Santé. Certaines consultations à 46 € et 60 € chez les médecins généralistes…

Les tarifs de certaines consultations chez les médecins généralistes et spécialistes, vont passer à 46 €, voire 60 €, à partir du 1er novembre. Il s’agira de consultations dites « complexes » ou « très complexes ».

Ce sont les décrets publiés au Journal officiel paru mardi qui l’annoncent. Le 1er novembre prochain, les médecins généralistes pourront facturer 46 € et 60 € certaines consultations dites complexes ou très complexes. Cette nouvelle tarification découle des négociations entre les syndicats de médecins et l’assurance maladie, dans le cadre d’une nouvelle convention tarifaire.

Quels actes facturés 46 € et 60 € ?

46 €, ce sera le prix des consultations dites complexes. Il s’agit notamment des consultations concernant les enfants âgés de 3 à 12 ans et souffrant d’obésité ou qui présentent un risque avéré d’obésité. Également concernés, les nourrissons qui sortent de la maternité, ou encore les jeunes filles entre 15 et 18 ans qui souhaitent avoir accès à une contraception. Dans ce dernier cas très précis, la consultation pourra être assurée, au même tarif de 46 €, par un gynécologue, un obstétricien ou un pédiatre. Également à 46 €, les consultations de prévention contre les maladies sexuellement transmissibles.

Selon Le quotidien du médecin, dans certains cas (asthme, prise en charge d’un couple stérile, pathologie oculaire grave, trouble du comportement alimentaire) ces consultations complexes peuvent être majorées de 16 €.

Les consultations dites très complexes pourront, quant à elle, être facturées 60 €. Seront notamment concernés les insuffisants rénaux sévères préparant une greffe, ceux atteints d’une maladie auto-immune. Le Dr Jean-Paul Hamon, généraliste et président de la Fédération des Médecins de France, détaille les cas sur franceinfo :« la préparation à des greffes rénales, les consultations d’annonce de cancer, qui restent très délicates, ou encore les consultations des gynécologues concernant des malformations fœtales, qui sont également compliquées à annoncer ».

Source OUEST FRANCE.

Levothyrox. Bientôt des alternatives, promet la ministre de la Santé….

Une alternative au Levothyrox, médicament dont la nouvelle composition a déclenché le mécontentement de milliers de patients, sera bientôt commercialisée.

L’annonce a été faite par la ministre de la Santé Agnès Buzyn.

La ministre de la Santé Agnès Buzyn va annoncer « dans les jours qui viennent » la date de mise sur le marché d’un médicament équivalent au Levothyrox.

« J’ai totalement écouté la souffrance des malades, s’est défendue Agnès Buzyn, sur LCI, au retour d’un déplacement aux Antilles, après le passage de l’ouragan Irma. Maintenant il faut le temps de trouver des médicaments équivalents et de les importer. (…) Ça nécessite un peu de temps. J’annoncerai dans les jours qui viennent la date de disponibilité d’alternatives thérapeutiques sécurisées. »

Plaintes en série

L’annonce intervient alors qu’une cinquantaine de nouvelles plaintes de patients mécontents, dont celle de l’actrice Anny Duperey, vont être déposées au parquet de Paris. Plus de 9 000 patients ont déjà signalé des effets indésirables : crampes, maux de tête…

Depuis mars 2017, le laboratoire Merck, à la demande de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de la santé (ANSM), a changé l’excipient principal de ce médicament à destination des personnes qui souffrent de problèmes de la thyroïde.

Aucune hospitalisation…

Évoquant des « effets secondaires très, très pénibles », la ministre a tenu à rappeler qu’il n’y avait pas eu d’hospitalisations liées à la prise de ce médicament utilisé par environ 3 millions de personnes en France.

Nous n’avons « pas connaissance d’hospitalisations », a-t-elle insisté, tout en affirmant que « le plus grand danger est d’arrêter le médicament » qui est « vital ».

Source OUEST FRANCE.

