Coronavirus : « J’aurais préféré accoucher 17 fois que d’avoir le Covid-19 », témoigne Pauline âgée de 31 ans…

CORONAVIRUS – Le témoignage de plusieurs trentenaires ayant contracté la maladie.

Coronavirus : « J’aurais préféré accoucher 17 fois que d’avoir le Covid-19 », témoigne Pauline âgée de 31 ans... (Illustration)

  • ls ont été frappés par le coronavirus alors qu’ils ne pensaient pas être des personnes à risques.
  • 20 Minutes a recueilli les témoignages de plusieurs Lyonnais, fortement touchés par la maladie.
  • Leur point commun ? Etre tous âgés d’une trentaine d’années.

Leur point commun : être dans « la trentaine » et avoir contracté le coronavirus alors qu’ils pensaient ne pas faire partie des personnes à risques. 20 Minutes a recueilli le témoignage de plusieurs  Lyonnais, fortement secoués par la maladie. A commencer par Pauline, 31 ans. Les premiers symptômes sont apparus le 16 mars. Une toux sèche à laquelle elle ne prête guère d’attention.

« Au départ, j’ai pensé qu’il s’agissait d’un simple rhume. Je ne me suis pas posée de questions mais très rapidement, la toux a redoublé et s’est fortement intensifiée. Jour après jour, j’ai commencé à me sentir essoufflée. Ce qui ne m’était jamais arrivé », raconte-t-elle. La jeune femme appelle alors un médecin pour une première consultation à distance d’autant que la fièvre s’est installée. « Des petites températures. Pas plus de 38,5° », expose-t-elle.

« Je ne pouvais plus du tout respirer. C’était flippant »

Mathieu, 39 ans, a lui été terrassé par la fièvre en quelques heures. Il a commencé à développer des symptômes au lendemain du placement de la France en confinement. « Cela s’est manifesté en pleine nuit. Assez soudainement. Je toussais légèrement mais je ne m’inquiétais pas », témoigne-t-il. Le trentenaire se réveille trempé de sueur mais grelottant sous ses draps. Verdict : Plus de 39°. La température s’installe et ne redescend guère les quatre jours suivant.

« Je ressentais un essoufflement. J’ai eu des petits moments de panique mais en général, je parvenais à me calmer et respirer mieux quelques minutes après. Au final, c’était assez bénin. Sauf quand je parlais. Je devais faire des pauses pour reprendre ma respiration mais ce n’était pas au point d’appeler le 115 ». Une limite qu’a été obligée de franchir Pauline au cinquième jour.

« Je ne pouvais plus du tout respirer. C’était flippant. La nuit d’avant, je n’avais pas fermé l’œil ». Le médecin débarque alors en urgence chez elle et prend sa saturation en oxygène : 70. « Il m’a dit que si elle était tombée à 50, il m’aurait transféré. Mais qu’il n’y avait de toute façon plus de place dans les hôpitaux. C’était difficile à entendre », poursuit-elle, sans imaginer que le pire allait arriver. « Les deux jours suivants ont été les plus longs de ma vie », sourit Pauline. Après une courte accalmie d’à peine 24 heures, le virus repasse à l’attaque.

Une accalmie avant la rechute

Même chose pour Mathieu. « Au bout de 5 jours, je me sentais mieux. Je respirais normalement et je pensais en être sorti… Mais non, raconte-t-il. Deux jours après, je me suis résigné ». Les gênes respiratoires reviennent. « J’avais à nouveau des courbatures de partout. Aucune énergie. Je n’avais plus de tonus dans les bras et les jambes. Je dormais une grosse partie de la journée sans parvenir à vraiment me lever. J’évitais de bouger pour préserver au maximum le peu de forces que j’avais ».

Au septième jour, Pauline se trouve un état similaire mais plus inquiétant : « J’avais des nausées, des migraines. Mon corps ne pouvait plus bouger. Je n’étais même plus capable de tenir une fourchette dans la main ». La jeune femme s’économise au possible, cesse de parler car le moindre geste lui demande un effort considérable. « J’aurais préféré accoucher 17 fois que d’attraper le coronavirus », poursuit-elle en rigolant. Le médecin revient chez elle et lui explique qu’elle est dans le « pic ». Il faudra encore attendre le dixième jour pour que la maladie s’estompe.

