contre le cancer.

Le traitement, appelé thérapie CAR-T Kymriah, sera vendu par Novartis pour 475 000 $. Mais comme l’écrit Emily Mullin du MIT Technology Review, il existe de grands risques dans ce type de traitements à haut risque.

La thérapie est conçue pour traiter un type souvent létale de cancer du sang et de la moelle osseuse – leucémie aiguë lymphoblastique – qui affecte les enfants et les jeunes adultes.

« Nous entrons dans une nouvelle ère en matière d’innovation médicale avec la possibilité de reprogrammer les cellules propres d’un patient pour attaquer un cancer mortel, a déclaré le commissaire de la FDA Scott Gottlieb dans un communiqué.

La thérapie est un traitement personnalisé qui utilise les cellules T d’un patient, un type de cellule immunitaire….

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Source https://iatranshumanisme.com