Travailleurs handicapés : la Cour des comptes épingle « l’utilité » des deux organismes d’insertion…

Dans un rapport, les Sages de la Cour des comptes estiment que l’Agefiph et le FIPHFP ne sont pas gérés de manière optimale.

 

« Gestion coûteuse », « complexe », absence de priorités : la Cour des comptes étrille lundi le fonctionnement des deux organismes d’insertion professionnelle pour les personnes handicapées, recommandant au gouvernement de « recentrer » les priorités et de s’interroger sur leur utilité.

« Impasse financière ». La gestion de l’Agefiph (fonds d’insertion pour le secteur privé) et du FIPHFP (fonds pour la fonction publique) est « coûteuse et mal maîtrisée » et ces deux organismes se trouvent dans une « impasse financière », indique la Cour dans un référé rendu public lundi, adressé au mois d’octobre au gouvernement. Ces deux organismes assurent pour leur secteur la collecte des pénalités des entreprises ne respectant pas l’obligation de 6% de travailleurs handicapés et mettent en oeuvre la politique d’insertion professionnelle des personnes handicapées.

Les besoins en insertion restent élevés. Lors du Comité interministériel du handicap, en septembre, le gouvernement avait annoncé une réflexion « sur la pertinence de ce dispositif ». Car plus les entreprises embauchent de personnes handicapées, plus les réserves des deux fonds s’amenuisent, alors que les besoins en insertion restent élevés.

Les fonds remis en question. Pour la Cour, il ne faut pas « limiter la réflexion engagée à un simple changement de modèle de financement de nature à garantir leur pérennité », mais il « convient de s’interroger également sur l’utilité même de ces fonds et sur le bien-fondé des principes qui sous-tendent leur action ».  Le référé pointe « la faible valeur ajoutée » de ces organismes, qui interviennent essentiellement comme « de simples financeurs », et regrette l’absence depuis 2011 d’une convention d’objectifs passée entre l’État et l’Agefiph.

Source EUROPE 1.

Cancer : Le travail de nuit est associé à 11 types de tumeurs chez la femme…

Les femmes travaillant de nuit ont 19 % de risques supplémentaires d’être victimes d’un cancer…

 

Cancer: Le travail de nuit est associé à 11 types de tumeurs chez la femme

Une étude publiée dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention classe le travail de nuit comme un facteur de risque du cancer chez la femme et recommande examens médicaux et dépistages réguliers.

Quatre millions de femmes

L’analyse s’appuie sur 61 études internationales portant sur près de 4 millions de femmes vivant en Europe, aux États-Unis, en Australie et en Asie ayant travaillé de nuit sur le long terme. Elles présentent au total 19 % de risques supplémentaires d’être touchées par un cancer que celles ayant des horaires de travail traditionnels.

Et ces risques portent précisément sur 11 types de cancer. Dans le détail, les scientifiques ont constaté un accroissement du risque de 41 % s’agissant des cancers de la peau, 32 % pour les tumeurs du sein et 18 % des cancers digestifs.

Les infirmières particulièrement touchées

Pour chaque tranche de cinq ans travaillée de nuit, le risque de cancer du sein augmenterait de 3,3 %. Parmi toutes les professions étudiées, les infirmières sont les plus touchées : un risque aggravé de 58 % pour le cancer du sein, 35 % pour celui du système digestif (estomac, œsophage, foie, pancréas, côlon rectum) et 28 % pour le poumon.

Selon les auteurs de l’étude, ces chiffres peuvent s’expliquer par la dureté du travail de nuit, mais aussi parce que ces femmes sont plus souvent soumises à des examens de dépistage. Et de conclure que le travail de nuit doit bien être considéré comme un facteur de risque du cancer chez la femme et conseille des examens plus fréquents.

Travailleurs handicapés : désignation des nouveaux organismes de placement spécialisés…

Le gouvernement a annoncé, fin décembre, la liste des organismes de placement spécialisés (OPS) pour l’insertion et le maintien dans l’emploi des travailleurs en situation de handicap.