Robin, autiste, est interdit de bus car il a vomi deux fois: « Très fâché, le conducteur a menacé de nous faire payer 5.000 euros »…

Namur – Luxembourg – Robin, 5 ans, autiste, doit prendre le bus scolaire pour aller à son école spéciale.

Géraldine Jassogne, d’Yvoir, en province de Namur, est désemparée : depuis le 8 septembre, son fils de 5 ans, autiste, est banni du bus qui l’amène à l’école spécialisée d’Anseremme. « Jusqu’ici, Robin allait à l’école près de la maison. Grâce à la bonne volonté de l’institutrice, il pouvait y aller quelques matinées par semaine. Mais un enfant autiste a besoin de beaucoup d’attention. Pour sa rentrée en 3e maternelle, le centre PMS l’a envoyé dans une école spécialisée où l’on peut répondre à ses besoins spécifiques comme la logopédie, l’hippothérapie… »

Le souci, c’est le transport. Car Géraldine n’a pas de voiture. Bonne nouvelle : l’école a un accord avec les Tec et propose un bus scolaire gratuit pour les écoliers. C’est ainsi que Robin a pris le bus scolaire pour la toute première fois le mardi 5 septembre. « Mais sur le chemin, il a vomi. Apparemment, il y en avait partout : le conducteur était très fâché et nous a menacé de nous faire payer 5.000€ pour l’enlèvement et le nettoyage du siège par une entreprise spécialisée… », témoigne Géraldine, un peu effrayée à cette perspective.

Après discussion, ils sont parvenus à un accord : Robin pouvait reprendre le bus à condition d’acheter une housse en plastique pour son siège et de prendre des médicaments contre le mal des transports. Ce dont Géraldine s’est assurée pour un second essai le vendredi 8 septembre.

Mais au retour, Robin a de nouveau eu un souci, « juste un peu de bile » précise sa maman. C’en est trop pour le chauffeur qui lui signifie que Robin est banni du bus. Géraldine n’a pas de voiture. Elle tente le train. « il n’y a qu’un train toutes les deux heures. Le trajet me prenait une demi-journée, ce n’est pas possible au quotidien »

Autiste

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Source DHNET.

 

Dépistage du cancer du sein : un nouveau livret pour s’informer et décider…

Ce nouveau livret conçu par l’Institut National du Cancer revient sur plusieurs points essentiels concernant les cancers du sein et leurs facteurs de risque : l’âge, le mode de vie et les antécédents médicaux.

Dans le cadre de la modernisation du programme de dépistage organisé et de la proposition d’un suivi personnalisé pour toutes les femmes, l’Institut national du cancer (INCA) publie un nouveau livret d’information qui répond aux principales interrogations liées au cancer du sein. Le document prend soin d’expliquer les principaux facteurs de risque.

En effet, le premier facteur de risque est l’âge : près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. « Certains traitements hormonaux de la ménopause, une puberté précoce, une ménopause tardive, l’âge de la première grossesse et la durée d’allaitement peuvent également avoir une influence sur l’apparition d’un cancer du sein », explique le document.

La consommation d’alcool et de tabac, le surpoids ainsi que le manque d’activité physique sont également des facteurs de risque. Ainsi, des études de référence attribuent 17% des cancers du sein à la consommation d’alcool régulière, même modérée.

Les antécédents médicaux personnels ou familiaux sont également à prendre en compte. Les femmes qui ont déjà été touchées par un cancer du sein, des ovaires ou de l’endomètre, qui ont développé certaines affections du sein ou dont un parent a développé un cancer, ont plus de risques de développer un cancer du sein.

L’ensemble des éléments d’information et des questions, liés au programme de dépistage sont exposés dans le document : la temporalité ; la fiabilité du dispositif national ; les risques de ce dépistage, les risques de surdiagnostics ; les cancers radio-induits et les risques à ne pas réaliser le dépistage.

