Un appel au don de moelle osseuse pour Tom, 17 ans, atteint d’une maladie auto-immune…

Lycéen à Bordeaux, Tom a découvert fin 2020 qu’il était atteint d’une aplasie médullaire idiopathique. Le jeune homme veut sensibiliser au don de moelle, dont dépend sa survie.

Un don du sang. Photo d’illustration.

 

Tom, jeune bordelais de 17 ans, souffre d’une maladie auto-immune, appelée aplasie médullaire idiopathique. Cette maladie l’empêche de produire suffisamment de globules et de plaquettes. Seule solution pour guérir : le don de moelle osseuse, avec une chance sur un million de trouver un donneur compatible. Dans les pages de Sud Ouest , Tom et ses proches racontent son histoire et appellent au don partout en France.

Dans la région, une chaîne de solidarité s’est mobilisée pour le jeune homme, depuis le diagnostic de sa maladie le 3 novembre dernier : deux lycées bordelais ont lancé un appel aux dons et des flyers ont été diffusés dans 28 000 cabinets d’orthophonie en France. Grâce aux réseaux sociaux, le message a aussi été partagé jusqu’à Lille, en Angleterre et même en Australie.

Une chance sur un million de trouver un donneur

« Aujourd’hui, le seul traitement qui pourrait me guérir est la greffe de moelle osseuse », explique Tom. Dans un cas sur quatre, le don peut venir de la fratrie, mais son frère et sa sœur ont passé des tests et ne sont pas compatibles. « Mes parents ont dépassé l’âge. Je sais que j’ai une chance sur un million de trouver un donateur, c’est la règle. Certains jours je flanche, d’autres j’ai de l’espoir… », raconte le lycéen, fan de ciné, à Sud Ouest.

La moelle osseuse, trop souvent confondue avec la moelle épinière située dans la colonne vertébrale, se trouve dans les os longs et les os plats. Elle permet d’accéder à des cellules qui donnent naissance aux cellules du sang : les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.

12 000 donneurs inscrits en France

Pour faire un don, il faut remplir certaines conditions : être en parfaite santé, avoir entre 18 et 35 ans lors de l’inscription, passer un entretien médical spécifique pour faire le point sur ses antécédents médicaux et son mode de vie et s’engager à rester joignable en cas de compatibilité avec un receveur, rappelle le site de l’Établissement français du sang (EFS).

Tom, jeune bordelais de 17 ans, souffre d’une maladie auto-immune, appelée aplasie médullaire idiopathique. Cette maladie l’empêche de produire suffisamment de globules et de plaquettes. Seule solution pour guérir : le don de moelle osseuse, avec une chance sur un million de trouver un donneur compatible. Dans les pages de Sud Ouest , Tom et ses proches racontent son histoire et appellent au don partout en France.

Dans la région, une chaîne de solidarité s’est mobilisée pour le jeune homme, depuis le diagnostic de sa maladie le 3 novembre dernier : deux lycées bordelais ont lancé un appel aux dons et des flyers ont été diffusés dans 28 000 cabinets d’orthophonie en France. Grâce aux réseaux sociaux, le message a aussi été partagé jusqu’à Lille, en Angleterre et même en Australie.

Une chance sur un million de trouver un donneur

« Aujourd’hui, le seul traitement qui pourrait me guérir est la greffe de moelle osseuse », explique Tom. Dans un cas sur quatre, le don peut venir de la fratrie, mais son frère et sa sœur ont passé des tests et ne sont pas compatibles. « Mes parents ont dépassé l’âge. Je sais que j’ai une chance sur un million de trouver un donateur, c’est la règle. Certains jours je flanche, d’autres j’ai de l’espoir… », raconte le lycéen, fan de ciné, à Sud Ouest.

La moelle osseuse, trop souvent confondue avec la moelle épinière située dans la colonne vertébrale, se trouve dans les os longs et les os plats. Elle permet d’accéder à des cellules qui donnent naissance aux cellules du sang : les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.

12 000 donneurs inscrits en France

Pour faire un don, il faut remplir certaines conditions : être en parfaite santé, avoir entre 18 et 35 ans lors de l’inscription, passer un entretien médical spécifique pour faire le point sur ses antécédents médicaux et son mode de vie et s’engager à rester joignable en cas de compatibilité avec un receveur, rappelle le site de l’Établissement français du sang (EFS).

Pour Tom, ce diagnostic est aussi l’occasion de sensibiliser à ce geste solidaire. « J’ai découvert à cause de ma maladie, ce qu’était la moelle osseuse et aussi, j’aimerais profiter de ce qui m’arrive, au-delà de moi, pour promouvoir le don, en parler, en faire parler… », a expliqué Tom. En France, seuls 12 000 donneurs s’inscrivent chaque année au fichier national, contre 200 000 en Allemagne.

Source OUEST FRANCE.

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