Suite à l’appel à projets lancé le 1er septembre 2017, le ministère du Travail vient de publier la liste des organismes de placement spécialisés (OPS). Ces nouveaux organismes sont entrés en fonction le mardi 2 janvier 2018 pour accompagner l’insertion et le maintien dans l’emploi des travailleurs en situation de handicap.

C’est la loi Handicap du 11 février 2005 qui reconnaît aux OPS une mission de service public dans le champ de l’insertion professionnelle des personnes handicapées en milieu ordinaire (article L. 5214-3-1 du Code du travail). L’article 101 de la loi du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, modifiant l’article précité du Code du travail, élargit la mission des OPS au maintien dans l’emploi, à compter du 1er janvier 2018. Cette disposition vise à sécuriser les parcours professionnels, afin de faciliter l’accès à l’emploi, prévenir les ruptures, gérer les transitions professionnelles et garantir le maintien dans l’emploi des personnes en situation de handicap. Cette mesure a également pour ambition de simplifier et rendre plus lisible le service rendu, tant aux personnes en situation de handicap (demandeurs d’emploi, salariés, agents publics) qu’aux employeurs publics et privés.

« Afin d’initier des projets répondant aux exigences de sécurisation des parcours et de rapprochement des missions d’insertion professionnelle et de maintien en emploi », dixit le ministère, l’État, l’Agefiph, le FIPHFP et Pôle emploi ont donc lancé un appel à projets sur les territoires. À l’issue de l’analyse des projets déposés, 98 porteurs de projets, seuls ou en partenariats, ont été sélectionnés.

Les conventions entre l’État, l’Agefiph, le FIPHFP et Pôle emploi et les porteurs de projets retenus doivent permettre de définir des objectifs partagés entre les acteurs et de définir une offre de service adaptée aux territoires dès le 1er janvier 2018, en complémentarité de celle réalisée par les opérateurs de droit commun, notamment Pôle emploi.

Pour plus de lisibilité à l’intention des travailleurs handicapés et des entreprises et administrations qui bénéficient actuellement des services des Cap emploi et des Sameth, il a été décidé de conserver l’appellation Cap emploi-Sameth durant les premiers mois de l’année 2018. Un nouveau logo et une nouvelle identité graphique seront élaborés dans les prochains mois, afin de traduire l’évolution des missions des organismes de placement spécialisés.

La liste des porteurs de projets retenus est à consulter en ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/liste-ops-pdf.pdf

Source WEKA.

L’Association des paralysés de France s’inquiète des premières décisions du gouvernement…

L’APF est préoccupée par les conséquences de la réforme du code de travail sur l’emploi des personnes en situation de handicap. Elle dénonce aussi la diminution des emplois aidés et s’inquiète de la réforme de l’assurance-chômage.

Selon l’Association des Paralysés de France, « le nombre de personnes en situation de handicap au chômage ne cesse d’augmenter »

L’Association des paralysés de France s’inquiète des conséquences des premières décisions du gouvernement sur le taux d’emploi des personnes en situations de handicap. Dans un communiqué publié le lundi 6 novembre, elle tient notamment « à alerter sur le risque d’accroissement de la précarité » lié aux ordonnances réformant le code de travail.

Selon l’APF, ces textes pourraient toucher négativement des personnes en situation de handicap, mais aussi « des proches aidants, majoritairement des femmes ». L’association constate en effet que ces réformes n’apportent « aucune garantie supplémentaire ou droit nouveau » pour ce public et « font craindre une perte d’expertise » et « une moindre prise en compte » du handicap.