Enfin, d’ici la fin de l’année 2017, un nouvel outil web personnalisé sera mis en ligne sur le site de l’INCA comme outil supplémentaire d’information sur les cancers du sein et le programme de dépistage.

Levothyrox. Une plainte collective déposée ce jeudi…

Une cinquantaine de personnes souffrant d’effets secondaires indésirables suite à la prise de Levothyrox déposent, ce jeudi, une plainte collective contre X.

Selon RMC, une plainte collective contre X pour mise en danger d’autrui va être déposée ce jeudi par une cinquantaine de personnes souffrant d’effets secondaires suite à la prise de Levothyrox. Une nouvelle formule de ce médicament pour la thyroïde a été mise sur le marché en mars et de nombreux patients ont subi des effets secondaires indésirables. Le Levothyrox est commercialisé par le laboratoire Merck, qui exclut pour l’heure un retour à l’ancienne formule.

« Ce que j’espère (avec cette plainte collective, NDLR) c’est une enquête de la police ou de la gendarmerie spécialisée, explique l’avocate des plaignants, Me Marie-Odile Bertella-Geffroy. (…) Pour l’instant, la priorité ce ne sont pas les sanctions, mais l’urgence sanitaire, obtenir que l’ancienne formule soit à disposition des patients ». « Déposer plainte pour moi aujourd’hui, c’est se faire reconnaître en tant que victime », indique notamment Patricia, l’une des plaignantes.

Selon RMC, d’autres plaintes pourraient suivre. Les signalements de cas, parfois graves, avec hospitalisations, se multiplient dans les centres de pharmacovigilance. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a reçu plus de 9.000 signalement depuis la mise sur le marché de la nouvelle formule. Un numéro vert a été mis en place.

Levothyrox - Plainte
Source LE TELEGRAMME.

Montauban: Trois jeunes entrent de force chez un handicapé et le rouent de coups !!!!

Trois jeunes, dont deux adolescents toulousains, sont suspectés d’avoir violemment agressé une personne handicapée à son domicile, près de Montauban…

Ils étaient encagoulés et l’un d’entre eux était armé d’une clé à molette. Selon La Dépêche du Midi, trois hommes ont fait irruption dimanche soir chez un habitant handicapé de Verdun-Sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban.

Le trio a défoncé la porte à coups de pied, fait fuir violemment les personnes présentes, puis roué de coups le locataire qui souffre de lourdes séquelles après un accident de la route.

Deux adolescents arrêtés à Toulouse

Dans cette affaire, les gendarmes ont d’abord arrêté dans le secteur un jeune de 18 ans qui avait été un temps hébergé chez la victime. Deux adolescents de 15 et 16 ans soupçonnés d’avoir participé à l’expédition punitive ont ensuite été interpellés à Toulouse.

Les trois mis en cause ont été mis en examen pour violences aggravées. Leur procès devra faire la lumière sur les raisons de leur acharnement. Règlement de comptes personnel ? Tentative d’extorquer la pension d’invalidité de la victime ? Le trio s’est montré peu bavard durant les gardes à vue.

Handicapé - Agression Montauban

Source 20 Minutes.

Handicap – JO 2024 : les premiers Jeux Paralympiques français !

JO 2024 Paris – L’attribution à Paris des Jeux Olympiques de 2024 est « une chance », ont salué jeudi des associations de soutien aux personnes handicapées.

Elles se disent néanmoins « vigilantes » à ce que tout soit mis en œuvre pour que « l’occasion unique » d’organiser les Paralympiques ne soit pas ratée.

Pour la première fois, les Jeux paralympiques, créés en 1960, se dérouleront en France. « C’est évidemment dès aujourd’hui que cela doit se préparer », plaide jeudi dans un communiqué l’association des victimes du travail (Fnath), demandant de « ne pas rater cette occasion unique ».

« Depuis les Jeux de Londres de 2012, les Jeux paralympiques ont gagné en visibilité dans les médias et auprès du grand public. Les Jeux de 2024 doivent démultiplier cette visibilité en France, démontrant que les athlètes handicapés sont avant tout des athlètes, comme tous les participants aux Jeux olympiques », poursuit l’association.

