Nîmes: Licenciée après avoir dénoncé des actes de violence dans une maison de retraite…

SOCIETE Une agent avait été licenciée après avoir dénoncé des actes de violence sur une patiente atteinte d’Alzheimer. Elle attaque son ancien employeur aux Prud’hommes…

Nîmes dénonciation maltraitance EHPAD

Elle avait été licenciée pour faute grave quelques jours après avoir dénoncé des faits de violence dans une maison de retraite de Nîmes. Une ancienne agent des services hospitaliers attaque ce mardi ses anciens employeurs devant le conseil des Prud’hommes, pour licenciement abusif.

L’auteur présumé des coups condamnée en première instance

Cette mère de trois enfants, âgée de 37 ans, avait alerté sa direction après avoir surpris une aide-soignante en train de frapper une patiente atteinte d’Alzheimer. Placée en garde à vue, l’auteure présumée des coups a été condamnée en première instance à trois mois de prison avec sursis et deux ans d’interdiction d’exercer pour violences sur des personnes âgées et coups et blessures aggravés, par le tribunal correctionnel de Nîmes. Elle a fait appel de cette condamnation.

L’agent qui a dénoncé ces violences explique à France Bleu Gard Lozère avoir subi de multiples pressions au sein de l’établissement avant son licenciement. La maison de retraite de L’Olivier, à Nîmes, a, depuis, changé de direction.

Source 20 Minutes.

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