La réforme de l’assurance-chômage, sujet de préoccupation

Alors que la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées commence lundi 13 novembre, l’Association des paralysés de France se dit aussi préoccupée par des décisions à venir, en premier lieu la réforme de l’assurance-chômage. « La durée de l’indemnisation et les conditions d’accompagnement doivent s’accorder et être dignes face à la gravité des situations auxquelles sont surexposées les personnes en situation de handicap », estime-t-elle.

L’APF « dénonce » par ailleurs la diminution des contrats aidés, en demandant que leur « nombre soit réajusté pour répondre aux besoins des personnes handicapées ». Elle rappelle qu’elle sera « particulièrement attentive aux recommandations formulées par la mission confiée à Jean-Marc Borello sur l’insertion des plus éloignés de l’emploi ».

Pour l’APF, une mesure comprise par le projet de loi de finances pour 2018, qui va faire baisser les financements accordés aux entreprises dites « adaptées », est également « inacceptable ». Elle « s’insurge » enfin contre « la suppression de la prime d’activité pour les invalides ou victime du travail en emploi ».

Une pétition lancée

Selon l’Association des paralysés de France, « le nombre de personnes en situation de handicap au chômage ne cesse d’augmenter » et a atteint le total de 495 000 fin mars, un « record ». Avec 10 autres associations, elle a lancé une pétition pour dire « non au recul des droits et à l’aggravation de la précarité ». Ce collectif dénonce des « économies réalisées sur le dos des personnes en situation de handicap » et demande au « gouvernement la suppression de ces mesures ».

Source LA CROIX.

Handicap : la réforme des entreprises adaptées est reportée…

La ministre du Travail vient d’annoncer le report à 2019 de la réforme du financement des entreprises adaptées.

Représentant à elles trois près de 200 entreprises adaptées, l’APF, l’Unapei et la Fédération des APAJH se félicitent de la décision de la ministre du Travail de reporter au 1er janvier 2019 la réforme du financement des entreprises adaptées, « dispositif essentiel pour l’emploi des personnes en situation de handicap ». Alors que les entreprises adaptées emploient 26 000 personnes handicapées, les propositions initiales du projet de loi de finances (PLF) pour 2018 « les mettaient potentiellement en grave difficulté en prévoyant une augmentation du nombre d’aides au poste mais aussi une diminution de leurs financements à hauteur de 16 millions d’euros », expliquent les trois associations. Annoncée par Muriel Pénicaud lors de l’examen final du PLF 2018, définitivement adopté par l’Assemblée nationale ce jeudi 21 décembre, cette décision fait suite à la mobilisation du secteur ces dernières semaines et aux négociations approfondies menées avec l’État.

Ce report « ouvre la voie à une concertation plus sereine sur les perspectives des entreprises adaptées durant le premier semestre 2018 », se réjouissent l’APF, l’Unapei et la Fédération des APAJH. Celle-ci portera sur le devenir du modèle, notamment en termes de simplification et d’innovation pour l’emploi des personnes en situation de handicap. Les trois associations s’engagent à participer activement à ces travaux, au cours desquels « elles porteront l’ambition d’apporter des réponses concrètes au chômage des personnes en situation de handicap ».

Autre bonne nouvelle pour l’APF, l’Unapei et la Fédération des APAJH : la ministre du Travail a également confirmé l’engagement de porter le nombre d’aides au poste à 24 000 en 2018 (+ 1 000 par rapport à 2017).

Source WEKA.

Rennes. Dans ce coffee-shop, tous les salariés sont handicapés….

Demain mercredi ouvrira, rue Vasselot à Rennes, un coffee-shop original. Vous pourrez y déguster de très bons cafés et viennoiseries, mais surtout découvrir un service joyeux assuré par des gens différents!

Tous les employés (ées) sont handicapés (ées) et sont particulièrement heureux de vous accueillir.

coffee-shop, tous les salariés sont handicapés

« Ils ont vraiment hâte de vivre cette ouverture. Pour eux, c’est le début d’une aventure qui s’annonce fantastique », assure Yann Bucaille Lanrezac. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais c’est notamment grâce à lui et à sa fondation, Émeraude solidaire, que va ouvrir, mercredi, au 14, rue Vasselot, dans le centre-ville, un coffee-shop baptisé Le Joyeux.

