À seulement 4 ans, cette fillette présente un QI de 142 digne d’Einstein…

La petite Britannique Dayaal Kaur n’est âgée que de 4 ans, mais elle impressionne déjà par son intelligence et son humour.

Pendant le confinement d’octobre, en Angleterre, ses parents lui ont fait passer un test de quotient intellectuel.

Celui-ci atteint le score de 142, un résultat exceptionnel.

À seulement 4 ans, cette fillette présente un QI de 142 digne d’Einstein

 


  • Raj et Sarbjit Singh vivent à Great Barr, un quartier du nord de Birmingham (Royaume-Uni). Ils étaient loin de se douter du potentiel intellectuel de leur fille à sa naissance, il y a quatre ans. Mais aujourd’hui, il semblerait bien qu’ils vivent avec un véritable génie.

    Dotée d’une intelligence rare, la fillette, nommée Dayaal Kaur, a récemment passé un célèbre test d’évaluation du quotient intellectuel (QI), rapporte le Birmingham Mail. Avec un résultat de 142, elle se rapproche du QI de grands physiciens et penseurs comme Albert Einstein ou Stephen Hawking, qui atteignait 160.

    Elle récitait l’alphabet à 14 mois

    Interrogés par le journal local, les parents de la jeune surdouée ont confié qu’ils avaient remarqué l’intelligence de leur fille quelques mois après sa naissance seulement. « Je me souviens d’un jour, quand Dayaal avait environ 13 mois, j’ai dit le chiffre « un » et elle a répondu « deux », alors j’ai dit « trois » et elle a répondu « quatre », et cela a continué jusqu’à 15 ! », raconte le père.

    Savoir compter à 13 mois, une prouesse. Mais les preuves de l’intelligence supérieure de Dayaal Kaur ne s’arrêtent pas là. « Elle pouvait réciter l’alphabet vers 14 mois et nommer toutes les planètes à l’âge de 2 ans, et nous posait régulièrement des questions dont nous devions chercher la réponse sur Google ! »

    Très tôt, la petite fille comprend rapidement le monde qui l’entoure, assimile les mots avec aisance, et peut ainsi dialoguer avec ses parents. « J’ai toujours parlé à Dayaal de manière adulte, sans utiliser le langage bébé, et peu importe ce que je lui disais, elle comprenait, qu’il s’agisse de mettre quelque chose dans la poubelle ou d’aller chercher une couche », poursuit son père.

     

    À seulement 4 ans, cette fillette présente un QI de 142 digne d’Einstein
    Aujourd’hui âgée de quatre ans, la petite fille sait résoudre des équations mathématiques simples. (Photo d’illustration : Fotolia)

     

    Sociabilité et sens de l’humour

    Et outre ses facilités à la maison, Dayaal impressionne partout où elle passe : au supermarché, où elle « engage la conversation à la caisse », mais aussi à la crèche, où elle devait évoluer au milieu d’autres enfants de son âge. Et entre eux, la différence est flagrante, et alerte la directrice de la crèche. Au point que cette dernière a dû écrire aux parents pour leur expliquer que Dayaal « dépassait de loin toutes les dispositions que la crèche pouvait fournir ».

    « En quinze ans de garde d’enfants, elle n’avait jamais rencontré une enfant comme elle, qui n’était pas seulement en avance scolairement, mais qui était aussi sociable et qui avait le sens de l’humour », reprend Sarjbit Singh.

    Une intelligence rare

    Face à tous ces constats, les parents ont décidé de faire passer un test que QI à leur fille, par Mensa, un organisme spécialisé dans l’évaluation de l’intelligence. Et là encore, la petite fille a impressionné la psychologue, Lynn Kendall. Les résultats ont placé Dayaal dans « la catégorie supérieure de la catégorie supérieure ».

    Son QI estimé par ces tests est de 142. Elle était alors âgée de 3 ans et 11 mois. Elle fait partie du 0,01 % de la population constitué de personnes à l’intelligence très supérieure à la moyenne.

    Malgré son jeune âge, la petite Dayaal a les capacités de reconnaissance des mots et de calcul d’un enfant de 5 ans. Et ses compétences ne cessent de s’accroître. Elle sait aujourd’hui résoudre des équations mathématiques simples.

    À seulement 4 ans, cette fillette présente un QI de 142 digne d’Einstein
    Une écolière lève le doigt en classe. (Photo d’illustration : stock.adobe.com)

    « Elle pourrait gagner un prix Nobel, ou bien travailler dans un café ! »

    Mais une telle avance sur les autres n’est parfois pas facile à gérer à cet âge. Le père, qui travaille dans un collège, et la mère, avocate, ont alors cherché un établissement qui pourrait accueillir leur enfant prodige. On leur a proposé une place dans une école privée, mais au-dessus des moyens de la famille.

    L’enfant a finalement été acceptée dans l’école du secteur, mais les parents font aujourd’hui pression pour faire sauter une classe à leur fille, afin qu’elle puisse être « stimulée intellectuellement », rapporte le Birmingham Mail.

    Désormais pleinement conscients du potentiel intellectuel de Dayaal, ses parents souhaitent la laisser grandir normalement afin qu’elle s’épanouisse, sans lui mettre la pression ni l’inciter à exploiter au maximum ses capacités.

    « Dayaal pourrait devenir une future leader mondiale ou gagner un prix Nobel de la paix, ou bien elle pourrait travailler dans un café ou encore faire le travail de ses rêves, qui serait d’avoir des écuries dans l’espace ! Il s’agit de ce qu’elle veut et tant qu’elle a le sourire, c’est ce qui compte le plus, pas son QI. »

    Sa petite sœur, Kalyaan, âgée de 18 mois, pourrait elle aussi suivre le même chemin… Une génération de petits génies ?

    Source OUEST FRANCE.
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