« Avec le Covid-19, pas grand-chose se transforme vite en situation compliquée »

Son compagnon, a lui aussi contracté la maladie mais de façon moins violente. Une pathologie antérieure mal soignée a sûrement fait la différence. « Quelques semaines avant, j’avais eu une petite pneumonie. Pas grand-chose. Mais avec le Covid-19, ça s’est transformé en une situation compliquée. Ça a explosé dans les poumons », relate Pauline. Aujourd’hui, la jeune femme va mieux mais reste fatiguée. « Je n’ai jamais ressenti un tel épuisement dans tout le corps », explique-t-elle consciente que la situation devrait encore durer plusieurs semaines. Mais optimiste. « J’ai l’impression d’être née une seconde fois. Retrouver son souffle est une sensation assez incroyable ».

Mathieu reste également « très fatigué ». Et se dit « complètement à plat ». Tout comme Estelle, 38 ans. Mais elle mesure la « chance » de ne pas avoir contracté le virus de façon plus forte.

Fièvre, toux, diarrhées : le diagnostic a rapidement été posé par un médecin lors d’une téléconsultation. « Tout est arrivé de façon progressive. J’ai failli m’évanouir à plusieurs reprises. Ce qui ne m’était jamais arrivé pour une grippe classique. Non, ce n’est vraiment pas une grippe classique. On a passé des sales moments mais cela aurait pu être pire », raconte cette maman de deux enfants, également contaminés.

« Quand j’ai vu mon fils de deux ans comme ça, je me suis beaucoup inquiété. Il a eu de la fièvre pendant 5 jours avec une très forte toux. Il ne mangeait plus, était complètement apathique », poursuit-elle. Et de conclure : « Cela prouve que, contrairement à ce qui est dit, les petits peuvent aussi l’attraper et être bien malades ».

Source 20 MINUTES.

Le Pr. Éric Chabrière, bras droit du Dr Raoult, balance toute la vérité (Interview complète sur LCI)…!

Interview du Pr Éric Chabrière de l’équipe du Pr Raoult. Eric Chabrière, professeur à l’Institut des maladies infectieuses de Marseille.

Didier Raoult claque la porte du Conseil scientifique de Macron. Mercredi 25 mars 2020.

Le Pr. Éric Chabrière, bras droit du Dr Raoult, balance toute la vérité (Interview complète sur LCI)...!

 

https://youtu.be/sHeT-6zEMuo

Source LCI.

 

Pas la Honte… ! Coronavirus : Emmanuel Macron défend sa gestion de la crise dans la presse italienne…!

Dans un entretien à des journaux italiens publié ce samedi, Emmanuel Macron s’est défendu d’avoir ignoré les signaux d’Italie montrant la gravité de la crise sanitaire.

Aussi, le chef de l’Etat en appelle à la solidarité budgétaire européenne.

En pleine crise sanitaire, Emmanuel Macron s'est rendu mercredi 25 mars, à l'hôpital de campagne de l'armée à Mulhouse.

Pas la honte ! La vérité c’est celle là ! La Rédaction Handicap Info.

Santé. L’Allemagne alarmée par le triage des patients dans les hôpitaux alsaciens… “Toute personne de plus de 75 ans n’est plus intubée”…! Cliquez ici.

 

Emmanuel Macron, favorable à des « emprunts Corona » face aux « réticences » de Berlin, en appelle à la solidarité budgétaire européenne et se défend d’avoir ignoré les signaux d’Italie montrant la gravité de la crise sanitaire, dans un entretien à des journaux italiens publié ce samedi.

Un emprunt commun à toute l’Union européenne pour faire face au coronavirus

Neuf pays européens, dont la France et l’Italie, avaient appelé mercredi à lancer un emprunt commun à toute l’Union européenne pour faire face au coronavirus, mettant la pression sur l’Allemagne, opposée à toute mutualisation des dettes.  « Nous ne surmonterons pas cette crise sans une solidarité européenne forte, au niveau sanitaire et budgétaire », estime le chef de l’Etat français dans une interview donnée aux journaux Corriere de la Serra, La Stampa et La Repubblica.