La Fnath espère également que « les travailleurs handicapés profiteront des emplois créés » en amont de cet évènement qui aura lieu quelques semaines après les JO.

« Une chance pour l’accessibilité »

Pour l’Association des Paralysés de France (APF), l’octroi des Jeux doit également être une « opportunité d’accélération dans la prise en compte des attentes des personnes en situation de handicap ».

Pour que Paris-2024 soit « une chance pour l’accessibilité », l’association demande dans un communiqué de mettre en œuvre « une nouvelle dynamique pour l’adaptation de la capitale et des communes alentours, du cadre de vie et des services de transports grâce à une enveloppe budgétaire dédiée ».

« Au-delà des milliers de personnes en situation de handicap qui viendront du monde entier pour assister aux différentes épreuves de ces Jeux, ce sont plus de 4.000 athlètes en situation de handicap que Paris accueillera pour les Jeux paralympiques », souligne-t-elle.

L’APF sera « particulièrement vigilante, afin que ces Jeux soient réellement inclusifs et qu’ils améliorent le quotidien des personnes en situation de handicap et de leurs proches, de manière durable », prévient-elle. En décrochant 28 médailles, dont neuf en or, la France avait terminé 12e nation des Jeux paralympiques de Rio l’an passé.

Les premiers Jeux Paralympiques français - JO 2024

 

Source France TV

Europe et handicaps : toujours un train de retard ?…

Victime d’un AVC, et une longue rééducation d’un an et demi, j’ai été embauché comme stagiaire au Parlement européen. L’occasion pour moi de m’intéresser de plus près à ce que l’Union Européenne met en place pour les personnes handicapées.

Rencontre avec des députés particulièrement impliqués dans cette cause et avec l’Intergroupe Handicap.

D’octobre 2016 à avril 2017, j’ai réalisé un stage auprès d’une députée européenne française Nathalie Griesbeck (France, ADLE). Ce stage arrive après un long séjour à l’hôpital, dû à un AVC qui m’a touché en Pologne en 2015. Ma plus grande peine était de ne plus pouvoir parler ni français ni anglais. Aujourd’hui, je m’exprime mieux. Malgré tout, depuis ce jour, la question de la place des personnes handicapées dans la société est devenue primordiale pour moi.

J’ai donc décidé d’investiguer au sein du Parlement européen et j’ai interviewé trois députés européens, membres de l’Intergroupe HandicapMarek Plura qui est en fauteuil roulant (Pologne, PPE), Helga Stevens, sourde (Belgique, CRE) et Sylvie Guillaume (France, PSE). Une dernière interview a été réalisée avec Etienne Cuche, Conseiller Politique de l’association du Forum européen des personnes handicapées à Bruxelles.

Enfin une loi au Parlement européen sur l’accessibilité !

Le Parlement européen ne compte qu’environ 4 députés handicapés sur 751, soit 0,5%. C’est très peu ! En comparaison, sur le territoire de l’Union européenne, on chiffre à 80 millions le nombre de personnes handicapées sur les 500 millions de citoyens. Ça représente une personne sur six, autrement dit 16 % de la population active. Pas de commentaires nécessaires sur le manque de représentativité des personnes handicapés au Parlement, les chiffres sont criants. Mais ce n’est pas tout. En 2020, on s’attend à ce que ce nombre atteigne les 120 millions de personnes présentant un handicap.

Que fait le Parlement face à cette situation ?

Un exemple concret : l’acte d’accessibilité. « Le principe de l’accessibilité universelle est celui d’une société accessible pour chacun, avec tous » explique Brigitte Lavau dans son livre Le handicap…

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Source CAFE LABEL.

 

Accouchement : des patientes dénoncent les violences obstétricales…

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses femmes dénoncent des actes de maltraitance qu’elles auraient subis lors de leur accouchement.

