Bordeaux : la justice met en cause le vaccin contre l’hépatite B – Apparition d’une sclérose en plaques…

Un arrêt de la cour d’appel de Bordeaux qui reconnaît la responsabilité du laboratoire Sanofi dans l’apparition d’une sclérose en plaques relance le débat.

Bordeaux : la justice met en cause le vaccin contre l’hépatite B

Bordeaux : la justice met en cause le vaccin contre l’hépatite B

A une époque où la suspicion relative aux vaccinations ne cesse de grandir, l’arrêt rendu le 23 janvier dernier par la 1re chambre civile de la cour d’appel de Bordeaux est sans doute appelé à avoir un retentissement national. La juridiction présidée par Élisabeth Larsabal a jugé que la société Sanofi Pasteur, l’un des leaders mondiaux des vaccins, était responsable de la sclérose en plaques dont souffre un ancien peintre chaudronnier de 53 ans domicilié à Gourdon…

Source JOURNAL SUD OUEST.

Sous réserve, rédaction Handicap Info…. Blog citoyenne.be  ci après…

« Cet article appelle quelques commentaires:

1) Il est faux de croire que le lien entre vaccin anti-hépatite B et sclérose en plaques n’a pas encore été scientifiquement établi. Il y a déjà eu au moins 5 études plaidant en faveur d’un lien de causalité entre cette vaccination anti-hépatite B et cette maladie, cela n’est donc pas rien, et ne peut donc se réduire à une « malheureuse coïncidence ». Ce qu’il y a, c’est que dans tout sujet sanitaire comportant un enjeu financier et industriel important, tout apparaîtra toujours comme contesté dans la littérature médico-scientifique car les firmes ont un pouvoir conséquent pour financer des contre-études par le biais de divers leaders d’opinion dont l’intervention servira donc avant tout à sauver des marchés et à éviter des avalanches de procès. Le déni des officiels doit donc être fermement balayé, d’autant aussi qu’ils ne sont pas en mesure d’expliquer la hausse de 65% des cas de scléroses en plaques de part et d’autre de la campagne vaccinale des années 90′, d’une ampleur sans précédent, en matière de vaccination anti-hépatite B en France… les chiffres sont clairs, seule la mauvaise foi ou l’ignorance la plus profonde peut amener à conclure que « ce sont de meilleurs diagnostics » qui seraient en mesure d’expliquer pareil différentiel!, et ce d’autant plus, ne l’oublions tout de même pas non plus, que la mention de la sclérose en plaques se trouve en toutes lettres dans les notices de ces vaccins anti-hépatite B

La condamnation du fabricant est donc plus que justifiée et ce d’autant plus que les médecins ne respectent, en pratique, jamais le consentement libre et éclairé et donc ne stipulent pas ces risques graves aux patients. Si cela ne plaît pas au labo, qu’ils poursuivent ou se déchargent alors sur les prescripteurs…. mais stop à l’hypocrisie et au baratin que ce vaccin n’est pas lié à la SEP, c’est évidemment grotesque et cela ne prendra plus très longtemps auprès des patients, du moins faut-il l’espérer pour leur propre sécurité.

On vous dit: « le lien vaccin & sclérose en plaques, c’est juste franco-français« ! Demandez-vous alors comment se fait-il qu’une étude américaine confirme que tout vaccin peut favoriser la sclérose en plaques dans ses suites (et une fois encore, c’est dans les notices, donc quand des pseudos-experts osent dire en télé que ce n’est que hasard, coïncidence, comme par exemple le Pr Alain Fischer, qu’attendent les journalistes pour demander alors pourquoi cela figure dans les notices, et qu’attendent-ils alors pour réviser les notices? De qui se moque-t-on à la fin? > Une étude américaine (Langer-Gould), publiée en 2014, spécifie quant à elle que « tout type de vaccination est associé à un risque accru de déclenchement d’une maladie démyélinisante du système nerveux central dans les 30 premiers jours qui suivent une vaccination en ce qui concerne les sujets de moins de 50 ans » (OR, 2.32; 95% CI, 1.18-4.57).

 

2) Le vaccin anti-hépatite B est aussi un échec en termes de prévention des complications graves de l’hépatite: même en ayant beaucoup vacciné, cela n’a nullement permis de réduire les taux de complications graves en France liées à l’hépatite B. Pire, plusieurs études montrent au contraire que le vaccin anti-hépatite B détruit les cellules du foie (apoptose) et favorise les maladies hépatiques, notamment chez les enfants. Se vacciner est par conséquent un non sens, que l’on soit professionnel de santé ou non d’ailleurs, et que ceci soit obligatoire ou non…

3) Il est essentiel que les victimes portent plainte: trop souvent, elles sont découragées par la longueur des procédures, par les frais d’avocats etc. mais cette mascarade vaccinale qui fait chaque jour de plus en plus de victimes ne peut se poursuivre que parce qu’un trop faible nombre de victimes décident de réagir et de faire valoir leurs droits, restant ainsi sur le bord du chemin à souffrir en silence alors que leur parole est en mesure de sauver activement des vies et donc de faire en sorte que leurs souffrances ne soient pas vaines. Ce nouvel épisode judiciaire doit donner espoir aux victimes et offre une nouvelle jurisprudence en faveur des droits fondamentaux des patients. Il est inadmissible que les victimes soient laissées sur le bord du chemin et systématiquement taxées de « coïncidences » par les pseudos-experts en charge de la politique vaccinale ou implicitement jugées telles par la Ministre Buzyn qui ose prétendre que « les vaccins sont sûrs » et qu’il n’y a pas d’effets secondaires….

4) Cette décision judiciaire conforte également enfin la pertinence de la PLAINTE PENALE qui a déjà été déposée et qui est toujours en cours contre l’obligation vaccinale des enfants étendue à 11 vaccins et incluant notamment le vaccin anti-hépatite B. »

Source blog initiative citoyenne.be

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