Coronavirus, Macron: « La Francia è al fianco dell’Italia, basta a un’Unione Europea egoista » [aggiornamento delle 03:10] https://www.repubblica.it/esteri/2020/03/28/news/coronavirus_marcon_francia_italia_unione_europea-252512863/?timestamp=1585361459000 

Coronavirus, Macron: « La Francia è al fianco dell’Italia, basta a un’Unione Europea egoista »

Il presidente francese intervistato da Repubblica : « In questa crisi l’Italia ci ha preceduto e noi ne abbiamo tratto lezione »

repubblica.it

Le montant est secondaire, c’est ce signal qui compte, à travers l’endettement commun ou le budget commun », a-t-il ajouté.  Face aux réticences de pays comme l’Allemagne, « on ne peut pas lâcher ce combat », a insisté le président de la République.

Il n’y a pas eu de retard français sur les mesures de confinement

Interrogé sur un éventuel retard français sur les mesures de confinement au moment où la situation se dégradait en Italie, Emmanuel Macron a affirmé: « Nous n’avons absolument pas ignoré ces signaux. J’ai abordé cette crise avec sérieux et gravité dès le début, lorsqu’elle s’est déclenchée en Chine ».  Notamment « parce que l’Italie nous a précédés dans cette crise« , « nous avons pris en France les mesures les plus dures le plus tôt (…) à nombre de cas comparables », a-t-il soutenu, interrogé sur sa sortie au théâtre le 6 mars, 11 jours avant les mesures de confinement.

« J’ai suivi à chaque étape trois principes essentiels : _fonder nos décisions sur des avis scientifiques_, s’adapter à l’évolution de la crise, prendre des mesures proportionnées », a expliqué Emmanuel Macron.

Au 10e jour de confinement en France, le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé vendredi le renouvellement de cette mesure jusqu’au 15 avril. Le pays compte désormais 1.995 décès dus au nouveau coronavirus depuis le début de l’épidémie, dont près de 300 survenus en 24 heures, selon le bilan officiel communiqué vendredi soir.

Source FRANCE BLEU.

Des médecins français se rebellent et décident de soigner les patients atteints du Coronavirus avec de la chloroquine…

Dans une course effrénée pour découvrir un traitement contre le Covid-19, des médecins et chercheurs du monde entier ont mobilisé leurs ressources.

Des médecins français se rebellent et décident de soigner les patients atteints du Coronavirus avec de la chloroquine

En France, le professeur Didier Raoult de l’IHU Méditerranée Infection prône l’efficacité de la chloroquine, un antipaludéen qui existe sur le marché depuis de nombreuses années.

Si des tests préliminaires ont retenu l’attention du gouvernement qui a autorisé des essais cliniques à plus grande échelle, la prudence de la communauté scientifique est toujours d’actualité dans l’attente de résultats sans équivoque sur l’usage de cette molécule. Des délais qui ne font pas l’unanimité auprès de certains médecins à Marseille. Dans un communiqué de l’IHU publié ce dimanche 22 mars, six d’entre eux invoquent le serment d’Hippocrate pour soigner les personnes contaminées avec de la chloroquine. Une information relayée par France Bleu.

C’est à Marseille que l’équipe du Pr Raoult a annoncé sa décision de traiter les patients infectés avec de la chloroquine et ce, sans attendre les conclusions d’études thérapeutiques. Invoquant leur devoir de médecin, six membres de l’IHU souhaitent généraliser l’utilisation de la molécule, malgré les recommandations officielles des autorités.

La chloroquine, une molécule qui fait débat

Cible de nombreuses critiques, le Pr Raoult avait mené un test sur 24 patients pour évaluer l’efficacité de la chloroquine. Dans une vidéo publiée le lundi 16 mars, ce dernier expliquait que “25 % seulement des patients seraient encore porteurs du virus, la proportion étant de 90 % chez ceux ne recevant pas le traitement”.