Deux années se sont écoulées, pourtant, pour Elise, le traumatisme est toujours présent : « Je pensais que mon accouchement allait être le plus beau jour de ma vie et ça a été le pire cauchemar de ma vie.  L’équipe s’est rendue compte que ma péridurale ne marchait plus mais ils n’ont pas rappelé l’anesthésiste pour faire quelque chose. Quand le gynécologue est entré, il ne s’est pas présenté, il ne m’a pas regardé, il ne m’a rien expliqué. Il a utilisé les forceps pour sortir mon bébé. La douleur a été immense. Je ne savais pas qu’une douleur comme ça  tout ce qu’on m’imposait, sans rien comprendre, et dans une violence infinie « .

Son bébé enfin dans ses bras, Elise pense trouver du réconfort. Mais, elle n’est pas au bout de ses peines. « Le gynécologue a recousu mon épisiotomie et toutes les déchirures associées à vif. Malgré mes plaintes, malgré mes souffrances, il n’a pas fait d’anesthésie locale. Je me demandais pourquoi il ne m’épargnait pas ça, alors qu’il avait vu que j’avais tellement souffert » .

Des violences obstétricales dénoncées sur les réseaux sociaux

Elise n’est pas un cas unique. Depuis cet été, sur les réseaux sociaux et dans la presse, de nombreuses femmes ont dénoncé ce qu’on appelle les violences obstétricales. Il s’agit d’épisiotomies imposées, de déclenchements abusifs, de mauvaises prises en charge de la douleur, d’absences de consentement ou encore de propos culpabilisants….

Plus d’informations, découvrez la Vidéo, cliquez ici.

Source FRANCE TV

 

Santé – Glyphosate : des traces de l’herbicide trouvées dans des produits de consommation courante… Lesquels ?

L’association Générations futures a fait analyser 30 produits de consommation courante et a trouvé des traces de l’herbicide dans seize d’entre eux.

Le glyphosate, la molécule de base du Roundup, est toujours en sursis dans l’attente d’une nouvelle homologation européenne de 10 ans. En attendant, l’ONG anti-pesticides Générations futures a fait analyser 30 produits de consommation courante. Elle publie ses résultats jeudi 14 septembre : plus de la moitié des produits contiennent des traces de l’herbicide.

C’est en partant du constat que le glyphosate était très rarement recherché dans nos aliments par les services de la répression des fraudes -car les analyses coûtent cher- que l’association a eu l’idée de vérifier par elle-même. Elle milite pour plus de contrôles car la substance a été classée comme cancérigène probable il y a deux ans par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

16 produits sur 30 contiennent l’herbicide

Des membres de Générations futures sont allés faire leurs courses dans deux supermarchés, à Paris et en Picardie. Ils ont acheté des paquets de lentilles, de pois cassés, des pâtes, des biscottes ou encore des céréales pour le petit-déjeuner.

Sur 30 échantillons analysés, 16 contenaient du glyphosate. Il y en a principalement dans les céréales (Muesli Alpen Swiss, Weetabix Original, Muesli Jordan Country crisp, Country store Kellogs, Granola flocons d’avoines grillés aux pommes Jordans, All Bran Fruit’n Fibre Kellogs) mais aussi dans les lentilles (Lentilles vertes Vivien Paille et Lentilles blondes Leader Price) et les pois chiches (Pois chiches St Eloi et Pois chiches Leader Price).

Certains taux sont assez élevés : jusqu’à 2 microgrammes/kg d’aliment. S’il n’y a pas de quoi déclencher une intoxication aigüe, l’association estime que cela contamine petit à petit le tube digestif, et donc notre organisme.

Du glyphosate retrouvé dans l’urine

Dans une précédente étude, publiée en avril dernier, Générations futures avait montré que 100% des personnes testées avaient du glyphosate dans leurs urines. Pour l’association, il ne fait aucun doute que cette présence s’explique par des résidus de glyphosate dans notre alimentation.

Source France TV.