« Il s’agit d’abord d’un établissement où vous pourrez boire un excellent café et déguster de très bonnes pâtisseries. Mais surtout, vous serez accueillis par des gens un peu différent, pour qui ce coffee-shop représente beaucoup. »

Une belle histoire

Il y a Vianney, Fabian, Brandon, Mathilde, Lucie, Cécile, Thérèse et Eliza. Ils sont un peu différents, car ils sont handicapés. Certains sont trisomiques, d’autres autistes. « Pour eux, c’est l’occasion de travailler dans un commerce comme un autre, au coeur du centre et non pas dans une structure spécialisée éloignée de tout. » Mine de rien, ça change tout.

« Le but est aussi d’abolir ses différences et de ne plus en tenir compte. Que tout le monde passe un bon moment dans un cadre agréable. » Les clients ne seront d’ailleurs pas déçus sur ce dernier point. La décoration est chaleureuse et originale. À l’image, par exemple, de ces petites tasses anglaises transformées en lampes…

Mais comment est venue cette idée? Retour quelques années en arrière. Yann Bucaille Lanrezac est un patron qui a fondé une entreprise spécialisée dans l’énergie solaire. Ses affaires tournent bien et comme il le dit, « j’ai été gâté par la vie ».

Mais c’est aussi un homme qui veut agir pour les autres. Il acquiert, en 2012, un beau catamaran de 18 m dont le port d’attache est Dinard.

« Un jour Théo m’a demandé… »

« Avec des amis, on proposait à des personnes handicapées de larguer leurs différences et de passer des journées en mer. On en a fait déjà près de 400. » Sa seule satisfaction, les sourires.

Puis en 2014, d’un retour d’une sortie en mer, il tombe sur Théo, un jeune de 20 ans souffrant de troubles autistiques. « Il m’a demandé si je pouvais lui trouver du travail. Je lui ai répondu que malheureusement non et il s’est mis en colère. Il m’a dit que ce n’était pas juste et que ce n’est parce qu’il était handicapé qu’il ne pouvait pas être utile. »

Un épisode qui le marque. « Je me suis alors demandé pourquoi ne pas créer une petite entreprise. Puis, ça a fait tilt ! Pourquoi pas quelque chose au coeur de la ville. » Le coffee-shop est né et va devenir réalité grâce à la fondation et un investissement financier non négligeable. « C’est à eux maintenant de jouer et de montrer ce qu’ils ont dans le ventre et dans le coeur. » Et surtout d’être « joyeux ».

L’établissement ouvrira ses portes mercredi, à partir de 9 h. Alors si vous avez envie d’un café et d’une sacrée dose de sourires…

Source OUEST FRANCE.

Travailleurs handicapés : « l’obligation d’aménagement » expliquée aux employeurs…

Le Défenseur des droits Jacques Toubon publie ce 13 décembre un guide pratique pour aider les employeurs à respecter « l’obligation d’aménagement raisonnable » fixée par la loi de 2005, destinée à faciliter le travail des personnes handicapées.

Employeur de travailleurs handicapés - Aménagement obligatoire

« L’obligation d’aménagement raisonnable » est inscrite dans la loi depuis 2005. Adaptation des horaires, accessibilité des locaux, installation d’un matériel de communication adapté… son objectif est de mettre le travailleur handicapé à égalité de traitement avec les autres travailleurs, à toutes les étapes de son parcours professionnel (recrutement, période d’essai, exercice de l’emploi, promotion, accès à la formation, reclassement).

Toutefois, selon le Défenseur des droits Jacques Toubon, cette obligation « reste largement méconnue des employeurs et plus généralement des acteurs de l’insertion professionnelle des personnes handicapées et elle est peu respectée ». Dans un communiqué, il rappelle que « le refus de prendre [les mesures prévues dans la loi] est constitutif d’une discrimination ».