Des résultats préliminaires jugés prometteurs par le gouvernement qui, à l’issue d’un Conseil des ministres, a autorisé des essais cliniques indépendants de l’équipe du professeur pour évaluer l’efficacité de ce traitement. Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement en a toutefois appelé à la prudence, car les preuves scientifiques manquent encore. Un avis partagé par de nombreux experts qui pointent du doigt “l’absence d’études plus poussées ainsi que “ses effets indésirables qui peuvent être graves”, souligne LCI.

Pour Olivier Véran, ministre de la Santé, “Il est absolument fondamental d’asseoir toute décision de politique publique en santé sur des données scientifiques validées, et les processus de validation, on ne peut pas négocier avec”.

Le dépistage systématique

Si l’Agence régionale de santé rappelle dans un communiqué que le dépistage n’est plus systématique “en phase épidémique”, le Pr Raoult et son équipe ont annoncé ce dimanche le dépistage de toute personne “fébrile” qui se présente à l’institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection. “Nous avons décidé pour tous les malades fébriles qui viennent nous consulter, de pratiquer les tests pour le diagnostic d’infection à Covid-19”, peut-on lire sur le communiqué alors que le test est actuellement réservé à des populations spécifiques comme les personnes âgées, fragiles ou encore les femmes enceintes, précise le 20 Minutes.

Le serment d’Hippocrate

Six médecins ont invoqué leur devoir médical et les règles morales de leur profession pour faire bénéficier les malades de “la meilleure prise en charge  pour le diagnostic et le traitement d’une maladie”. Cette décision aurait été prise en accord avec les “données les plus récemment acquises de la science médicale” et ce, malgré le fait que l’IHU n’ait pas d’autorisation pour la généralisation du traitement. A cet effet, le Dr Philippe Brouqui, l’un des médecins de l’équipe, invoque l’affirmation solennelle. Il explique à France Bleu, “À ce stade, le seul traitement ayant prouvé son efficacité, c’est celui que nous employons. Je ne fais donc que respecter le serment d’Hippocrate”.

C’est ainsi que le Pr Didier Raoult et cinq de ses confrères ont annoncé, en plus du dépistage assuré au CHU, vouloir traiter dès le diagnostic, les patients infectés. Selon les informations fournies par l’IHU, le traitement consiste à associer de l’hydroxychloroquine et l’Azithromycine, le tout “dans le cadre des précautions d’usage de cette association”. L’association d’un antibiotique à large spectre est également mentionnée en cas de pneumonie sévère.

Selon Pierre Jouan, président du Conseil régional de l’Ordre des médecins Paca, il s’agit d’un traitement “hors AMM”, signifiant que ce dernier “n’a pas obtenu d’autorisation à être mis sur le marché dans le cadre de la lutte contre le Covid-19”, rapporte France Bleu en précisant toutefois que ce dernier “soutient la démarche de l’IHU”. Le Pr Brouqui quant à lui conclut en ajoutant que “L’histoire nous dira si on a bien fait ou pas. C’est l’histoire qui nous le dira. »

Source SANTE +.

Coronavirus – Un Américain meurt en ingérant de la chloroquine pour aquarium..!

Un sexagénaire américain de l’Arizona est mort après avoir ingéré de la chloroquine en automédication.

Sa femme se trouve dans un état préoccupant.

Coronavirus - Un Américain meurt en ingérant de la chloroquine pour aquarium

Selon l’hôpital de Banner Smith, les deux sexagénaires auraient ingurgité non pas de la chloroquine médicale mais du phosphate de chloroquine, un produit habituellement utilisé pour nettoyer les viviers d’aquarium.

Un produit qu’ils avaient gardé en stock après avoir eu un aquarium avec des carpes d’ornement. Selon NBC News qui a pu interroger la femme, le couple aurait décidé de prendre le phosphate de chloroquine après avoir entendu le discours de Trump sur les bienfaits du médicament pour lutter contre le coronavirus.

Un vendeur en ligne de produits pour aquarium a affirmé mardi avoir été « dévalisé » du produit en question. Il a vendu tout son stock en précisant à ses clients que son usage était seulement destiné au nettoyage des aquariums.

Source EST REPUBLICAIN