L’emploi concerne 37% des saisines relatives au handicap adressées au Défenseur des droits.

Dans ce contexte, il met à disposition un guide une centaine de pages, qui rappelle les grands principes de cette obligation, propose des outils concernant l’identification des besoins ou la faisabilité des mesures d’aménagement, et formule les sanctions encourues.

Le document est téléchargeable gratuitement sur le site du Défenseur des droits, et sera notamment adressé au ministère du Travail et à la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées.

Carmaux : des boules de Noël fabriquées par des handicapés…

Un réel business s’est formé autour des boules de Noël. France 3 s’est rendue à Carmaux (Tarn), où un centre qui accueille des handicapés fabrique des boules de Noël.

Situé à Carmaux (Tarn), l’Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) fabrique chaque année des boules de Noël et a acquis au fil des années une certaine réputation. Réputées incassables, les boules de Noël rebondissent comme un ballon. Avant de s’accrocher sur le sapin, il reste quelques étapes. Fabriquées à base de plastique, elles prennent leur forme lors de la phase de soufflage. Si le marché est essentiellement chinois, l’établissement a su se maintenir à flot grâce à une solide réputation.

350 000 boules de Noël chaque année

La production est principalement exportée en Europe et environ 350 000 boules de Noël sortent chaque année des ateliers, entièrement confectionnées par des personnes en situation de handicap. Dans quelques jours, ces boules auront pris place sur les sapins, ou ailleurs. Elles apporteront un peu plus de magie aux fêtes de Noël.

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Source France TV.

Vesoul : apprendre aux jeunes handicapés à circuler en ville en toute sécurité…

L’Institut Médico-Educatif de Vesoul, en collaboration avec la Prévention Routière, organise des sessions d’apprentissage des règles de sécurité de circulation en ville.

Objectif : que les adolescents handicapés puissent à se déplacer seuls en bus, jusqu’au centre d’aide par le travail.

apprendre aux jeunes handicapés à circuler en ville en toute sécurité

Pour la seconde année consécutive l’Institut Médico-Educatif de Vesoul, en collaboration avec la Prévention Routière, organise des sessions d’enseignement des règles de sécurité de circulation en ville, avec apprentissage de la signalisation du Code de la Route. Depuis septembre, grâce à un cycle de dix séances au total, 10 adolescents handicapés âgés de 16 à 18 ans se forment à cette autonomie. Alternant séance théorique et mise en pratique encadrée, ils apprennent ainsi à se déplacer seuls. L’objectif est de leur apprendre à se déplacer en toute sécurité afin qu’ils parviennent à prendre le bus pour se rendre seuls au centre d’aide par le travail (CAT).
A l’issue de cette formation, les stagiaires vont passer un test et s’ils le réussissent, recevront leur diplôme de prévention routière.

Plus d’information, découvrir la Vidéo, cliquez ici.

Source FR3.

Des PME recrutent en ligne des personnes handicapées…

Du 4 au 8 décembre, se déroulent le premier événement national en ligne dédié au recrutement de travailleurs handicapés dans les PME.

4 au 8 decembre 2017 - emploi handicapés

Du 4 au 8 décembre, 1.000 postes ouverts aux personnes en situation de handicap dans une centaine de PME de toute la France sont à pourvoir. De l’étudiant en alternance au cadre expérimenté, tous les niveaux d’études et d’expériences sont recherchés, dans tous les secteurs et pour tous les métiers. 4.000 candidats sont d’ores et déjà inscrits.

Inscriptions et entretiens en ligne sur pme.hello-handicap.fr

Les candidats postulent aux offres de leur choix et sont sélectionnés par les recruteurs pour des entretiens qui se déroulent par téléphone ou par tchat, sur rendez-vous. Sans que personne ne se déplace.

Source FR3.